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Exportation de produits agricoles : L’Etat participera à 80% aux charges de transport
L'Etat participera à près de 80% aux charges de transport des produits agricole destinés à l'exportation, a annoncé, dimanche à Mila, le ministre du Commerce, Hachemi Djaâboub.
Au cours d’une visite de travail dans cette wilaya, M. Djaâboub a annoncé que l'Etat participera à hauteur de 80 % des charges de transport de l'ensemble des produits agricoles destinés à l'exportation, ainsi que cela se fait pour la datte «Deglet Nour».
Il a, en outre, assuré que «d’autres mesures seront prises par l’Etat en faveur des exportateurs en matière de formation et de participation aux foires et Salons organisés par le ministère du Commerce». Sur la place attenante à la Maison de la culture de Mila, le ministre a donné le signal de départ de 5 camions de gros tonnage, chargés de 183 tonnes d’oignons sauvages «bio», d’une valeur de 200.000 euros, destinés à l’Italie via la Tunisie. Le ministre a rendu hommage aux agriculteurs milevins qui sont à l’origine de cette initiative, et qui avaient avait déjà procédé à l’exportation, en début d’année, de 1.250 tonnes d’oignons sauvages et 260 tonnes de divers autres produits, notamment des légumes et des châtaignes. Dans une déclaration à l'APS, Hachemi Djaâboub a indiqué que les exportations hors hydrocarbures ont enregistré, ces dernières années, «des progrès remarquables grâce à la politique du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, aux efforts du Gouvernement et à ceux des opérateurs économiques». La valeur de ces exportations hors hydrocarbures est passée de 1milliard de dollars, en 2006, à 2 milliards de dollars en 2008. Il a cité le cas des exportations de «Deglet Nour» qui ont atteint un volume de 18.000 tonnes en 2008, alors que les capacités annuelles de production sont de l’ordre de 200.000 tonnes annuellement.
Deglet Nour : 18.000 tonnes exportées en 2008
Le ministre a ajouté que le pays «dispose encore de grandes capacités d’exportation qui attendent d’être exploitées dans le cadre d’un programme global de mise à niveau des entreprises économiques algériennes».
Il a souligné que ce programme vise mettre à rendre ces entreprises «plus compétitives, proposant des produits de haute qualité, conformes aux normes internationales». Par ailleurs, Hachemi Djaâboub a assisté, à la Maison de la culture de Mila, aux festivités marquant la célébration de la Journée mondiale de l’eau, visitant aussi une exposition dédiée à ce secteur, avant de présider la cérémonie d’ouverture d’une conférence scientifique sur les ressources hydrauliques.
Lors de ce colloque, le ministre a insisté sur la préservation de l’eau et de sa protection contre toutes les formes de gaspillage et de pollution. Il a appelé les participants à multiplier les actions de sensibilisation dans ce domaine, avant de rappeler les «efforts gigantesques» du pays en matière de stockage de cette ressource. Les capacités de mobilisation sont passées, en Algérie, de 3,7 milliards de mètres cubes en 1999, à 8 milliards de m3 actuellement, grâce à la réalisation de 12 barrages, 16 autres ouvrages étant en cours de réalisation, a-t-il rappelé, soulignant que les investissements publics en direction du secteur hydraulique ont totalisé, depuis l'année 2000, 20 milliards de dollars.
Le Financier
Au cours d’une visite de travail dans cette wilaya, M. Djaâboub a annoncé que l'Etat participera à hauteur de 80 % des charges de transport de l'ensemble des produits agricoles destinés à l'exportation, ainsi que cela se fait pour la datte «Deglet Nour».
Il a, en outre, assuré que «d’autres mesures seront prises par l’Etat en faveur des exportateurs en matière de formation et de participation aux foires et Salons organisés par le ministère du Commerce». Sur la place attenante à la Maison de la culture de Mila, le ministre a donné le signal de départ de 5 camions de gros tonnage, chargés de 183 tonnes d’oignons sauvages «bio», d’une valeur de 200.000 euros, destinés à l’Italie via la Tunisie. Le ministre a rendu hommage aux agriculteurs milevins qui sont à l’origine de cette initiative, et qui avaient avait déjà procédé à l’exportation, en début d’année, de 1.250 tonnes d’oignons sauvages et 260 tonnes de divers autres produits, notamment des légumes et des châtaignes. Dans une déclaration à l'APS, Hachemi Djaâboub a indiqué que les exportations hors hydrocarbures ont enregistré, ces dernières années, «des progrès remarquables grâce à la politique du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, aux efforts du Gouvernement et à ceux des opérateurs économiques». La valeur de ces exportations hors hydrocarbures est passée de 1milliard de dollars, en 2006, à 2 milliards de dollars en 2008. Il a cité le cas des exportations de «Deglet Nour» qui ont atteint un volume de 18.000 tonnes en 2008, alors que les capacités annuelles de production sont de l’ordre de 200.000 tonnes annuellement.
Deglet Nour : 18.000 tonnes exportées en 2008
Le ministre a ajouté que le pays «dispose encore de grandes capacités d’exportation qui attendent d’être exploitées dans le cadre d’un programme global de mise à niveau des entreprises économiques algériennes».
Il a souligné que ce programme vise mettre à rendre ces entreprises «plus compétitives, proposant des produits de haute qualité, conformes aux normes internationales». Par ailleurs, Hachemi Djaâboub a assisté, à la Maison de la culture de Mila, aux festivités marquant la célébration de la Journée mondiale de l’eau, visitant aussi une exposition dédiée à ce secteur, avant de présider la cérémonie d’ouverture d’une conférence scientifique sur les ressources hydrauliques.
Lors de ce colloque, le ministre a insisté sur la préservation de l’eau et de sa protection contre toutes les formes de gaspillage et de pollution. Il a appelé les participants à multiplier les actions de sensibilisation dans ce domaine, avant de rappeler les «efforts gigantesques» du pays en matière de stockage de cette ressource. Les capacités de mobilisation sont passées, en Algérie, de 3,7 milliards de mètres cubes en 1999, à 8 milliards de m3 actuellement, grâce à la réalisation de 12 barrages, 16 autres ouvrages étant en cours de réalisation, a-t-il rappelé, soulignant que les investissements publics en direction du secteur hydraulique ont totalisé, depuis l'année 2000, 20 milliards de dollars.
Le Financier