Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Interview de Carlos Iturgaiz sur la question du Sahara

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Interview de Carlos Iturgaiz sur la question du Sahara

    Interview exclusive d'un député européen sur la question du Sahara

    Carlos Iturgaiz, député européen du Parti Popular (PPE) a présidé la délégation de parlementaires européens qui s’est rendu, du 25 au 29 janvier 2009, dans la région du Sahara. De retour de cette visite, et au lendemain de «fuites» du rapport dans la presse espagnole, Carlos Iturgaiz, président de la délégation pour les relations avec les pays du Maghreb a tenu à recadrer le contenu et le contenant du rapport final. Interview vidéo.
    Le député de l'UE précise que «tout a été facilité pour un dialogue sincère et que cette visite ait un caractère historique, car pour la première fois, un groupe de parlementaires en délégation officielle accède à la ville de Laâyoune. Cela prouve bien que le Maroc a changé et je m’en félicite», dit-il.

    Sur la polémique née autour des fuites du rapport dans la presse espagnole, Carlos Iturgaiz se montre intraitable. «Je suis en colère et très fâché. Ce qui a été édit et écrit dans les colonnes de la presse est archi faux et non fondé. Ce rapport ne correspond pas à la réalité. Le rapport final aura un autre forme et surtout un contenu différent. Comment peut-on affirmer et rédiger des écrits sur la base d’éléments virtuels ? C’est inadmissible», ajoute-t-il.

    Concernant le circuit que prendra le rapport final, il sera transmis à la confiance des présidents pour observations, soumis à la signature du président du Parlement et présenter à l’opinion publique, dans les prochaines semaines.

    Quand à savoir si la délégation de parlementaires européens est soumise à des pressions, Carlos Iturgaiz indique que «la pression, cela se gère dans notre métier. Nos responsabilités nous imposent de la rigueur et du pragmatisme».

    Issu de la famille politique du Parti Popular, formation politique espagnole qui n’a pas forcément bonne presse au Maroc, Carlos Iturgaiz précise que «le PPE est la formation politique majoritaire au Parlement Européen. Je pense que les différents à qui vous faîtes référence appartiennent au passé. Ils étaient même momentanés. Globalement, les relations politiques entre l’Espagne et le Maroc sont bonnes», conclut le député européen.

    ********
    Dernière modification par Ben Tachefine, 27 mars 2009, 14h24.

  • #2
    C'est rassurant du moins pour le moment.

    Commentaire


    • #3
      Interview exclusive d'un député européen sur la question du Sahara

      Publié le 27.03.2009

      Copyright y a b i l a d i . com

      Carlos Iturgaiz, député européen du Parti Popular (PPE) a présidé la délégation de parlementaires européens qui s’est rendu, du 25 au 29 janvier 2009, dans la région du Sahara. De retour de cette visite, et au lendemain de «fuites» du rapport dans la presse espagnole, Carlos Iturgaiz, président de la délégation pour les relations avec les pays du Maghreb a tenu à recadrer le contenu et le contenant du rapport final. Interview vidéo.
      Interview exclusive d'un député européen sur la question du Sahara Le député de l'UE précise que «tout a été facilité pour un dialogue sincère et que cette visite ait un caractère historique, car pour la première fois, un groupe de parlementaires en délégation officielle accède à la ville de Laâyoune. Cela prouve bien que le Maroc a changé et je m’en félicite», dit-il.

      Sur la polémique née autour des fuites du rapport dans la presse espagnole, Carlos Iturgaiz se montre intraitable. «Je suis en colère et très fâché. Ce qui a été édit et écrit dans les colonnes de la presse est archi faux et non fondé. Ce rapport ne correspond pas à la réalité. Le rapport final aura un autre forme et surtout un contenu différent. Comment peut-on affirmer et rédiger des écrits sur la base d’éléments virtuels ? C’est inadmissible», ajoute-t-il.

      Concernant le circuit que prendra le rapport final, il sera transmis à la confiance des présidents pour observations, soumis à la signature du président du Parlement et présenter à l’opinion publique, dans les prochaines semaines.

      Quand à savoir si la délégation de parlementaires européens est soumise à des pressions, Carlos Iturgaiz indique que «la pression, cela se gère dans notre métier. Nos responsabilités nous imposent de la rigueur et du pragmatisme».

