Annonce

Réduire
Aucune annonce.

es tu algerois ??

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • es tu algerois ??

    pour devenir algerois il faut au moins de quatre générations disait himoud brahimi
    alors! es tu algerois ??

  • #2
    Non je suis de Sidi Aich moi
    Mais dis moi, pourquoi specialement Alger ???

    Commentaire


    • #3
      Je suis de la deuxième génération et pourtant je me sens algéroise quoi qu'on dise.

      Commentaire


      • #4
        mec labas ils parlent anglais yaw

        moi non plus je ne le suis pas alors
        Si tu téléphones à une voyante et qu'elle ne décroche pas avant que ça sonne, raccroche. ...

        Commentaire


        • #5
          coucou nasmalah
          tu es d'ou?

          Commentaire


          • #6
            Je suis de la 3eme génération et je ne sais pas s'il a existé une quatrième...

            Commentaire


            • #7
              « Ya Bahdjati »


              « Pour devenir Algérois, disait le poète Himoud Brahimi en présence de son ami d’enfance le comédien Allel El Mouhib, il faut pas moins de quatre générations. Pour avoir La Casbah dans ses veines, alors là, il faudrait toute une éternité ». Cette remarque, qui pouvait alors paraître désobligeante aux yeux de certains, avait été lancée par le poète lors d’un match de foot disputé, quelque part à Alger, à la fin des années quarante du siècle dernier.
              Dans le fameux film, Pépé le Moko, de Julien Duvivier, réalisé en 1936, on a droit à une tout autre définition de cette vieille et chaude matrice qui a donné naissance à la capitale, telle que nous la connaissons aujourd’hui. Bien que poétique et d’une teneur plutôt exotique, cette définition pouvait, en même temps, coller assez bien à n’importe quelle autre ville de la France d’outre-mer des années trente. Il y a, également, dans ce film une espèce de prémonition quant à l’avenir de La Casbah, puisque moins de vingt années après, cette matrice est devenue une véritable poudrière lors de la grande bataille d’Alger.
              Des gens du milieu, poursuivis par la police, fuient Paris pour élire domicile dans cette Casbah des années trente, avec pour chef de file, Pépé le Moko, rôle joué par Jean Gabin. Tel le Passe-muraille de Marcel Aymé, ce bandit se faufile à travers les étroites ruelles, saute d’un toit à l’autre, règle ses comptes à des traîtres et tombe amoureux d’une égérie française à la recherche d’aventure. Tout compte fait, Pépé le Moko n’est pas tellement loin des personnages campés par le romancier britannique, Somerset Maugham, qui se plaisait à broder des histoires rocambolesques dans l’océan Indien et les îles du Pacifique à la même période. Or, le cinéma reste le cinéma, évoluant dans les limbes de ce qui est réel, c’est-à-dire un monde parallèle la plupart du temps, où tout est possible, quitte à voir un être humain marcher sur sa tête ou sauter du septième étage et retomber sur ses pieds sans aucune égratignure.
              La prodigieuse production filmique durant le siècle dernier le prouve. Ne dit-on pas encore, avec une touche de moquerie, dans le jargon algérois : « C’est du cinéma ? » Une parabole on ne peut plus juste aux yeux de celui qui a subi l’image mouvante et parlante, durant des décennies, sans pouvoir en changer grand-chose. Même conquise, la tonitruante Casbah entretenait un petit feu, bien à elle, en attendant patiemment des jours meilleurs comme elle l’a toujours fait. Pour exemple, en 1529, elle a repoussé les conquérants espagnols qui s’étaient réfugiés dans l’île du Penon, en 1541, elle a envoyé par le fond toute la flotte de Charles Quint et, surtout, en 1956-1957, elle a permis à sa belle jeunesse de tenir la dragée haute à des Saint-Cyriens, plutôt spécialisés dans les actes de torture. Par delà l’histoire, Pépé le Moko s’était trompé d’adresse et, à travers lui, toute l’imagerie de l’ère coloniale. Il était venu tel un soldat romain saluant César : celui qui va mourir te salue bien ! La Casbah de Himoud Brahimi l’a bien vaincu.



              Par Merzac Bagtache


              AL WATAN Edition du 5 mars 2009

              Commentaire


              • #8
                oui, depuis qu'on ne se souvient plus de combien de génération..

                Commentaire


                • #9
                  cc kareena

                  coucou nasmalah
                  tu es d'ou?
                  men wahd leblad
                  Si tu téléphones à une voyante et qu'elle ne décroche pas avant que ça sonne, raccroche. ...

                  Commentaire


                  • #10
                    Nooooooooooooooooooooooooooon

                    Commentaire


                    • #11
                      moa wi je suis de la deuxième génération! donc algeroise ..
                      J'aurais aimé être un PC pour pouvoir redémarrer ma vie en mode sans échec ...

                      Commentaire


                      • #12
                        mon arrière arrière ....... arrière grand père est sidi mohamed el chrif entéré a la casbah .....mais c'est du coté matérnél
                        coté paternél c'est un pur produit jéjilien and iam proude
                        وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

                        Commentaire


                        • #13
                          nasmalah
                          Tu ressembles trop à une algéroise! Tu as trop l'humour algérois

                          Commentaire


                          • #14
                            dommage je suis un algerien mais pas algerois
                            La vie n'a pas de sens, seule chaque vie individuelle a un sens, donné par celui qui vit cette vie. L'individu trace son trait et disparaît.
                            Alain Prochiantz

                            Commentaire


                            • #15
                              on peut ne pas habiter Alger et être Algerois , c'est dans l'âme , Alger coule dans le sang de ses habitants , et un Algerois ce n'est pas celui qui crache 24 000 fois par jour ou qui dit yakho a la place des virgules mais celui qui aime et protege Alger sans qu'il attend de retour

                              en parlant des generations j'en ai deux des deux coté , ma mere est de la 5eme generation et mon pere de la 3eme et moi je ne sais pas je suis Algerois point final
                              Oo >-- Divinement Maudit et Diaboliquement vivant --< oO
                              **ALGERIA**
                              ~ me ~

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X