ABC | MADRID
17-3-2009
Le ministre des Affaires étrangères a rappelé au Congrès aujourd'hui la position du gouvernement espagnol en ce qui concerne le Sahara occidental.
M. Miguel Angel Moratinos a insisté pour que le règlement entre les parties en conflit sous les auspices de l'ONU, mais en même temps, n'a fait pas caché son soutien, à l'initiative «positive» que le plan d'autonomie présenté par Rabat pour l'ancienne colonie, en dépit qu'elle ferme la porte du référendum d'autodétermination.
Le gouvernement estime toutefois que soutenir ce plan de Mohamed VI n'est pas aller à l'encontre de l'autodétermination et tente d'expliquer.
«On peut aussi appliquer dans ce dossier la méthode de la négociation pour définir les contours précis de la manière dont un règlement négocié entre les parties reconnaissent que ce principe de l'autodétermination a été atteint», a déclaré Moratinos.
Le chef de la diplomatie espagnole a reconnu que référendum est plus compliqué,cette consultation que les résolutions du Conseil de sécurité reclament depuis plus de trois décennies n'est plus, dit-il, une exigence de l'ONU. L'ONU maintient une mission déployée sur le terrain, la MINURSO a, depuis 1991, mais cette fois, n'a pas réussi à tenir un référendum à chaque fois, il semble plus éloigné de l'intérêt des pays qui contrôlent le rythme de ce conflit.
Le gouvernement marocain a critiqué le filtrage des rapports par les députés qui, après plus de quatre ans, ont pu visiter l'ancienne colonie. Le président de la Chambre des représentants, Mustapha Mansouri, l'a qualifié de «irresponsable» et a demandé au président du Parlement européen Hans-Gert Poettering, qu'il "assume ses responsabilités sur les graves conséquences de ces mesures sur les relations entre le Maroc et l'UE ". Ce document appelle à une plus grande implication des Nations Unies dans la sauvegarde des droits de l'homme dans le Sahara, qui à l'heure actuelle, n'a pas affecté le Minurso.
17-3-2009
Le ministre des Affaires étrangères a rappelé au Congrès aujourd'hui la position du gouvernement espagnol en ce qui concerne le Sahara occidental.
M. Miguel Angel Moratinos a insisté pour que le règlement entre les parties en conflit sous les auspices de l'ONU, mais en même temps, n'a fait pas caché son soutien, à l'initiative «positive» que le plan d'autonomie présenté par Rabat pour l'ancienne colonie, en dépit qu'elle ferme la porte du référendum d'autodétermination.
Le gouvernement estime toutefois que soutenir ce plan de Mohamed VI n'est pas aller à l'encontre de l'autodétermination et tente d'expliquer.
«On peut aussi appliquer dans ce dossier la méthode de la négociation pour définir les contours précis de la manière dont un règlement négocié entre les parties reconnaissent que ce principe de l'autodétermination a été atteint», a déclaré Moratinos.
Le chef de la diplomatie espagnole a reconnu que référendum est plus compliqué,cette consultation que les résolutions du Conseil de sécurité reclament depuis plus de trois décennies n'est plus, dit-il, une exigence de l'ONU. L'ONU maintient une mission déployée sur le terrain, la MINURSO a, depuis 1991, mais cette fois, n'a pas réussi à tenir un référendum à chaque fois, il semble plus éloigné de l'intérêt des pays qui contrôlent le rythme de ce conflit.
Le gouvernement marocain a critiqué le filtrage des rapports par les députés qui, après plus de quatre ans, ont pu visiter l'ancienne colonie. Le président de la Chambre des représentants, Mustapha Mansouri, l'a qualifié de «irresponsable» et a demandé au président du Parlement européen Hans-Gert Poettering, qu'il "assume ses responsabilités sur les graves conséquences de ces mesures sur les relations entre le Maroc et l'UE ". Ce document appelle à une plus grande implication des Nations Unies dans la sauvegarde des droits de l'homme dans le Sahara, qui à l'heure actuelle, n'a pas affecté le Minurso.
Article original du quotidien espagnole ABC
17-3-2009
El Ministro de Asuntos Exteriores ha comparecido hoy en el Congreso para recordar la postura del Gobierno español con respecto al Sáhara Occidental.
