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La Russie partage les préoccupations de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) au sujet du programme nucléaire iranien et «ne le considérera transparent que lorsque les doutes de l’Agence sur les véritables objectifs de ce programme seront levés», a indiqué, hier à Moscou, le président de la commission des affaires internationales de la Douma (chambre basse du Parlement russe), M. Constantin Kossatchev.
«Nous ne fermons en aucun cas les yeux sur ce qui se passe en Iran et nous ne pouvons pas considérer son programme nucléaire comme transparent aussi longtemps que l’AIEA se posera des questions à ce sujet», a déclaré Kossatchev lors d’une conférence sur la politique étrangère de la Russie.
Il a cependant souligné que, «contrairement aux Etats-Unis, la Russie considère que seule l’AIEA est habilitée à se prononcer» sur ce programme, et par conséquent à émettre des recommandations à ce sujet. Il a espéré que «le dialogue Russie-Etats-Unis, Russie-Europe, Russie-Chine ainsi que le dialogue avec d’autres pays d’Asie sur ce dossier seront plus constructifs», et a appelé l’Iran à y participer.
Alors que plusieurs pays, notamment les Etats-Unis, affirment que les activités nucléaires iraniennes ont pour objectif de doter Téhéran de l’arme atomique, accusations rejetées par l’Iran qui affirme que son programme est à caractère strictement civil, la Russie a indiqué récemment qu’il n’y avait aucune preuve que le programme iranien était à vocation militaire.
«La Russie considère qu’il n’existe aucun élément permettant d’établir la vocation militaire de ce programme et estime qu’il revêt un caractère strictement pacifique», avait déclaré vendredi le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, lors d’une conférence de presse.
Evoquant le message adressé par le président américain Barack Obama aux Iraniens à l’occasion du nouvel an iranien (nuit du 19 au 20 mars) dans lequel il proposait de relancer les relations entre les Etats-Unis et l’Iran, qui n’ont cessé de se dégrader depuis la révolution iranienne en 1979, Riabkov s’est félicité de cette initiative. Selon lui, «ce pas fait par la nouvelle Administration américaine en direction de Téhéran» contribue à «lever les inquiétudes des Etats-Unis et de la communauté internationale concernant le programme nucléaire iranien».
APS
«Nous ne fermons en aucun cas les yeux sur ce qui se passe en Iran et nous ne pouvons pas considérer son programme nucléaire comme transparent aussi longtemps que l’AIEA se posera des questions à ce sujet», a déclaré Kossatchev lors d’une conférence sur la politique étrangère de la Russie.
Il a cependant souligné que, «contrairement aux Etats-Unis, la Russie considère que seule l’AIEA est habilitée à se prononcer» sur ce programme, et par conséquent à émettre des recommandations à ce sujet. Il a espéré que «le dialogue Russie-Etats-Unis, Russie-Europe, Russie-Chine ainsi que le dialogue avec d’autres pays d’Asie sur ce dossier seront plus constructifs», et a appelé l’Iran à y participer.
Alors que plusieurs pays, notamment les Etats-Unis, affirment que les activités nucléaires iraniennes ont pour objectif de doter Téhéran de l’arme atomique, accusations rejetées par l’Iran qui affirme que son programme est à caractère strictement civil, la Russie a indiqué récemment qu’il n’y avait aucune preuve que le programme iranien était à vocation militaire.
«La Russie considère qu’il n’existe aucun élément permettant d’établir la vocation militaire de ce programme et estime qu’il revêt un caractère strictement pacifique», avait déclaré vendredi le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, lors d’une conférence de presse.
Evoquant le message adressé par le président américain Barack Obama aux Iraniens à l’occasion du nouvel an iranien (nuit du 19 au 20 mars) dans lequel il proposait de relancer les relations entre les Etats-Unis et l’Iran, qui n’ont cessé de se dégrader depuis la révolution iranienne en 1979, Riabkov s’est félicité de cette initiative. Selon lui, «ce pas fait par la nouvelle Administration américaine en direction de Téhéran» contribue à «lever les inquiétudes des Etats-Unis et de la communauté internationale concernant le programme nucléaire iranien».
APS
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