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Le PDG de Renault Algérie roulerait-il pour le Maroc?

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  • Le PDG de Renault Algérie roulerait-il pour le Maroc?

    RENAULT ALGÉRIE
    Pour qui roule Galoustian?
    25 Mars 2009 - Page : 24
    Lu 486 fois



    Ce dernier se contente de surfer sur la vague de succès léguée par ses prédécesseurs.
    Alors que son président-directeur général a mal négocié l’opportunité, Renault Algérie fait rater à l’Algérie l’occasion d’un réel investissement. A croire que la succursale du Losange ne s’est jamais aussi mal portée que sous le règne de son actuel patron, Stephan Galoustian, ce dernier se contentant de surfer sur la vague de succès léguée par ses prédécesseurs.

    En fait, ce manager dont le seul souci est d’étoffer le réseau commercial, avec pour seul souci les scores de ventes, n’a pas pu convaincre les Algériens qui vouent un respect sincère à la marque Renault et à laquelle les lie tout un passé. L’on s’en doute donc, le président-directeur général de cette firme automobile établie dans notre pays, vient de louper l’un des plus importants virages de l’histoire de l’automobile en Afrique du Nord. A savoir celui, certes difficile, de persuader sa hiérarchie de l’intérêt de construire une usine en SKD sur le sol algérien; chose, rappelle-t-on, qui a été finalisée avec une facilité des plus déconcertantes au Royaume chérifien. Selon le premier responsable du Losange en Algérie et non moins membre de l’Association des concessionnaires automobiles algériens (AC2A), les raisons de ce choix seraient le fruit d’une collaboration efficace des autorités marocaines, lesquelles ont permis au constructeur automobile français d’accéder rapidement au foncier industriel. Toujours, selon le même président-directeur général, les raisons de ce choix peu «populaire» auraient également été dictées par le problématique réseau Internet, qui pourrait laisser en rade la chaîne de production automobile si elle venait à être engagée sur notre territoire. Autant d’arguments qui ont du mal à convaincre, surtout lorsque l’on sait que Renault est une marque séculaire en Algérie et où elle a eu déjà à produire les fameuses 4 Cv et R4, au temps jadis, c’est-à-dire lorsque l’on se suffisait du courrier postal et de la classique ligne téléphonique à quatre chiffres. Il est donc évident que pareils arguments tiennent mal la route et ne peuvent amadouer que ceux qui veulent bien y croire! Résultat des courses, point d’usine Renault en Algérie pour l’instant et encore moins à l’avenir. Comme se plaît d’ailleurs à le rappeler sur un ton suffisant, le boss du Losange établi au «bled». N’aurait-il donc pas fallu à ce manager de faire valoir le passé industriel en Algérie de la marque dont il a la responsabilité? Cette simple attitude lui aurait valu bien de la reconnaissance de la part des Algériens auxquels l’on s’évertue, malheureusement, à «fourguer» des biens d’équipement rarement aux normes européennes.
    Il n’y aura donc pas d’usine Renault en Algérie? Et l’évocation de cette simple question fait encore sortir de ses gongs le patron de Renault Algérie. Ce dernier, préférant à chaque fois, suggérer de poser cette question aux pouvoirs publics algériens, ne manquant pas de fustiger au passage l’environnement économique du pays. Une échappatoire par trop facile, avouons-le! «Connaissez-vous un équipementier qui sache fabriquer une pièce selon les normes?», s’est-il déjà interrogé, ajoutant, dans ce domaine: «Il reste beaucoup à faire.» Il questionne: «Où sont les zones franches? Où est ce tissu industriel qui serait à même de contribuer à la création d’une industrie automobile? Comment voulez-vous y parvenir si le gouvernement vous institue encore une taxe de 1% sur le chiffre d’affaires?»
    En somme, le représentant de Renault Algérie a tout le mal du monde à convaincre lorsqu’on lui rappelle qu’au Maroc, Renault s’est bel et bien installé pour construire pas moins de 400.000 véhicules par an. Et cela sans que le Maroc ne dispose de ce fameux taux d’intégration de 65%, que les constructeurs automobiles s’ingénient à réclamer à l’Algérie. Aussi, la question coule de source: «Pour qui roule M.Stephan Galoustian?» Lorsque l’on nourrit tant d’aigreur envers l’Algérie, l’on doit savoir que l’on finit toujours par être déclaré persona non grata. C’est ce qui se confirmera tout prochainement, notamment après que les autorités algériennes aient décidé de soumettre, désormais, les concessionnaires automobiles à la nouvelle règle instaurant le certificat de qualité.
    Les véhicules Renault ne rouleront plus en pays conquis. Une enquête a été diligentée à cet effet par les services concernés. Affaire à suivre.

    L'expression

  • #2
    un jour la pillule sera bien avalé.

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    • #3
      llah ya3fo, nous travaillons inlassablement pour trouver le remede au syndrome marocain, un peu de patience, ca sera possible a soigner un jour.

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      • #4
        il a raison j'aime bien les gens qui parlent comme ça

        comme ça le gouvernement va se rendre compte de son incompetance

        et arrêter de montrer fierement des réalisations banales .... (c ce que fait le gouvernement)


        donc ca n'a rien avoir avec des raisons securitaires

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        • #5
          llah ya3fo, nous travaillons inlassablement pour trouver le remede au syndrome marocain
          A ma connaissance, le sujet traite des déclarations du responsable de renault algérie. pourquoi parler du syndrome marocain ? que vient faire le Maroc içi ?

          Aussi, je ne vois pas dans ce texte une quelconque phrase négative à l'encontre du Maroc.

          une autre bavure à corriger, la SOMACA produit ses logans à un taux d'intégration de 70%
          Je pense que tu devrais relire la phrase.

