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Benoit XVI continue dans les provocations outrancières. Non content d’avoir sous-estimé l’Islam et de réintégrer des prêtres négationnistes, voilà que l’homme s’en prend au préservatif et, plus grave, le fait dans un continent où sévit la maladie. Le Pape est pourtant un érudit. Comment peut-il faire encore semblant d’ignorer les problèmes qui se posent au monde ? Mais Rabelais ne disait-il pas : « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ! » ?
En avant-scriptum, il parait nécessaire de faire une mise au point.
Ce qui est écrit dans le présent texte contre le Pape, bien que ce dernier soit le représentant de la Communauté chrétienne, ne doit aucunement être entendu comme une atteinte au Christianisme. Dans cet article, c’est l’homme, Ratzinger, et seulement lui, qui est visé nonobstant qu’il y soit appelé par son titre ou par son nom pontifical.
Benoit XVI n’avait pas besoin de son véhicule blindé pour faire un accident de la circulation verbale comme seul, lui, sait en faire. La langue fourchue de l’homme blanc était plus que suffisante pour cela !
Encore une fois, l’Infaillible a failli à sa mission chrétienne de paix et d’amour en se prenant la tête dans le couvre… chef et en se mordant la queue !
Le préservatif, selon le Saint-Père, ne serait pas utile dans la lutte contre les maladies sexuelles transmissibles et encore moins contre le Sida.
Bien au contraire, a-t-il dit !
Curieux raisonnement pour une non moins curieuse conception de l’épidémiologie. Mais peut être est-ce une nouvelle théorie que l’ancien Tigron d’Adolf Hitler aurait introduite en médecine ? Papy ferait-il de la science en prônant la résistance au condom ? Il faut le croire !
Pour l’heure et d’après ce que nous savons, le Sida est en train de dévorer l’Afrique mais surtout les Africains car n’oublions pas que sur les 40 millions de personnes atteintes de la maladie, 25 sont africains.
Bien évidemment, les Nazillons accuseront de tous les maux un continent dont ils souhaiteraient voir disparaitre la population mais pas les richesses. Encore une fois, pour eux, l’Afrique est terre de malédiction et ce sont bien les « Nègres » qui nous auraient légué toutes leurs maladies notamment la tuberculose, comme les Arabes et les Indiens, la syphilis.
Oui… oui ! Toutefois, ce que l’on oublie de dire c’est que, si ces pathologies font des ravages dans pareilles populations c’est, tout simplement, parce que ces dernières ne les découvrirent qu'avec le Blanc !
Il est connu que les maladies infectieuses déciment les populations vierges parce que non immunisées.
Rappelons seulement pour mémoire que le racisme, auquel on avait donné un visage scientifique, faisait de la syphilis une maladie amérindienne que les populations autochtones avaient transmise aux marins européens qui contaminèrent ainsi le vieux continent. Or, les restes du fœtus de Cortebelle ont bien prouvé que l’affection existait déjà en Europe au troisième siècle de notre ère et que ce sont bien les équipages de Colomb et de Cook qui contaminèrent les populations d’Amérique. Tout comme nous le firent avec nos anciens colonisés au… Maghreb !
Dire le contraire, c’est être à contre-courant de la science, de l’archéologie et de la justice ! C’est être un raciste qui s’ignore !
Bref, Benoit XVI s’en va-t-en guerre contre le préservatif, pourtant seule protection valable contre la dissémination des affections sexuelles transmissibles.
Qu’est-ce à dire ? Pourquoi le Pontifex maximus a-t-il sorti pareille énormité dans un continent qui n’avait pas besoin de l’entendre ? A-t-il une pensée absconse ?
Il faut savoir que les maladies infectieuses et virales, en général, et le Sida, en particulier, sont des moyens « légaux » capables de « débarrasser » le monde de certaines populations. Mieux et plus efficaces que les guerres parce qu’il ne provoque pas de remous, un simple virus peut détruire un groupe humain. L’y introduire n’est donc pas un problème car il est invisible !
Ainsi, demander aux malades de se passer du préservatif, c’est inviter la contamination, c’est appeler la transmission, c’est provoquer la dissémination, c’est invoquer la destruction !
Est-ce ce que veut le Pape ? La question reste posée.
Toutefois, comment appellerait-on un médecin préconisant pareilles pratiques ? Pour le moins, il serait rayé du Conseil de l’Ordre !
Alors pourquoi ne le ferait-on pas avec SS Ratzinger ? D’autant que l’homme s’est déjà distingué dans plusieurs domaines estimant, d’abord, l’infériorité de l’Islam par le discours de Ratisbonne, puis réintégrant, ensuite, des prêtres négationnistes !
Benoit XVI a toujours été un conservateur pur et dur. Ses provocations ne doivent plus étonner. Mais elles ne doivent plus passer !
Curieusement, personne ne revient sur son passé d’ancien Nazi alors que l’on avait conspué Kurt Waldheim, ancien secrétaire général de l’ONU, pour la même chose ! Mais les intérêts n’étaient pas les mêmes !
Une question, pourtant : Ratzinger a-t-il, officiellement, renié son serment envers le Reich führer Adolf Hitler ? Rien n’est moins sûr !
