Après la polémique née des déclarations du pape Benoît XVI, qui estimait qu'on ne pouvait pas régler le problème du sida en Afrique avec la distribution de préservatifs» et que, au contraire, leur utilisation aggrave le problème, quelques voix également se sont élevées parmi les hommes d'église et des associations catholiques pour appuyer les déclarations du Pape. Car vous le savez très bien, tous les scientifiques le demontre: la taille du virus du sida est infiniment plus fine que celle d'un spermatozoïde. La preuve est faite que le préservatif n'est pas une garantie à 100% contre le sida».
Une contre-vérité, de l'avis de la communauté scientifique. Le docteur Philippe Arsac, membre du réseau Sida du Loiret, rappelle ainsi que «le virus ne passe pas à travers la paroi du préservatif».
Souvent nées dans les milieux ultraconservateurs américains, ces théories expliquent notamment que la taille du virus du sida, l'une des plus petites connues (90 à 120 nanomètres) serait suffisante pour lui permettre de s'infliltrer au travers de la membrane de latex.
Or, ces arguments sont faux : une molécule d'eau, qui ne fait que 20 à 60 nanomètres, donc moins que le VIH, ne passe pas la barrière du préservatif. Ensuite, un virus ne se déplace pas seul dans le vide mais a besoin d'un milieu dans lequel se propager, en l'occurrence le sperme ou le liquide vaginal, que le latex arrête également.
La corrélation entre usage du préservatif et diminution de la fréquence des contaminations au VIH est également un fait constaté dans le monde entier.
La plupart des études concluent que les cas de préservatifs inefficaces sont le fait de leur mauvaise utilisation. Le préservatif n'est donc pas efficace à 100%, mais reste le moyen le plus sûr de se protéger contre le Sida, de l'avis de toutes les organisations de santé dans le monde.
Donc mes chers amis couvrez-vous autant de fois que possible. Paroles d'un scientifique.
Une contre-vérité, de l'avis de la communauté scientifique. Le docteur Philippe Arsac, membre du réseau Sida du Loiret, rappelle ainsi que «le virus ne passe pas à travers la paroi du préservatif».
Souvent nées dans les milieux ultraconservateurs américains, ces théories expliquent notamment que la taille du virus du sida, l'une des plus petites connues (90 à 120 nanomètres) serait suffisante pour lui permettre de s'infliltrer au travers de la membrane de latex.
Or, ces arguments sont faux : une molécule d'eau, qui ne fait que 20 à 60 nanomètres, donc moins que le VIH, ne passe pas la barrière du préservatif. Ensuite, un virus ne se déplace pas seul dans le vide mais a besoin d'un milieu dans lequel se propager, en l'occurrence le sperme ou le liquide vaginal, que le latex arrête également.
La corrélation entre usage du préservatif et diminution de la fréquence des contaminations au VIH est également un fait constaté dans le monde entier.
La plupart des études concluent que les cas de préservatifs inefficaces sont le fait de leur mauvaise utilisation. Le préservatif n'est donc pas efficace à 100%, mais reste le moyen le plus sûr de se protéger contre le Sida, de l'avis de toutes les organisations de santé dans le monde.
Donc mes chers amis couvrez-vous autant de fois que possible. Paroles d'un scientifique.
Commentaire