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… ou la discrimination négative !
La prise en charge de tous les Français serait le rôle du Chef de l’État… aurait dit… le Chef dans tous ses états ! Sauf que tous les Français ne sont pas égaux. Et certains seraient « plus égaux » que d’autres ! Discrimination ? Que non ! Simple… ségrégation. N’est-ce pas l’image que l’on affiche, comme un défi, lorsqu’on s’occupe totalement des uns et aucunement des autres ?
N’avons-nous pas souvenir d’une phrase émouvante bien que nous la savions aucunement sincère et devinions qu’elle sous-tendait une autre action plus subtile… qu’on ne dévoila pas tout de suite ?
Nous ne nous sommes pas trompés dans les buts, pourtant, a posteriori.
Elle avait été prononcée, à l’époque, de manière officielle, engageant l’homme, mais hélas aussi la République, par un individu dont le brassage de l’air était déjà un rituel qui faisait s’enrhumer quelques uns mais qui, aujourd’hui, fait suer tout le monde !
La voici :
« Le rôle du chef de l’État est de prendre en charge tous les Français. J’irai également chercher ceux qui restent, quoi qu’ils aient fait... quoi qu’ils aient fait... quels qu’ils soient... ceux qui ont fait des choses bien mais aussi ceux qui ont fait des erreurs. ».
Rappelons-nous ! Elle fut jetée, frisant l’inconscience, devant les marins-pécheurs considérés, pour la circonstance, comme des martins-pécheurs, afin de faire sensation. C’était, nous le savions tous, de l’esbroufe. Mais il se trouve que, hâbleur ou pas, lorsqu’un Président de la République s’engage, il le fait au nom de l’État et doit s’acquitter de la parole donnée.
Rappelons-nous, encore ! Elle fut lancée alors que l’Arche de Zoé avait sombré au Tchad et que ses membres avaient été emprisonnés, à juste titre, dans le pays duquel ils avaient violé manifestement les lois !
Que constatons-nous, aujourd’hui ?
-Les membres de l’Arche de Zoé purgent… enfin, font semblant de purger… une peine en France ! C’est bien, M’sieur l’Président, mais n’oublions pas que, dans cette histoire, on a floué le Tchad qu’on a fait passer pour une bourrique, la France ne s’étant pas acquittée des promesses faites après la libération des prisonniers. Pourquoi, d’ailleurs devrait-elle honorer sa parole vis-à-vis d’Africains considérés comme des moins que rien ? Sont-ce seulement des hommes ? Non, puisqu’ils ont emprisonné des Blancs… qui furent jadis leurs maitres, souvenons-nous… ils ne méritent donc pas notre respect car le White Power reste encore vivace chez certains visages pâles aux esprits sombres !
-Ingrid Betancourt est de retour à la maison… on ne sait trop comment, d’ailleurs ! Toutefois, c’est encore « plus mieux bien » comme qui dirait ! Le Président n’y est pour rien mais bon… faut bien rafler les lauriers à l’arrivée et alimenter le théâtre. C’est fait !
-Florence Cassez, une jeune Française de 33 ans, jugée au Mexique pour enlèvements et possession illégale d'armes, est en voie d’être acheminée en France puisque le Président y a mis sa patte. C’est merveilleux ! Bravo !
Sarkozy, quoiqu’en disent les mauvaises langues, s’est acquitté, tout de même, de la parole donnée ! C’est admirable ! Mais il ne l’a fait qu’en partie… et le plus intéressant reste à venir !
Rappelons-nous, qu’il avait dit, et bien précisé : « quels qu’ils soient… », signifiant clairement que tout Français emprisonné à l’étranger devait être rapatrié dans son pays !
Le principe énoncé reste, néanmoins, valable pour tous. Toutefois, notre respectable Président, l’applique pleinement et fait tous ses efforts pour un seul individu Jilad Chalit, le Franco-israélien.
