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Révélations de Daho Ould Kablia sur la guerre d’indépendance, Le mythe s'écroule!

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  • Révélations de Daho Ould Kablia sur la guerre d’indépendance, Le mythe s'écroule!

    Pour le premier responsable de l’Association des anciens du ministère de l’Armement et des Liaisons générales (Malg) de la Révolution algérienne, Rabat, Tunis et Le Caire n’ont pas apporté la contribution en armes attendue pour la résistance contre l’occupation coloniale de l’Algérie et leur soutien était soumis à condition.
    Suite aux récentes révélations de l’Égyptien Mohamed Haykal Hassanine, quant au rôle joué par Hassan II dans l’affaire du détournement de l’avion des cinq historiques du FLN par l’aviation française, et au démenti apporté à ce sujet par un des concernés de l’opération, Hocine Aït Ahmed, voilà un ancien responsable du Malg qui apporte son grain de sel au sujet de la nature de l’aide fournie par l’Égypte, le Maroc et la Tunisie à la Révolution algérienne.


    N’y allant guère avec le dos de la cuillère, Daho Ould Kablia a quasiment réduit à néant le soutien apporté par ces trois pays, tout en ajoutant qu’il était accompagné à chaque fois de conditions. Dans une conférence donnée jeudi à Alger, dont les détails ont été rapportés par le quotidien londonien Al Quds, sur l’histoire de la Révolution algérienne, le ministre délégué chargé des Collectivités locales, qui intervenait en sa qualité de responsable de l’Association des anciens du ministère de l’Armement et des Liaisons générales (Malg), affirmera qu’à l’exception de la Libye, sous l’ère du roi Idriss Senouci, le Maroc, la Tunisie et l’Égypte n’ont pas apporté l’aide espérée par l’Algérie. Citant des exemples, il révélera que le roi Mohammed VI avait donné son accord pour que soit remise gracieusement à la Révolution algérienne 5 000 pièces d’armements, mais son fils et prince héritier, Hassan II, avait exigé que lui soit payé en échange de la livraison une somme d’argent pour chaque pièce. Concernant toujours le Maroc, Daho Ould Kablia ajoutera que le même Hassan II avait posé comme condition le partage avec l’armée marocaine du contenu d’une embarcation remplie d’armes en provenance d’Allemagne, en contrepartie de son accord pour la laisser accoster dans la base navale de la marine royale marocaine et de permettre l’acheminement des armes jusqu’au commandement général ouest de l’Armée de libération nationale (ALN) à Oujda.
    Quant à l’apport de la Tunisie, le responsable algérien révélera qu’elle a pris beaucoup plus qu’elle n’a donné à l’Algérie. Il dira que le président tunisien, Habib Bourguiba, exerçait toutes sortes de pressions sur le commandement de la Révolution algérienne à Ghardimaou, à la frontière commune entre les deux pays, ce qui a eu pour effet, selon l’orateur, d’empêcher le projet de création d’un centre d’entraînement des agents du renseignement sur le sol tunisien. Versant dans le détail, Ould Kablia indiquera que Bourguiba s’immisçait même dans le choix de la langue d’un discours avant sa diffusion par la radio Saout al-Arab. Abordant les relations de la Révolution algérienne avec l’Égypte, le responsable du Malg déclarera que toutes les aides qu’apportaient les Égyptiens étaient accompagnées de chantage sur de nombreuses questions. “Je conserve des documents personnels d’Ahmed Francis, le représentant du gouvernement provisoire de la République algérienne au Caire, en 1958, confirmant le refus des autorités égyptiennes de nous remettre des aides financières adoptées par la Ligue arabe pour soutenir les efforts de la Révolution algérienne. L’Égypte a procédé au remplacement de l’argent par des quantités de pommes de terre et de pois chiches”, a affirmé le ministre algérien. Dans le même ordre d’idées, il ajoutera que le président Gamal Abdel Nasser “a tenté d’imposer des ministres dans le gouvernement provisoire de la République algérienne, et notamment de mettre à sa tête Ahmed Ben Bella, qui se trouvait à cette période en détention”, en France, suite au détournement de l’avion transportant les cinq historiques du FLN en octobre 1956, alors qu’ils se rendaient du Maroc vers la Tunisie pour participer à une réunion des leaders des pays du Maghreb qui venaient d’accéder à l’indépendance au cours de la même année. Ould Kablia précisera que la direction de la Révolution algérienne avait refusé la politique du fait accompli que voulait imposer le raïs égyptien, d’où le transfert du siège du GPRA du Caire à Tunis. Il dévoilera que Fethi Dib, directeur du service du renseignement égyptien à cette époque, servait de courroie de transmission entre Nasser et les responsables algériens. Le président de l’Association des anciens du Malg, qui a rendu hommage à la Libye et à l’Irak, a insisté sur le fait que la Chine “était le premier pays à approvisionner l’Algérie en armements et en denrées alimentaires gratuitement, quant aux autres pays, dont la Yougoslavie de Tito et l’ex-URSS, nos relations étaient purement commerciales”. Par ailleurs, Dahou Ould Kablia dira que Abdelhafidh Boussouf était le fondateur de la première cellule du renseignement algérien, qui avait pour nom ministère de l’Armement et des Liaisons générales. Il indiquera que la majorité des personnalités, qui étaient à la tête du Malg, qui a formé 900 agents du renseignement spécialisés à travers 13 promotions, ont occupé après l’indépendance de l’Algérie des fonctions stratégiques au sein de l’État algérien. Voilà des vérités, certes amères, mais qui ne laissent plus de place aux assertions sans fondements des uns et des autres, qui ne cessaient de clamer qu’ils avaient aidé la Révolution, alors que la réalité est tout autre.