      Issu de la famille politique du Parti Popular, formation politique espagnole qui n’a pas forcément bonne presse au Maroc, Carlos Iturgaiz précise que «le PPE est la formation politique majoritaire au Parlement Européen. Je pense que les différents à qui vous faîtes référence appartiennent au passé. Ils étaient même momentanés. Globalement, les relations politiques entre l’Espagne et le Maroc sont bonnes», conclut le député européen.

      Commentaire


      • #4
        bizarre? j'ai déjàr épondu à ce poste et voilà qu'il refait surface!!!!

        Commentaire


        • #5
          jaw'zia , houari, bachi , taghiti au secours !
          la verité is back !

          Commentaire


          • #6
            C'etait juste une occasion révé pour se défouler un peu vu le désespoir dans lequel est leur causes "nationale" , mais ils savaient bien qu'un tel truc n'allait pas arriver, c'etait un rêve qui a durée un jour ou deux....

            bachi
            Non bachi ne fait pas partie du groupe mentionné....

            Commentaire


            • #7
              le désespoir dans lequel est leur causes "nationale"
              Après les récentes déclaration de moratinos, et les dernières frustation de la presse algérinne,et notre présence dans notre territoire depuis plus de 30ans tranquilement ,et les chiens qui aboient ,dieu sait combien nous sommes despérés !

              Commentaire


              • #8
                leur cause "nationale"
                Je trouve pas d'emoticon appropriée

                Commentaire


                • #9
                  Le parlement européen , avec ses 785 députés, adopte le rapport établit par la commission européenne sur le sahara occidental.

                  Dois je vous laisser conclure ???
                  Dernière modification par jawzia, 28 mars 2009, 10h37.

                  Commentaire


                  • #10
                    jawzia

                    dans quelle forme ce document a été adopté ?
                    hahahaha pas dans celle que ton journal a publiée et que tu defendais bec et ongle !
                    La DRS va te couper les vivres mon ami !

                    le goulag de tamnarest t'ouvre les portes !

                    Commentaire


                    • #11
                      dans quelle forme ce document a été adopté ?
                      Celle établie par la commission européenne sur le sahara occidental.

                      Pourquoi, tu as une autre version ?

                      Pour le goulag, tam et le reste .... reste Zen, petit !!!

                      Commentaire


                      • #12
                        jaw'zia , houari, bachi , taghiti au secours !
                        la verité is back !
                        Qalou la verité is back , celle de la MAP ..

                        Tu auras la vérité …..à faire à suivre lbgha la3ssal âpre il l aura pendant et après les négociations prochaines ….. …souvient –toi de ces propos ..
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                        Commentaire


                        • #13
                          C'est pas pour remuer le couteau dans la plaie mais voilà comment s'est déroulée l'adoption

                          Rapport européen pour le Sahara occidental

                          Publié le 19/03/2009 07:39 par

                          Le Maroc a, durant près de quatre années, fait obstacle à la Délégation ad-hoc pour le Sahara occidental aux fins d'une enquête sur les atteintes aux droits de l'Homme et les violences que subissent les Sahraouis. Mardi dernier, la Délégation des eurodéputés a adopté son rapport. Accablant pour les forces d'occupation marocaines.

                          «Le Sahara occidental est inscrit depuis 1963 sur la liste onusienne des territoires non autonomes qui restent à décoloniser. Conformément au droit international, le statut de territoire non autonome ne cesse que par l'exercice du droit à l'autodétermination». A la lecture de cette introduction du rapport de la délégation ad-hoc du Parlement européen (PE) pour le Sahara occidental, les représentants diplomatiques marocains sont restés de marbre. Dans la salle G1 du PE, le président de la Délégation ad-hoc, Ioannis Kasoulides (Chypre), continuait le réquisitoire : «la situation des droits de l'Homme des Sahraouis est intrinsèquement liée à l'impossibilité, jusqu'à ce jour, de résoudre cette question de l'exercice de l'autodétermination du peuple sahraoui». Le représentant du Polisario auprès de l'UE, Mohamed Sidati, prenait note. L'ambassadeur algérien annotait en marge du rapport quelques observations. Les Marocains ne bougeaient toujours pas. Mardi au PE, parallèlement à la plénière de l'Assemblée parlementaire euro-méditerranéenne (APEM) où la question palestinienne était le centre des débats, celle du peuple sahraoui se rappelait au souvenir des Européens.