Miguel Ángel Moratinos ha insistido en que es necesario un acuerdo entre las partes en conflicto bajo los auspicios de la ONU, pero, al mismo tiempo, no ha ocultado que apoya, como iniciativa «positiva», el plan de autonomía que Rabat presentó para la ex colonia a pesar de que cierra la puerta al referéndum de autodeterminación.
El Gobierno opina, sin embargo, que apoyar ese plan de Mohamed VI no es ir en contra de la autodeterminación y trata de explicarlo. «También aquí cabe aplicar el método de la negociación para definir los contornos precisos de la manera en que una solución negociada entre las partes pudiera reconocer que este principio de autodeterminación se ha alcanzado », ha afirmado Moratinos.
Complicado referéndumEs más, el propio jefe de la diplomacia española reconoció que esa consulta que reclaman desde hace más de tres décadas las resoluciones del Consejo de Seguridad ya no es, según él, una exigencia de la ONU. La ONU mantiene desplegada una misión sobre el terreno, la Minurso, desde 1991, pero en todo este tiempo no ha logrado organizar un referéndum que cada vez parece más alejado del interés de los países que controlan el ritmo del conflicto.
El Gobierno de Marruecos saltó ayer también a la palestra para criticar la filtración del informe que han elaborado los europarlamentarios que, tras más de cuatro años, pudieron entrar en la ex colonia. El Presidente de la Cámara de Representantes, Mustapha Mansuri, lo calificó de «irresponsable» y le dijo en Bruselas al Presidente del Parlamento Europeo, Hans Gert Poettering, que «asuma sus responsabilidades ante las graves consecuencias de esas acciones para las relaciones de Marruecos con la UE». Ese documento reclama a la ONU una mayor implicación en la salvaguarda de los derechos humanos en el Sáhara, algo para lo que en este momento no tiene asignado mandato alguno la Minurso.
http://www.abc.es/hemeroteca/histori...844568331.html
Moratinos barre para Rabat
ABC | MADRID17-3-2009
El Ministro de Asuntos Exteriores ha comparecido hoy en el Congreso para recordar la postura del Gobierno español con respecto al Sáhara Occidental.
Miguel Ángel Moratinos ha insistido en que es necesario un acuerdo entre las partes en conflicto bajo los auspicios de la ONU, pero, al mismo tiempo, no ha ocultado que apoya, como iniciativa «positiva», el plan de autonomía que Rabat presentó para la ex colonia a pesar de que cierra la puerta al referéndum de autodeterminación.
El Gobierno opina, sin embargo, que apoyar ese plan de Mohamed VI no es ir en contra de la autodeterminación y trata de explicarlo. «También aquí cabe aplicar el método de la negociación para definir los contornos precisos de la manera en que una solución negociada entre las partes pudiera reconocer que este principio de autodeterminación se ha alcanzado », ha afirmado Moratinos.
Complicado referéndumEs más, el propio jefe de la diplomacia española reconoció que esa consulta que reclaman desde hace más de tres décadas las resoluciones del Consejo de Seguridad ya no es, según él, una exigencia de la ONU. La ONU mantiene desplegada una misión sobre el terreno, la Minurso, desde 1991, pero en todo este tiempo no ha logrado organizar un referéndum que cada vez parece más alejado del interés de los países que controlan el ritmo del conflicto.
El Gobierno de Marruecos saltó ayer también a la palestra para criticar la filtración del informe que han elaborado los europarlamentarios que, tras más de cuatro años, pudieron entrar en la ex colonia. El Presidente de la Cámara de Representantes, Mustapha Mansuri, lo calificó de «irresponsable» y le dijo en Bruselas al Presidente del Parlamento Europeo, Hans Gert Poettering, que «asuma sus responsabilidades ante las graves consecuencias de esas acciones para las relaciones de Marruecos con la UE». Ese documento reclama a la ONU una mayor implicación en la salvaguarda de los derechos humanos en el Sáhara, algo para lo que en este momento no tiene asignado mandato alguno la Minurso.
http://www.abc.es/hemeroteca/histori...844568331.html
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