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Représailles contre l'éditeur algérien des "Geôles d'Alger"
La maison d'édition INAS de M. Boussad Ouadi, éditeur algérien des "Geôles d'Alger", le seul éditeur à avoir accepté de courir le "risque" de publier Mohamed Benchicou ainsi que certains autres "pestiférés" comme Ali Yahia Abdenour, vient de subir de nouvelles mesures de représailles de la part du pouvoir.
Ainsi, et au mépris de la loi, la Bibliothèque nationale vient de refuser toute inscription ISBN pour le compte de la maison d'édition INAS. Autrement dit, INAS ne peut plus rien éditer en Algérie.
Les vigiles se sont ensuite attaqués "INAS importateur de livres".
"On vient de me bloquer des milliers de livres au port d'Alger, m'obligeant à produire des certificats phytosanitaires, des certificats d'origine et des certificats de conformité", nous dit M. Ouadi.
Les représailles ne datent pas d'aujourd'hui. "Pas un seul de mes projets d'édition n'a reçu un centime de subvention dans le cadre de "l'année arabe" ou du "programme d'édition 2008". Pas un seul livre ne m'a été commandé par une bibliothèque du réseau de la lecture publique. Pourtant l'argent public est généreusement distribué aux laudateurs, aux courtisans de la confrérie des "aplaventristes" du petit monde glauque de "l'édition algérienne". Mais qui arrêtera cette folie manie d'interdire, ce délire de pouvoir absolu de nos dirigeants ? Qui ?"
N.N.
Ainsi, et au mépris de la loi, la Bibliothèque nationale vient de refuser toute inscription ISBN pour le compte de la maison d'édition INAS. Autrement dit, INAS ne peut plus rien éditer en Algérie.
Les vigiles se sont ensuite attaqués "INAS importateur de livres".
"On vient de me bloquer des milliers de livres au port d'Alger, m'obligeant à produire des certificats phytosanitaires, des certificats d'origine et des certificats de conformité", nous dit M. Ouadi.
Les représailles ne datent pas d'aujourd'hui. "Pas un seul de mes projets d'édition n'a reçu un centime de subvention dans le cadre de "l'année arabe" ou du "programme d'édition 2008". Pas un seul livre ne m'a été commandé par une bibliothèque du réseau de la lecture publique. Pourtant l'argent public est généreusement distribué aux laudateurs, aux courtisans de la confrérie des "aplaventristes" du petit monde glauque de "l'édition algérienne". Mais qui arrêtera cette folie manie d'interdire, ce délire de pouvoir absolu de nos dirigeants ? Qui ?"
N.N.