Le cas est pourtant spécifique et n’intéresse aucunement notre pays car l’homme est un volontaire de l’ADL, capturé par le Hamas. C’est donc un prisonnier de guerre, dont le sort est régi par des lois internationales. Il est protégé, par conséquent, par la Convention de Genève. Il n’est aucunement otage comme voudraient le faire croire nos ennemis de Sion afin de soulever la compassion. Chalit a choisi de se battre pour un État terroriste, donc d’être amené à tuer, s’il ne l’a déjà fait, des femmes et des enfants sans défense. Il ne mérite aucunement notre pitié et encore moins que la France s’investisse pour lui car il est tout d’abord Israélien… et bien secondairement Français puisqu’il ne parle même pas notre langue. En outre, il pratique le terrorisme, bible de l’État d’Israël ! Le déploiement démesuré de moyens, la réception officielle du père, dont nous ne pouvons que respecter la douleur et saluer les efforts, n’ont ; cependant, pas lieu d’être.
C’est pourquoi, nous disions en introduction que le Président s’était engagé sur d’autres fronts… seulement dans le but de faire valider « moralement », d’appeler à caution, par les Français, ses efforts envers, plus un compagnon d’idéologie, qu’un Français !
Personne ne pourra contester la discrimination, parce qu’elle crève les yeux, elle est manifeste, quand on sait que le Président met tout en œuvre pour un Chalit qui ne le mérite pas alors qu’un Franco-Palestinien Salah Hamouri fait l’objet d’un emprisonnement en Israël pour un délit d’opinion !
Franco-palestinien, c’est beaucoup dire, d’ailleurs, puisque l’État palestinien n’existe pas encore donc Hamouri est bien, et seulement, Français !
Qu’a fait Sarkozy en sa faveur ? Rien ! Il ignore totalement l’homme ! Pour lui, il n’existe pas !
N’est-ce pas un viol de la promesse faite ? D’autant que le Président avait crâné en le disant par deux fois: « quoi qu’ils aient fait ! ».
Doit-on comprendre que les interventions du Président ne se font seulement qu’en fonction de la couleur de la peau, de l’« ethnie » (pour ceux qui y croient !)… ou de la religion ?
Non… il n’y a rien à comprendre car les faits sont là et… parlent !
La prise en charge de tous les Français serait le rôle du Chef de l’État… aurait dit… le Chef dans tous ses états ! Sauf que tous les Français ne sont pas égaux. Et certains seraient « plus égaux » que d’autres ! Discrimination ? Que non ! Simple… ségrégation. N’est-ce pas l’image que l’on affiche, comme un défi, lorsqu’on s’occupe totalement des uns et aucunement des autres ?
N’avons-nous pas souvenir d’une phrase émouvante bien que nous la savions aucunement sincère et devinions qu’elle sous-tendait une autre action plus subtile… qu’on ne dévoila pas tout de suite ?
Nous ne nous sommes pas trompés dans les buts, pourtant, a posteriori.
Elle avait été prononcée, à l’époque, de manière officielle, engageant l’homme, mais hélas aussi la République, par un individu dont le brassage de l’air était déjà un rituel qui faisait s’enrhumer quelques uns mais qui, aujourd’hui, fait suer tout le monde !
La voici :
« Le rôle du chef de l’État est de prendre en charge tous les Français. J’irai également chercher ceux qui restent, quoi qu’ils aient fait... quoi qu’ils aient fait... quels qu’ils soient... ceux qui ont fait des choses bien mais aussi ceux qui ont fait des erreurs. ».
Rappelons-nous ! Elle fut jetée, frisant l’inconscience, devant les marins-pécheurs considérés, pour la circonstance, comme des martins-pécheurs, afin de faire sensation. C’était, nous le savions tous, de l’esbroufe. Mais il se trouve que, hâbleur ou pas, lorsqu’un Président de la République s’engage, il le fait au nom de l’État et doit s’acquitter de la parole donnée.
Rappelons-nous, encore ! Elle fut lancée alors que l’Arche de Zoé avait sombré au Tchad et que ses membres avaient été emprisonnés, à juste titre, dans le pays duquel ils avaient violé manifestement les lois !
Que constatons-nous, aujourd’hui ?