    K. ABDELKAMEL
    Liberté
    Mr NOUBAT

  • #2
    Révélations de Daho Ould Kablia sur la guerre d’indépendance, Le mythe s'écroule!

    guerre d'indépendance, le mythe de l'aide arabe s'écroule

    Pour le premier responsable de l’Association des anciens du ministère de l’Armement et des Liaisons générales (Malg) de la Révolution algérienne, Rabat, Tunis et Le Caire n’ont pas apporté la contribution en armes attendue pour la résistance contre l’occupation coloniale de l’Algérie et leur soutien était soumis à condition.
    Suite aux récentes révélations de l’Égyptien Mohamed Haykal Hassanine, quant au rôle joué par Hassan II dans l’affaire du détournement de l’avion des cinq historiques du FLN par l’aviation française, et au démenti apporté à ce sujet par un des concernés de l’opération, Hocine Aït Ahmed, voilà un ancien responsable du Malg qui apporte son grain de sel au sujet de la nature de l’aide fournie par l’Égypte, le Maroc et la Tunisie à la Révolution algérienne.


    N’y allant guère avec le dos de la cuillère, Daho Ould Kablia a quasiment réduit à néant le soutien apporté par ces trois pays, tout en ajoutant qu’il était accompagné à chaque fois de conditions. Dans une conférence donnée jeudi à Alger, dont les détails ont été rapportés par le quotidien londonien Al Quds, sur l’histoire de la Révolution algérienne, le ministre délégué chargé des Collectivités locales, qui intervenait en sa qualité de responsable de l’Association des anciens du ministère de l’Armement et des Liaisons générales (Malg), affirmera qu’à l’exception de la Libye, sous l’ère du roi Idriss Senouci, le Maroc, la Tunisie et l’Égypte n’ont pas apporté l’aide espérée par l’Algérie. Citant des exemples, il révélera que le roi Mohammed VI avait donné son accord pour que soit remise gracieusement à la Révolution algérienne 5 000 pièces d’armements, mais son fils et prince héritier, Hassan II, avait exigé que lui soit payé en échange de la livraison une somme d’argent pour chaque pièce. Concernant toujours le Maroc, Daho Ould Kablia ajoutera que le même Hassan II avait posé comme condition le partage avec l’armée marocaine du contenu d’une embarcation remplie d’armes en provenance d’Allemagne, en contrepartie de son accord pour la laisser accoster dans la base navale de la marine royale marocaine et de permettre l’acheminement des armes jusqu’au commandement général ouest de l’Armée de libération nationale (ALN) à Oujda.
    Quant à l’apport de la Tunisie, le responsable algérien révélera qu’elle a pris beaucoup plus qu’elle n’a donné à l’Algérie. Il dira que le président tunisien, Habib Bourguiba, exerçait toutes sortes de pressions sur le commandement de la Révolution algérienne à Ghardimaou, à la frontière commune entre les deux pays, ce qui a eu pour effet, selon l’orateur, d’empêcher le projet de création d’un centre d’entraînement des agents du renseignement sur le sol tunisien. Versant dans le détail, Ould Kablia indiquera que Bourguiba s’immisçait même dans le choix de la langue d’un discours avant sa diffusion par la radio Saout al-Arab. Abordant les relations de la Révolution algérienne avec l’Égypte, le responsable du Malg déclarera que toutes les aides qu’apportaient les Égyptiens étaient accompagnées de chantage sur de nombreuses questions. “Je conserve des documents personnels d’Ahmed Francis, le représentant du gouvernement provisoire de la République algérienne au Caire, en 1958, confirmant le refus des autorités égyptiennes de nous remettre des aides financières adoptées par la Ligue arabe pour soutenir les efforts de la Révolution algérienne. L’Égypte a procédé au remplacement de l’argent par des quantités