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Agriculture : Plus de 4 millions de quintaux d'olives récoltés jusqu'au 24 mars

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  • Agriculture : Plus de 4 millions de quintaux d'olives récoltés jusqu'au 24 mars

    Une production de 4,52 millions de quintaux d'olives a été enregistrée jusqu'au 24 mars en cours, apprend-on mardi auprès du ministère de l'Agriculture et de Développement Rural.

    Le bilan souligne que les 4,52 millions de quintaux d'olives récoltés se composent de 3,56 millions de quintaux d'olives à huile et de 958.370 quintaux d'olives de table, indique la même source.

    Sur la même période, une production de 56.201 tonnes d'huile (610.883 hectolitres) a été réalisée, selon le ministère qui estime que la campagne oléiculture 2008-2009 a ''débuté timidement'' vers début novembre avec une précocité de la récolte des olives de table, comme chaque année, enregistrée dans la région ouest du pays.

    Il est à rappeler que la compagne oléiculture 2007-2008 a enregistré une production de 2,51 millions de quintaux d'olives dont 1,6 million de quintaux d'olives à huile et de 910.321 quintaux d'olives de table alors que la production de l'huile d'olive avait atteint 24.754 tonnes (263.754 hl).

    APS

    La Tribune Online

  • #2
    l'algerie devrait labeliser son huile d'olive car la chine se met à en faire

    Commentaire


    • #3
      la conquête du marché international Un label qualité pour l'huile d'olive algérienne
      Un label pour l'huile d'olive algérienne, depuis le temps qu'on en parle, aucun texte de loi n'est venu conforter l'idée. Mais décidément, les choses vont changer d'ici peu. A en croire le directeur général de l'Institut technique de l'arboriculture fruitière et de la vigne (ITAF), Mahmoud Mendil, un décret relatif à l'institution d'un label qualité pour les différentes huiles d'olive de l'Algérie sera fin prêt en novembre prochain. "Le projet de labellisation de l'huile d'olive algérienne est en cours de finalisation et le décret d'institution du label de qualité concernant ce produit sera fin prêt en novembre" a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse organisée lundi au Palais des expositions à Alger par le groupe de réflexion "Filaha Innove" pour annoncer la tenue du 1er Forum méditerranéen de l'oléiculture (OLEOMED) les 29 et 30 mars à Alger. Il était temps de prendre les choses en main pour valoriser l'oléiculture, une filière pourtant très porteuse, Les oléiculteurs n'ont jamais cessé d'exprimer leur souhait de voir leur produit sur les étals des marchés extérieurs. Pas plus tard qu'avant hier , les oléiculleurs de la daïra de Maatkas dans la Tizi Ouzou ont exprimé leur voeu d'exporter l'huile produite à partir des olives de leurs vergers pour peu que les autorités publiques concernées "créent un laboratoire de contrôle de la qualité" pour labelliser leur produit. Intervenant en marge de la fête de l'olivier, célébrée pour la première fois par la daïra de Maatkas, le représentant des six huileries activant actuellement dans cette localité a appelé à la "nécessité de la création d'un emballage standard bien identifié pour l'huile d'olive locale". La wilaya de Tizi Ouzou a produit plus de 12 millions de litres d'huile durant la saison en cours, a-t-on souligné sans oublier de citer les nouveautés introduites dans la politique économique agricole et de renouveau rural pour le quinquennat 2009-2014, particulièrement en matière de réhabilitation et de renforcement des plantations d'oliviers à l'échelle locale et nationale, dans l'optique de permettre le relèvement de la qualité et du volume de la production d'huile d'olive et l'amélioration des revenus des producteurs. Autrement dit, l'huile d'olive algérienne a tous les atouts pour être consommée et connue à l'international sous un label algérien. Ce produit biologique, lié à l'histoire de la l'Algérie et écoulé sur les marchés extérieurs comme un breuvage anonyme, souffre encore d'un déficit d'image. Seul 1 % des quantités exportées est conditionné, le reste est vendu en vrac et est valorisé, sur les marchés extérieurs, par des sous-traitants étrangers. Aussi, pour s'exporter dans des conditions conformes à la réglementation internationale. Les oléiculteurs commencent à cerner les enjeux. Ils s'y mettent. Améliorer la qualité de l'huile d'olive lui ouvrirait des perspectives certaines sur le marché mondial de plus en plus demandeur, Le label est une garantie pour le produit algérien qui cherche à tout prix à se positionner sur le marché international. L'absence de label remet en cause la traçabilité des produits de terroir et les confronte à une concurrence déloyale et à la contrefaçon. L'exemple de Deglet nour tunisienne est l'un des plus édifiants. La Tunisie et le Maroc, pays voisins devenus en si peu de temps des concurrents potentiels, arrivent à placer, sur le marché mondial, environ 30 % de leurs productions nationales d'huile d'olive, en dépit des problèmes de coûts de production élevés qu'ils encourent. Alors pourquoi l'Algérie ne ferait-elle pas autant pour valoriser son huile d'olive ? Dalila B.


      le maghreb 25/03
      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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      • #4
        justement: L’huile d'olive algérienne labélisée en novembre

        Un décret relatif à l'institution d'un label-qualité pour les différentes huiles d'olive de l'Algérie sera fin prêt en novembre prochain, a annoncé, lundi à Alger, le directeur général de l'Institut technique de l'arboriculture fruitière et de la vigne (ITAF), Mahmoud Mendil.


        «Le projet de labellisation de l'huile d'olive algérienne est en cours de finalisation et le décret d'institution du label de qualité concernant ce produit sera fin prêt en novembre», a indiqué M. Mendil. Ce responsable s'exprimait lors d'une conférence de presse organisée par le groupe de réflexion «Filaha Innove» pour annoncer la tenue du 1er Forum méditerranéen de l'Oléiculture (Oleomed) les 29 et 30 mars à Alger.


        Selon les professionnels du secteur, vue la diversité qui caractérise l'huile d'olive algérienne, deux labels devraient être institués, l'un pour le produit destiné uniquement au marché local et le second pour celui qui va être exporté. Pour définir ces différentes qualités, un arrêté ministériel a été publié en 2008, instituant l'indicateur géographique comme élément essentiel qu'il faut prendre en compte pour détecter les caractéristiques du produit de chaque région du pays, selon les explications de la sous-directrice de la recherche au niveau du ministère de l'Agriculture, Hamana Malika.

        (c) Le financier 24/03/2009
        .


        Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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        • #5
          tant mieux . Mieux vaut privilegier la qualité

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