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Blue Gene/L d'IBM , le supercalculateur le plus puissant de la planète qui avait relégué en troisième place la machine japonaise , Earth Simulator, a battu son propre reccord en multipliant par 4 sa puissance en un an.
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L’équipe installée au Lawrence Livermore National Laboratory, aux Etats-Unis, a annoncé que Blue Gene/L avait atteint la vitesse de 280,6 teraflops, ce qui signifie qu’il peut réaliser 280.600 milliards d’opérations en une seconde.
Lors de son classement en tête de la liste des 500 supercalculateurs les plus puissants du monde, en novembre 2004, Blue Gene/L affichait une performance de 70,7 teraflops (un teraflop = mille milliards d’opérations flottantes en une seconde). L’ambition affichée de l’équipe de Blue Gene est d’atteindre la puissance de 360 teraflops.
Le projet Blue Gene, hébergé en Californie au LLNL, est développé en partenariat avec la National Nuclear Security Administration (NNSA). Ses capacités de calcul sont notamment utilisées pour maintenir les performances de l’arsenal nucléaire américain sans mener de tests réels. Blue Gene/L est également très utile dans un tout autre domaine, celui de l’étude de la structure et du repliement des protéines.
Source : Le nouvel obs.
Le Site de Blue Gene/L d'IBM
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L’équipe installée au Lawrence Livermore National Laboratory, aux Etats-Unis, a annoncé que Blue Gene/L avait atteint la vitesse de 280,6 teraflops, ce qui signifie qu’il peut réaliser 280.600 milliards d’opérations en une seconde.
Lors de son classement en tête de la liste des 500 supercalculateurs les plus puissants du monde, en novembre 2004, Blue Gene/L affichait une performance de 70,7 teraflops (un teraflop = mille milliards d’opérations flottantes en une seconde). L’ambition affichée de l’équipe de Blue Gene est d’atteindre la puissance de 360 teraflops.
Le projet Blue Gene, hébergé en Californie au LLNL, est développé en partenariat avec la National Nuclear Security Administration (NNSA). Ses capacités de calcul sont notamment utilisées pour maintenir les performances de l’arsenal nucléaire américain sans mener de tests réels. Blue Gene/L est également très utile dans un tout autre domaine, celui de l’étude de la structure et du repliement des protéines.
Source : Le nouvel obs.
Le Site de Blue Gene/L d'IBM