                          Le hasard a fait croiser le destin des deux peuples à la recherche de la liberté. Puis, tour à tour, les membres de la délégation ad-hoc se sont exprimés sur le contenu du rapport. L'eurodéputé français Hutchinson a estimé que le rapport est marqué par des opinions politiques plutôt que par un diagnostic sur la situation humanitaire du peuple sahraoui, but et objectif de la mission. Il ajoute qu'il a visité la ville de Laâyoune (occupée) mais n'est pas allé dans les camps des réfugiés de Tindouf. Terrible aveu de partialité. Juger la situation d'un peuple sans le connaître et sans lui rendre visite. En manque d'argument, il ajoute : «le rapport a été aux mains de journalistes (espagnols) avant son adoption. C'est une fuite grave, parce que l'opinion publique a considéré que telle est l'avis de la délégation parlementaire». Cela veut dire que le rapport accable l'occupant marocain et le condamne. Peut-il en être autrement pour un peuple colonisé ? En réponse au Français, les eurodéputés espagnols ont rappelé les péripéties de la délégation parlementaire.

                          Mise en place en 2005, la délégation ad-hoc a pu visiter dès septembre 2006 les camps de réfugiés à Tindouf sous contrôle du Front Polisario, «lequel s'est montré d'une extrême disponibilité», précise le rapport. Les eurodéputés ont, après avoir été reçus par les premières autorités sahraouies, pu travailler librement : contact avec les populations et les responsables humanitaires. Ca n'a pas été le cas avec les responsables marocains qui ont opposé plusieurs refus et émis des réserves sur la composante de la délégation ad-hoc, avant d'accueillir les eurodéputés qu'en janvier 2009. Soit près de quatre ans après son installation. Les manoeuvres des Français visaient la remise en cause du rapport. Echec, le rapport a été adopté et sera très vite soumis à la Conférence des présidents des groupes parlementaires avant de servir de référence au Conseil européen. Ce qui s'est passé mardi au PE est une autre victoire du peuple sahraoui dans sa quête de liberté. Car, comme l'ont souligné les eurodéputés, «bien sûr que la question sahraouie est traitée par les Nations unies, mais l'Europe ne peut pas ne pas s'impliquer dans un conflit qui est à ses portes». Et de faire le lien avec la construction du partenariat euro-méditerranéen (UPM) - autre parallèle avec la question palestinienne - ainsi que celle de l'Union maghrébine.

                          La question sahraouie fait désormais partie des préoccupations de l'UE qui vient de l'inscrire, officiellement, à son agenda politique. Sans donner le temps aux diplomates algériens, marocains et sahraouis de s'exprimer, le président de la Délégation a levé la séance. L'ambassadeur de l'Algérie, Halim Benattalah, a commenté : «Nous avons aidé le PE et lui avons fait confiance bien que l'objet de la mission - les droits de l'Homme au Sahara occidental - ne nous concernait pas. Nous avons facilité les choses pour les eurodéputés».

                          Effectivement, il faut bien rappeler que c'est à la suite des graves violations des droits de l'Homme et à la répression des populations sahraouies, dans les villes occupées par le Maroc, que la PE a fini par s'impliquer directement. Le représentant du Polisario a fait la déclaration suivante : «Par cette recommandation, la Délégation du PE joint sa voix à celles déjà nombreuses, qui réclament au SG de l'Onu et surtout au Conseil de sécurité, l'extension du mandat de la Minurso au domaine des droits de l'Homme... une demande qui rejoint celle émise par le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme qui, dans son rapport de mai 2006, affirme que le droit à l'autodétermination pour le peuple sahraoui doit être assuré et mis en place sans attendre». C'est le premier printemps des Sahraouis en 33 ans d'occupation.

                          M'hammedi Bouzina Med, correspondant du quotidien d'Oran à Bruxelles
                          Dernière modification par jawzia, 28 mars 2009, 10h39.

                          Commentaire


                          • #14
                            Tu perds ton temps Jawzia, même s'ils pensent comme toi, nos "frères" marocains ne le reconnaitront jamais, dixit la liberté d'expression.
                            " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

                            Commentaire


                            • #15
                              == MODERATION==
                              Evitez les provocations et la pollution de topics. Relisez ET respectez la charte.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X