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          • #6
            Il n’y aura donc pas d’usine Renault en Algérie? Et l’évocation de cette simple question fait encore sortir de ses gongs le patron de Renault Algérie...

            certains journalistes, à la solde de certains "gangs" vous pouse à sortir de vos gonds !

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            • #7
              certains journalistes, à la solde de certains "gangs" vous pouse à sortir de vos gonds !
              En tout cas, l'article de ce journaliste ne devrait même pas être publié. Au lieu de s'en prendre au responsable de Renault Algérie, il devrait faire une évaluation du tissu industriel et voir si les conditions sont réunies pour l'installation d'une industrie automobile en Algérie.

              Si je m'en rappelle bien, L'Algérie devait lancer au début des années 80 une industrie automobile à Tiaret en partenariat avec Fiat. Comprendre l'échec de ce projet permet de me situer l'état d'avancement de notre industrie automobile.

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              • #8
                C'est pour bientôt ..l'état algériens veut former 15000 ingénieurs informatique .
                je crois pas contrairement au marocains motivé par un régime qui craint le courant républicain et la presse de haine les algériens n'ont aucune haine pour le peuple marocains dans leur quotidiens (on est plutôt occupé dans nos débats idéologiques) mais plutôt on appréciaient pas beaucoup la monarchie chérifienne.
                Mais quand on est provoque on a besoin de répondre.

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                • #9
                  le président-directeur général de cette firme automobile établie dans notre pays, vient de louper l’un des plus importants virages de l’histoire de l’automobile en Afrique du Nord. A savoir celui, certes difficile, de persuader sa hiérarchie de l’intérêt de construire une usine en SKD sur le sol algérien;


                  Pour lui personnellement je ne vois pas l'intérêt qu'il peut avoir à persuader les dirigeants de Renault à investir en Algérie. Pour lui le plus important c'est de s'assurer que les voitures Renault entrent bien en Algérie. Pour lui une usine Renault en Lybie au Botswana ou sur les iles Galapagos importe peu.

                  chose, rappelle-t-on, qui a été finalisée avec une facilité des plus déconcertantes au Royaume chérifien. Selon le premier responsable du Losange en Algérie et non moins membre de l’Association des concessionnaires automobiles algériens (AC2A), les raisons de ce choix seraient le fruit d’une collaboration efficace des autorités marocaines, lesquelles ont permis au constructeur automobile français d’accéder rapidement au foncier industriel.


                  Il faut dire que l'état a fait de gros effort pour limiter les ralentissement bureaucratique et toutes les magouilles (corruption, pot-de-vin, va et vient...)

                  L'excuse de l'internet je n'y crois pas trop Algérie Telecom doit sans doute utiliser les mêmes standards que les autres opérateurs, donc l'internet ne doit pas avoir de problème particulier.

                  Par contre oui c'est vrai le taux d'intégration algérien est presque nul, et les équipementiers et les sous traitants sont presque inexistants. Les zones industrielles dans des états épouvantables et les zones franches et les terminaux portuaires de niveau mondial totalement absent.

                  Donc la décision de Renault est tout à fait naturelle c'est l'économie qui parle est rien d'autre.

                  N’aurait-il donc pas fallu à ce manager de faire valoir le passé industriel en Algérie de la marque dont il a la responsabilité? Cette simple attitude lui aurait valu bien de la reconnaissance de la part des Algériens auxquels l’on s’évertue, malheureusement, à «fourguer» des biens d’équipement rarement aux normes européennes.
                  Donc on lui reproche de ne pas avoir dit qu'avant tout étaiat bien et que tout était jolie. Mais diable dans quel but ????? C'est pour faire sourire dans les chaumiéres ?????

                  Les voitures de Renault destinées à l'Algérie sont aux normes européennes peu importe d'ou elle viennent, Maroc, Turquie, Roumanie, Espagne, Italie etc...

                  En somme, le représentant de Renault Algérie a tout le mal du monde à convaincre lorsqu’on lui rappelle qu’au Maroc, Renault s’est bel et bien installé pour construire pas moins de 400.000 véhicules par an. Et cela sans que le Maroc ne dispose de ce fameux taux d’intégration de 65%, que les constructeurs automobiles s’ingénient à réclamer à l’Algérie.
                  La Maroc atteint un taux qui tourne autour des 40% en 2008, ce taux augmente quand on considére les effets croisés des ALE (Accord de Libre Echange). Le taux de 65% pourra être atteint quand l'usine entrera en service dans les années à venir.

                  Aussi, la question coule de source: «Pour qui roule M.Stephan Galoustian?» Lorsque l’on nourrit tant d’aigreur envers l’Algérie, l’on doit savoir que l’on finit toujours par être déclaré persona non grata. C’est ce qui se confirmera tout prochainement, notamment après que les autorités algériennes aient décidé de soumettre, désormais, les concessionnaires automobiles à la nouvelle règle instaurant le certificat de qualité.
                  Les véhicules Renault ne rouleront plus en pays conquis. Une enquête a été diligentée à cet effet par les services concernés. Affaire à suivre.
                  Le dernier paragraphe est la pour rassurer les nationalites aveugles à qui on veut faire croire que Renault est une marque de mauvaise qualité.

                  Ce que je retiens c'est le côté hautement subversif et subjetif de l'article on regrette à pleine gorge le choix de Renault d'être allé au Maroc et de ne pas avoir choisit l'Algérie. Et ensuite on salit et on diffame la marque d'être de mauvaise qualité.

                  Donc expliquez moi pourquoi on regrette le choix de Renault ????
                  Au contraire l'auteur devrait être soulagé que Renault ne soit pas entré en Algérie.

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