Les boulevards et placettes encombrées de pizzerias et kiosques de Chawarma
Le bureau de génie sismique et du sol en Algérie a dressé un tableau plutôt sombre de la situation esthétique et architecturale d’Alger
Il a noté que les plus importantes surfaces et boulevards qui ont fait la joie d’Alger à la fin des années 70 se sont transformées en fast-food pour « Chawarma » et de « Pizza ».
Il a également noté la transformation de quelques endroits en décharges publiques qui ont terni la façade d’Alger.
Le professeur Chelghoum Abdelkrim est spécialiste en génie sismique, dirigeant d’un laboratoire spécialisé dans la recherche en sismographie, a indiqué que son équipe a constaté, suite à la visite sur le terrain, effectuée par son équipe depuis la rue Ghermoul jusqu’à la placette d’El Ketani à Bab-El-Oued, que les Algériens n’ont pas pu sauvegarder le patrimoine architectural et artistique qui a résisté jusqu’au début des années 70. Il a noté qu’il n’a été ni entretenu ni rénové.
Le professeur Chelghoum Abdelkrim a donné un exemple des marques de vêtements, de parfums et de bijoux qu’on présentait dans les vitrines des magasins au boulevard Didouche Mourad et Larbi Ben M’hidi, avant qu’elles ne soient commercialisées dans les Champs Elysés en France ou à la5ème avenue de New York.
L’équipe du bureau d’études a également noté la transformation des dizaines de surfaces et esplanades en lieu de vente de Chawarma et de Pizza.
Il a, notamment, constaté l’absence de normes Maghrébines artistiques et architecturales de la surface d’Alger, qui a été classée deuxième après Rio de Janeiro au Brésil en 1956en terme de beauté.
Suite à cette situation, on s’interroge pourquoi les pouvoirs publics parlent de la réhabilitation de l’image de la capitale alors que Alger est toujours sale.
El Khabar
Le bureau de génie sismique et du sol en Algérie a dressé un tableau plutôt sombre de la situation esthétique et architecturale d’Alger
Il a noté que les plus importantes surfaces et boulevards qui ont fait la joie d’Alger à la fin des années 70 se sont transformées en fast-food pour « Chawarma » et de « Pizza ».
Il a également noté la transformation de quelques endroits en décharges publiques qui ont terni la façade d’Alger.
Le professeur Chelghoum Abdelkrim est spécialiste en génie sismique, dirigeant d’un laboratoire spécialisé dans la recherche en sismographie, a indiqué que son équipe a constaté, suite à la visite sur le terrain, effectuée par son équipe depuis la rue Ghermoul jusqu’à la placette d’El Ketani à Bab-El-Oued, que les Algériens n’ont pas pu sauvegarder le patrimoine architectural et artistique qui a résisté jusqu’au début des années 70. Il a noté qu’il n’a été ni entretenu ni rénové.
Le professeur Chelghoum Abdelkrim a donné un exemple des marques de vêtements, de parfums et de bijoux qu’on présentait dans les vitrines des magasins au boulevard Didouche Mourad et Larbi Ben M’hidi, avant qu’elles ne soient commercialisées dans les Champs Elysés en France ou à la5ème avenue de New York.
L’équipe du bureau d’études a également noté la transformation des dizaines de surfaces et esplanades en lieu de vente de Chawarma et de Pizza.
Il a, notamment, constaté l’absence de normes Maghrébines artistiques et architecturales de la surface d’Alger, qui a été classée deuxième après Rio de Janeiro au Brésil en 1956en terme de beauté.
Suite à cette situation, on s’interroge pourquoi les pouvoirs publics parlent de la réhabilitation de l’image de la capitale alors que Alger est toujours sale.
El Khabar
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