Néanmoins, avant de demander aux autres d’abandonner la protection, le Pape devrait commencer par rouler en décapotable au lieu d’utiliser sa cage en verre comme préservatif.
Peut être que sa semence verbale deviendra alors plus féconde !
En avant-scriptum, il parait nécessaire de faire une mise au point.
Ce qui est écrit dans le présent texte contre le Pape, bien que ce dernier soit le représentant de la Communauté chrétienne, ne doit aucunement être entendu comme une atteinte au Christianisme. Dans cet article, c’est l’homme, Ratzinger, et seulement lui, qui est visé nonobstant qu’il y soit appelé par son titre ou par son nom pontifical.
Benoit XVI n’avait pas besoin de son véhicule blindé pour faire un accident de la circulation verbale comme seul, lui, sait en faire. La langue fourchue de l’homme blanc était plus que suffisante pour cela !
Encore une fois, l’Infaillible a failli à sa mission chrétienne de paix et d’amour en se prenant la tête dans le couvre… chef et en se mordant la queue !
Le préservatif, selon le Saint-Père, ne serait pas utile dans la lutte contre les maladies sexuelles transmissibles et encore moins contre le Sida.
Bien au contraire, a-t-il dit !
Curieux raisonnement pour une non moins curieuse conception de l’épidémiologie. Mais peut être est-ce une nouvelle théorie que l’ancien Tigron d’Adolf Hitler aurait introduite en médecine ? Papy ferait-il de la science en prônant la résistance au condom ? Il faut le croire !
Pour l’heure et d’après ce que nous savons, le Sida est en train de dévorer l’Afrique mais surtout les Africains car n’oublions pas que sur les 40 millions de personnes atteintes de la maladie, 25 sont africains.
Bien évidemment, les Nazillons accuseront de tous les maux un continent dont ils souhaiteraient voir disparaitre la population mais pas les richesses. Encore une fois, pour eux, l’Afrique est terre de malédiction et ce sont bien les « Nègres » qui nous auraient légué toutes leurs maladies notamment la tuberculose, comme les Arabes et les Indiens, la syphilis.
Oui… oui ! Toutefois, ce que l’on oublie de dire c’est que, si ces pathologies font des ravages dans pareilles populations c’est, tout simplement, parce que ces dernières ne les découvrirent qu'avec le Blanc !
Il est connu que les maladies infectieuses déciment les populations vierges parce que non immunisées.
Rappelons seulement pour mémoire que le racisme, auquel on avait donné un visage scientifique, faisait de la syphilis une maladie amérindienne que les populations autochtones avaient transmise aux marins européens qui contaminèrent ainsi le vieux continent. Or, les restes du fœtus de Cortebelle ont bien prouvé que l’affection existait déjà en Europe au troisième siècle de notre ère et que ce sont bien les équipages de Colomb et de Cook qui contaminèrent les populations d’Amérique. Tout comme nous le firent avec nos anciens colonisés au… Maghreb !
Dire le contraire, c’est être à contre-courant de la science, de l’archéologie et de la justice ! C’est être un raciste qui s’ignore !
Bref, Benoit XVI s’en va-t-en guerre contre le préservatif, pourtant seule protection valable contre la dissémination des affections sexuelles transmissibles.
Qu’est-ce à dire ? Pourquoi le Pontifex maximus a-t-il sorti pareille énormité dans un continent qui n’avait pas besoin de l’entendre ? A-t-il une pensée absconse ?
Il faut savoir que les maladies infectieuses et virales, en général, et le Sida, en particulier, sont des moyens « légaux » capables de « débarrasser » le monde de certaines populations. Mieux et plus efficaces que les guerres parce qu’il ne provoque pas de remous, un simple virus peut détruire un groupe humain. L’y introduire n’est donc pas un problème car il est invisible !
Ainsi, demander aux malades de se passer du préservatif, c’est inviter la contamination, c’est appeler la transmission, c’est provoquer la dissémination, c’est invoquer la destruction !
Est-ce ce que veut le Pape ? La question reste posée.
Toutefois, comment appellerait-on un médecin préconisant pareilles pratiques ? Pour le moins, il serait rayé du Conseil de l’Ordre !
Alors pourquoi ne le ferait-on pas avec SS Ratzinger ? D’autant que l’homme s’est déjà distingué dans plusieurs domaines estimant, d’abord, l’infériorité de l’Islam par le discours de Ratisbonne, puis réintégrant, ensuite, des prêtres négationnistes !
Benoit XVI a toujours été un conservateur pur et dur. Ses provocations ne doivent plus étonner. Mais elles ne doivent plus passer !
Curieusement, personne ne revient sur son passé d’ancien Nazi alors que l’on avait conspué Kurt Waldheim, ancien secrétaire général de l’ONU, pour la même chose ! Mais les intérêts n’étaient pas les mêmes !
Une question, pourtant : Ratzinger a-t-il, officiellement, renié son serment envers le Reich führer Adolf Hitler ? Rien n’est moins sûr !
Néanmoins, avant de demander aux autres d’abandonner la protection, le Pape devrait commencer par rouler en décapotable au lieu d’utiliser sa cage en verre comme préservatif.
Peut être que sa semence verbale deviendra alors plus féconde !