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Le nouveau gouvernement somalien, soutenu par les Nations unies, demande l'aide de la communauté internationale pour permettre au pays de sortir définitivement du chaos.
La violence en Somalie a fait plus de 16.000 morts parmi la population civile depuis le début 2007, ainsi qu'un million de déplacés.
L'élection en janvier à la présidence d'un islamiste modéré, Cheikh Charif Ahmed, soutenu politiquement par l'Onu, a suscité l'espoir que le pays puisse sortir de l'anarchie.
Devant le Conseil de sécurité, l'émissaire des Nations unies en Somalie, Ahmedou Ould Abdallah, a estimé que le pays de la Corne de l'Afrique était "revenu des ténèbres", mais que la communauté internationale devait financer une force de maintien de la paix et contribuer à la formation des forces de sécurité nationales pour renforcer le pouvoir central.
Le ministre somalien des Affaires étrangères Mohammed Abdoullahi Omaar a déclaré que le Conseil de sécurité devait oublier tous les stéréotypes qui s'attachent à son pays. "Aujourd'hui, en Somalie, il n'y a pas de seigneurs de guerre, il n'y a pas de guerre de clans. Il n'y a pas de factions politiques qui prennent le pays en otage", a-t-il dit.
Jeudi, Oussama ben Laden a exhorté les Somaliens à renverser le nouveau président. Les experts jugent cependant que le message ne devrait guère être entendu, une grande partie de la population ayant placé ses espoirs dans le nouveau chef de l'Etat pour mettre un terme à dix-huit ans de chaos.
source : Reuters
La violence en Somalie a fait plus de 16.000 morts parmi la population civile depuis le début 2007, ainsi qu'un million de déplacés.
L'élection en janvier à la présidence d'un islamiste modéré, Cheikh Charif Ahmed, soutenu politiquement par l'Onu, a suscité l'espoir que le pays puisse sortir de l'anarchie.
Devant le Conseil de sécurité, l'émissaire des Nations unies en Somalie, Ahmedou Ould Abdallah, a estimé que le pays de la Corne de l'Afrique était "revenu des ténèbres", mais que la communauté internationale devait financer une force de maintien de la paix et contribuer à la formation des forces de sécurité nationales pour renforcer le pouvoir central.
Le ministre somalien des Affaires étrangères Mohammed Abdoullahi Omaar a déclaré que le Conseil de sécurité devait oublier tous les stéréotypes qui s'attachent à son pays. "Aujourd'hui, en Somalie, il n'y a pas de seigneurs de guerre, il n'y a pas de guerre de clans. Il n'y a pas de factions politiques qui prennent le pays en otage", a-t-il dit.
Jeudi, Oussama ben Laden a exhorté les Somaliens à renverser le nouveau président. Les experts jugent cependant que le message ne devrait guère être entendu, une grande partie de la population ayant placé ses espoirs dans le nouveau chef de l'Etat pour mettre un terme à dix-huit ans de chaos.
source : Reuters