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L'entente soutient boutef avec Serrar

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  • L'entente soutient boutef avec Serrar

    D’anciennes gloires du football s’affichent à sétif
    Présidentielle : le monde du sport entre en jeu
    Par :Djilali Benyoub

    Parmi l’assistance, il y avait évidemment le président de l’ESS, Hakim Serrar, d’anciens footballeurs comme Fergani, Guendouz, Salhi, Belloumi… Et des athlètes comme Morsli.
    La campagne de Bouteflika à Sétif a été une halte de nostalgie surtout qu’elle est placée sous le signe du sport. Le candidat avait occupé le poste de ministre de la Jeunesse et des Sports de 1962 à 1963. Juste après cette période où les sportifs participaient, à leur façon, au combat libérateur. Évidemment, il s’agit de l’équipe du FLN qui porta la voix de l’Algérie à travers ses prestations.
    Faisant le parallèle avec la période postcoloniale, Bouteflika a rappelé que la pratique sportive était un refuge pour les jeunes qui étaient une fierté pour le pays. Il regretta, cependant, que l’espoir de voir les sportifs porter haut l’image du pays se dissipe dans la crise et la stagnation. Évidemment le terrorisme est venu détruire toute chose.
    Cela dit, selon lui, le pays dispose de moyens, d’institutions, de facilités et d’encouragement pour la généralisation de la pratique du sport. “Nous avons les moyens d’organiser deux Coupes du monde”, a-t-il clamé devant les sportifs. Parmi l’assistance, il y avait évidemment le président de l’ESS, Hakim Serrar, d’anciens footballeurs comme Fergani, Guendouz, Salhi, Belloumi… des invités des 48 wilayas du pays ainsi que les équipes locales. Et des athlètes comme Morsli, salué par le président pour ses performances au moment où le pays avait des difficultés. Il ne s’explique pas la situation actuelle du sport national, notamment le football, surtout comparé aux pays voisins. “Où sommes-nous ?” a-t-il demandé.
    De déclin en déclin, la gloire du sport algérien s’évapore et la pratique est émaillée de violence en constante évolution. La question risque d’avoir des répercussions graves si les choses restent comme telles, selon Bouteflika. Il
    mettra l’accent sur la violence : “terrorisme dans les stades, la drogue et cette jeunesse qui se perd”. D’ailleurs, a-t-il fait remarquer, les installations existent, mais les jeunes sont perdus. En conclusion, le candidat demande aux sportifs et responsables de faire des propositions. “Faites des propositions et nous appliquerons”, dit-il. Il a insisté sur la nécessité de s’occuper des sports autres que le football. Et au sujet du football, il a dénoncé “le business et la corruption” qui gangrènent ce sport. “Ils sont en train de jouer avec notre dîner”, dit-il.
    Il avouera respecter les jeunes, les sportifs, mais déplore “les décisions qui viennent de Lausanne”. “Nous devons laver notre linge en famille”, dit-il. Et à l’endroit des présidents de club, mais sans les citer nommément, il lancera : “Celui qui veut faire de l’argent, il y a le commerce. Il n’a qu’à ouvrir un commerce.”
    Après le rappel de son programme qui est “édité partout”, Bouteflika se positionnera loin des “laïcs et des islamistes”. Et ces derniers qui ont utilisé l’Islam comme une carte politique. “Le sujet n’est plus valable”, dit-il. La question identitaire a été actualisée avec le constat de “déchirement”. “Nous ne sommes ni Berbères ni Arabes ni Européens”, dit-il avant de préciser que le cas de Sétif est particulier. “C’est une région berbère arabisée en douceur”.
    Au plan économique, il a salué les réalisations de Sétif, “l’une des rares wilayas à consommer son budget”. Même le privé local a eu droit aux félicitations, même si, a reconnu Bouteflika, il est “de culture socialiste”. “Si tous les privés algériens travaillent comme ceux de Sétif ou Bordj Bou-Arréridj, on aurait gagné dix ans”, a-t-il. Il a invité l’assistance en conclusion à choisir “souverainement” entre la continuité, la poursuite du
    programme en cours ou le
    changement.
    Ayant choisi l’option de l’activité de proximité ciblée sur un thème, le candidat Bouteflika, pour le contact, a opté pour le bain de foule, devenu un rituel depuis le début de sa campagne. Si à Sétif, il a commencé par le bain de foule avant de passer à son discours devant les sportifs, à Bordj Bou-Arréridj, il s’est contenté d’un grand bain de foule. Et pour le reste de sa campagne, il a décidé de faire un “deux en un”, deux wilayas en même temps.

    Nahnou ma’a Falastine dhalima aoue madhelouma» Houari Boumediène

  • #2
    Moha

    Non, encore une fois, personne ne peut parler au nom de l'entente, si serrar soutient bouteflika, c'est son problème, moi je supporte l'ESS pour ses compétences sportives, mais si ils commencent à y mêler la politique, alors bye, gardez là votre entente, il y aura une autre entente.

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    • #3
      J'espère que Hannachi en bon vendu qu'il est ne va pas soutenir bouteflika ! J'aime bien la particularité JSK !

      Non, encore une fois, personne ne peut parler au nom de l'entente, si serrar soutient bouteflika, c'est son problème, moi je supporte l'ESS pour ses compétences sportives, mais si ils commencent à y mêler la politique, alors bye, gardez là votre entente, il y aura une autre entente.
      T'as pas le choix vieux !
      Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

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      • #4
        massnesn

        t'a raison tout est lié. tout ce qui brille attire les pique-assiètes.ils veulent briller coute que coute.
        Nahnou ma’a Falastine dhalima aoue madhelouma» Houari Boumediène

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