-Les membres de l’Arche de Zoé purgent… enfin, font semblant de purger… une peine en France ! C’est bien, M’sieur l’Président, mais n’oublions pas que, dans cette histoire, on a floué le Tchad qu’on a fait passer pour une bourrique, la France ne s’étant pas acquittée des promesses faites après la libération des prisonniers. Pourquoi, d’ailleurs devrait-elle honorer sa parole vis-à-vis d’Africains considérés comme des moins que rien ? Sont-ce seulement des hommes ? Non, puisqu’ils ont emprisonné des Blancs… qui furent jadis leurs maitres, souvenons-nous… ils ne méritent donc pas notre respect car le White Power reste encore vivace chez certains visages pâles aux esprits sombres !
-Ingrid Betancourt est de retour à la maison… on ne sait trop comment, d’ailleurs ! Toutefois, c’est encore « plus mieux bien » comme qui dirait ! Le Président n’y est pour rien mais bon… faut bien rafler les lauriers à l’arrivée et alimenter le théâtre. C’est fait !
-Florence Cassez, une jeune Française de 33 ans, jugée au Mexique pour enlèvements et possession illégale d'armes, est en voie d’être acheminée en France puisque le Président y a mis sa patte. C’est merveilleux ! Bravo !
Sarkozy, quoiqu’en disent les mauvaises langues, s’est acquitté, tout de même, de la parole donnée ! C’est admirable ! Mais il ne l’a fait qu’en partie… et le plus intéressant reste à venir !
Rappelons-nous, qu’il avait dit, et bien précisé : « quels qu’ils soient… », signifiant clairement que tout Français emprisonné à l’étranger devait être rapatrié dans son pays !
Le principe énoncé reste, néanmoins, valable pour tous. Toutefois, notre respectable Président, l’applique pleinement et fait tous ses efforts pour un seul individu Jilad Chalit, le Franco-israélien.
Le cas est pourtant spécifique et n’intéresse aucunement notre pays car l’homme est un volontaire de l’ADL, capturé par le Hamas. C’est donc un prisonnier de guerre, dont le sort est régi par des lois internationales. Il est protégé, par conséquent, par la Convention de Genève. Il n’est aucunement otage comme voudraient le faire croire nos ennemis de Sion afin de soulever la compassion. Chalit a choisi de se battre pour un État terroriste, donc d’être amené à tuer, s’il ne l’a déjà fait, des femmes et des enfants sans défense. Il ne mérite aucunement notre pitié et encore moins que la France s’investisse pour lui car il est tout d’abord Israélien… et bien secondairement Français puisqu’il ne parle même pas notre langue. En outre, il pratique le terrorisme, bible de l’État d’Israël ! Le déploiement démesuré de moyens, la réception officielle du père, dont nous ne pouvons que respecter la douleur et saluer les efforts, n’ont ; cependant, pas lieu d’être.
C’est pourquoi, nous disions en introduction que le Président s’était engagé sur d’autres fronts… seulement dans le but de faire valider « moralement », d’appeler à caution, par les Français, ses efforts envers, plus un compagnon d’idéologie, qu’un Français !
Personne ne pourra contester la discrimination, parce qu’elle crève les yeux, elle est manifeste, quand on sait que le Président met tout en œuvre pour un Chalit qui ne le mérite pas alors qu’un Franco-Palestinien Salah Hamouri fait l’objet d’un emprisonnement en Israël pour un délit d’opinion !
Franco-palestinien, c’est beaucoup dire, d’ailleurs, puisque l’État palestinien n’existe pas encore donc Hamouri est bien, et seulement, Français !
Qu’a fait Sarkozy en sa faveur ? Rien ! Il ignore totalement l’homme ! Pour lui, il n’existe pas !
N’est-ce pas un viol de la promesse faite ? D’autant que le Président avait crâné en le disant par deux fois: « quoi qu’ils aient fait ! ».
Doit-on comprendre que les interventions du Président ne se font seulement qu’en fonction de la couleur de la peau, de l’« ethnie » (pour ceux qui y croient !)… ou de la religion ?
Non… il n’y a rien à comprendre car les faits sont là et… parlent !
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