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Le boycott nuit à l'Algérie selon Belkhadem
BELKHADEM À BÉJAÏA
«Le boycott nuit à la nation»
Il réfutera l’idée selon laquelle le pouvoir a privé la région de financements.
Le secrétaire général du Front de libération nationale ne s’est pas montré tendre hier à l’égard des partisans du boycott. Intervenant à l’ouverture du forum régional des élus locaux et de la société civile initié par son parti à la Maison de la culture de Béjaïa, Abdelaziz Belkhadem a descendu en flammes l’option de boycott, estimant que celle-ci «porte atteinte à l’intérêt de la nation». Devant une assistance nombreuse, le secrétaire général du FLN développera un argumentaire favorable à une participation massive lors du prochain scrutin. A l’adresse des boycotteurs, Belkhadem ironisera: «C’est parce qu’un club n’a pas de supporteurs qu’il ne jouera pas la partie.» Dans la foulée, il réfutera l’idée selon laquelle le pouvoir a privé la région. «Béjaïa a bénéficié de 120 milliards de dinars pour les programmes locaux», a-t-il soutenu avant de mettre sur le dos de la majorité locale, qu’il ne cite pas, «le retard dans la réalisation». «Les responsabilités doivent être situées au niveau des élus locaux et nous sommes prêts à faire le bilan», clame-t-il encore. Expliquant que le vote est un droit constitutionnel, le conférencier estimera que «l’opposition doit être constructive et non obstructive». L’orateur détaillera ensuite les raisons de sa participation au choix du soutien au candidat Abdelaziz Bouteflika. Le pays a besoin de stabilité, faisant référence aux acquis de la Réconciliation nationale, «nous participons à l’élection et nous le faisons pour celui qui tient parole», allusion au candidat.
Citant toutes les réalisation de ces dix dernières années, le chef de file du FLN estimera que «la présidentielle du 9 avril est un vote pour une institution». Dans un point de presse animé en marge du forum, le secrétaire général du FLN est revenu en détail sur son allocution avant de visiter le siège central de la direction de campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika en compagnie des responsables de son parti. Accueilli par le directeur de campagne et son staff, Belkhadem n’a pas caché son émerveillement aussi bien pour ce qui est de l’équipement que de l’endroit en question situé en plein centre de la capitale des Hammadites, que de l’accueil qui lui a été réservé. Visitant les lieux, Belkhadem na pas manqué d’insister sur la nécessité de l’implication de tout le monde pour la réussite de la campagne et la réélection du candidat Abdelaziz Bouteflika.
Arezki SLIMANI
«Le boycott nuit à la nation»
Il réfutera l’idée selon laquelle le pouvoir a privé la région de financements.Le secrétaire général du Front de libération nationale ne s’est pas montré tendre hier à l’égard des partisans du boycott. Intervenant à l’ouverture du forum régional des élus locaux et de la société civile initié par son parti à la Maison de la culture de Béjaïa, Abdelaziz Belkhadem a descendu en flammes l’option de boycott, estimant que celle-ci «porte atteinte à l’intérêt de la nation». Devant une assistance nombreuse, le secrétaire général du FLN développera un argumentaire favorable à une participation massive lors du prochain scrutin. A l’adresse des boycotteurs, Belkhadem ironisera: «C’est parce qu’un club n’a pas de supporteurs qu’il ne jouera pas la partie.» Dans la foulée, il réfutera l’idée selon laquelle le pouvoir a privé la région. «Béjaïa a bénéficié de 120 milliards de dinars pour les programmes locaux», a-t-il soutenu avant de mettre sur le dos de la majorité locale, qu’il ne cite pas, «le retard dans la réalisation». «Les responsabilités doivent être situées au niveau des élus locaux et nous sommes prêts à faire le bilan», clame-t-il encore. Expliquant que le vote est un droit constitutionnel, le conférencier estimera que «l’opposition doit être constructive et non obstructive». L’orateur détaillera ensuite les raisons de sa participation au choix du soutien au candidat Abdelaziz Bouteflika. Le pays a besoin de stabilité, faisant référence aux acquis de la Réconciliation nationale, «nous participons à l’élection et nous le faisons pour celui qui tient parole», allusion au candidat.
Citant toutes les réalisation de ces dix dernières années, le chef de file du FLN estimera que «la présidentielle du 9 avril est un vote pour une institution». Dans un point de presse animé en marge du forum, le secrétaire général du FLN est revenu en détail sur son allocution avant de visiter le siège central de la direction de campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika en compagnie des responsables de son parti. Accueilli par le directeur de campagne et son staff, Belkhadem n’a pas caché son émerveillement aussi bien pour ce qui est de l’équipement que de l’endroit en question situé en plein centre de la capitale des Hammadites, que de l’accueil qui lui a été réservé. Visitant les lieux, Belkhadem na pas manqué d’insister sur la nécessité de l’implication de tout le monde pour la réussite de la campagne et la réélection du candidat Abdelaziz Bouteflika.
Arezki SLIMANI
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