Tweet
« Des étoiles » viendront illuminer le ciel de la chanson kabyle
Après une éclipse de deux années, Brahim Tayeb revient avec un nouvel album, intitulé Ithren ou Sous les étoiles, une nouvelle merveille vient de voir le jour, il l’a lancée d’ailleurs, avant-hier, jeudi, à l’Espace Noun, avec beaucoup d’enthousiasme, en présence de sa femme, son fils et une foule d’admirateurs. Poète passionné de la musique, serein, heureux d’ouvrir une nouvelle page dans sa carrière, Brahim Tayeb ne cesse de nous surprendre avec ses créations. Avec son nouveau-né, il n’a souvent pas de difficultés à nous faire tirer des larmes,à nous faire rêver ou à nous rendre heureux : «Chaque album est un rêve pour moi ,moi qui ne fait que rêver, je vous invite tous à partager ce rêve qui s’appelle Ithren ou Sous les étoiles,un album qui n’est pas comme les autres, et que je dédie à l’Algérie, à l’amour et à la mémoire de nos grands artistes : Slimane Azem,Chikh El hasnaoui, Dahmane El- Harrachi, Matoub Lounès et Lounis Ait Menguellet». Un retour qui constitue un véritable événement culturel.
Sous les Etoiles est accueilli dans une ambiance où la musique de son nouvel album, est diffusée en arrière-fond, et que son créateur a présenté au public, après avoir salué tous ceux qui l’ont encouragé et aidé dans son cheminement artistique à savoir sa femme, ses musiciens, ses amis. C’est un album qu’il considère diffèrent des autres ; il est composé de six chansons, dont Ithren qui est une reprise de la chanson Titvirth, sa première chanson composée durant son adolescence, et qu’il n’a pas enregistrée, c’est son ami qu’il lui a demandé de la reprendre ; la deuxième chanson reprise s’intitule Si laâdil « En attendant », dont la première version est de l’album Tixrase, mais pour laquelle il n’a pas accordé tant d’importance, il a apporté des retouches au texte, en modifiant une partie de la fin pour l’optimisme.
C’est une chanson qu’il a dédiée à tous ceux qui souffrent, affirme- il.
Dans cet album, l’artiste nous offre toutefois une longue chanson de dix minutes, qui est en fait, la suite de Tikhras, sortie en 2007, Cette nouvelle chanson de dix minutes, est intitulée : Nighak a yuliw tsuts « mon cœur, oublie-la, je t’ai dit ». Brahim Tayeb propose également une chanson de nostalgie sur une musique ancienne intitulée Ayemmaynou, dans laquelle il parle du patrimoine et des valeurs humaines disparues qu’on ne retrouve plus. Une chanson de nostalgie sur une musique ancienne. Des chansons parmi d’autres accompagnés des notes de musiques universelles et originales, et des textes qui dépassent les frontières.
L’album sera disponible dans les bacs à partir de 10 avril, une nouvelle merveille à découvrir ; il a interprété trois morceaux, dans lesquels on a apprécie un sentiment d’éloignement dans la magie de ses notes musicales qui riment à merveille avec ses textes poétiques. Sa femme, Amel, signalera pour sa part que « Brahim est l’artiste qui nous offre des images pleines de beauté et de valeurs artistiques, des images qu’on ne verrait pas avec nos propres yeux …».
En fait, ce n’est qu’une vision d’un talentueux artiste qui a su montrer aux autres des images extraordinaires qu’il n’a pas vues peut-être mais qu’il a senti en tant qu’artiste qui voit avec son cœur et son esprit…Félicitations Brahim, pour ces étoiles qui resteront certes gravées haut, dans le ciel de ta réussite et celui de nos réves.
- LA DEPECHE DE kABYLIE
Après une éclipse de deux années, Brahim Tayeb revient avec un nouvel album, intitulé Ithren ou Sous les étoiles, une nouvelle merveille vient de voir le jour, il l’a lancée d’ailleurs, avant-hier, jeudi, à l’Espace Noun, avec beaucoup d’enthousiasme, en présence de sa femme, son fils et une foule d’admirateurs. Poète passionné de la musique, serein, heureux d’ouvrir une nouvelle page dans sa carrière, Brahim Tayeb ne cesse de nous surprendre avec ses créations. Avec son nouveau-né, il n’a souvent pas de difficultés à nous faire tirer des larmes,à nous faire rêver ou à nous rendre heureux : «Chaque album est un rêve pour moi ,moi qui ne fait que rêver, je vous invite tous à partager ce rêve qui s’appelle Ithren ou Sous les étoiles,un album qui n’est pas comme les autres, et que je dédie à l’Algérie, à l’amour et à la mémoire de nos grands artistes : Slimane Azem,Chikh El hasnaoui, Dahmane El- Harrachi, Matoub Lounès et Lounis Ait Menguellet». Un retour qui constitue un véritable événement culturel.
Sous les Etoiles est accueilli dans une ambiance où la musique de son nouvel album, est diffusée en arrière-fond, et que son créateur a présenté au public, après avoir salué tous ceux qui l’ont encouragé et aidé dans son cheminement artistique à savoir sa femme, ses musiciens, ses amis. C’est un album qu’il considère diffèrent des autres ; il est composé de six chansons, dont Ithren qui est une reprise de la chanson Titvirth, sa première chanson composée durant son adolescence, et qu’il n’a pas enregistrée, c’est son ami qu’il lui a demandé de la reprendre ; la deuxième chanson reprise s’intitule Si laâdil « En attendant », dont la première version est de l’album Tixrase, mais pour laquelle il n’a pas accordé tant d’importance, il a apporté des retouches au texte, en modifiant une partie de la fin pour l’optimisme.
C’est une chanson qu’il a dédiée à tous ceux qui souffrent, affirme- il.
Dans cet album, l’artiste nous offre toutefois une longue chanson de dix minutes, qui est en fait, la suite de Tikhras, sortie en 2007, Cette nouvelle chanson de dix minutes, est intitulée : Nighak a yuliw tsuts « mon cœur, oublie-la, je t’ai dit ». Brahim Tayeb propose également une chanson de nostalgie sur une musique ancienne intitulée Ayemmaynou, dans laquelle il parle du patrimoine et des valeurs humaines disparues qu’on ne retrouve plus. Une chanson de nostalgie sur une musique ancienne. Des chansons parmi d’autres accompagnés des notes de musiques universelles et originales, et des textes qui dépassent les frontières.
L’album sera disponible dans les bacs à partir de 10 avril, une nouvelle merveille à découvrir ; il a interprété trois morceaux, dans lesquels on a apprécie un sentiment d’éloignement dans la magie de ses notes musicales qui riment à merveille avec ses textes poétiques. Sa femme, Amel, signalera pour sa part que « Brahim est l’artiste qui nous offre des images pleines de beauté et de valeurs artistiques, des images qu’on ne verrait pas avec nos propres yeux …».
En fait, ce n’est qu’une vision d’un talentueux artiste qui a su montrer aux autres des images extraordinaires qu’il n’a pas vues peut-être mais qu’il a senti en tant qu’artiste qui voit avec son cœur et son esprit…Félicitations Brahim, pour ces étoiles qui resteront certes gravées haut, dans le ciel de ta réussite et celui de nos réves.
- LA DEPECHE DE kABYLIE