de pommes de terre et de pois chiches”, a affirmé le ministre algérien. Dans le même ordre d’idées, il ajoutera que le président Gamal Abdel Nasser “a tenté d’imposer des ministres dans le gouvernement provisoire de la République algérienne, et notamment de mettre à sa tête Ahmed Ben Bella, qui se trouvait à cette période en détention”, en France, suite au détournement de l’avion transportant les cinq historiques du FLN en octobre 1956, alors qu’ils se rendaient du Maroc vers la Tunisie pour participer à une réunion des leaders des pays du Maghreb qui venaient d’accéder à l’indépendance au cours de la même année. Ould Kablia précisera que la direction de la Révolution algérienne avait refusé la politique du fait accompli que voulait imposer le raïs égyptien, d’où le transfert du siège du GPRA du Caire à Tunis. Il dévoilera que Fethi Dib, directeur du service du renseignement égyptien à cette époque, servait de courroie de transmission entre Nasser et les responsables algériens. Le président de l’Association des anciens du Malg, qui a rendu hommage à la Libye et à l’Irak, a insisté sur le fait que la Chine “était le premier pays à approvisionner l’Algérie en armements et en denrées alimentaires gratuitement, quant aux autres pays, dont la Yougoslavie de Tito et l’ex-URSS, nos relations étaient purement commerciales”. Par ailleurs, Dahou Ould Kablia dira que Abdelhafidh Boussouf était le fondateur de la première cellule du renseignement algérien, qui avait pour nom ministère de l’Armement et des Liaisons générales. Il indiquera que la majorité des personnalités, qui étaient à la tête du Malg, qui a formé 900 agents du renseignement spécialisés à travers 13 promotions, ont occupé après l’indépendance de l’Algérie des fonctions stratégiques au sein de l’État algérien. Voilà des vérités, certes amères, mais qui ne laissent plus de place aux assertions sans fondements des uns et des autres, qui ne cessaient de clamer qu’ils avaient aidé la Révolution, alors que la réalité est tout autre.

    K. ABDELKAMEL
    Liberté
    Mr NOUBAT

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    • #3
      Daho Ould Kablia a vraiment besoin d'un cours d'Histoire!

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      • #4
        Pour la gouverne à cet idiot, je lui rappelle que la la France avait coupé ses relations diplomatiques avec la Yougoslavie, en sus de mener une guerre contre l'Egypte qui avait un bureau de diffusion et son président adressait depuis Le Caire des discours en support à notre révolution au point que la France avait interdit le rassemblent autour d'un poste de radio aux algériens, et combien d'algériens possédait de postes de radio?
        Et non, c'était le journal anti-arabe, Liberté en l'occurrence, qui a sciemment mal interprété les propos du ministre délégué qui n'aurait pas dû aborder ce sujet mettant le doute sur le support du Caire.
        En même temps, l'Egypte avait profité du conflit algérien pour nationnaliser son canal et le regretté M. Nasser l'avait admit dans ses mémoires, ce fut l'ère de gloire de la nation arabe.
        Dernière modification par djamal 2008, 29 mars 2009, 10h56.
        Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

        J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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        • #5
          Pour la gouverne à cet idiot, je lui rappelle que la la France avait coupé ses relations diplomatiques avec la Yougoslavie, en sus de mener une guerre avec l'Egypte qui avait un bureau de diffusion et son président adressait depuis Le Caire des discours en support à notre révolution au point que la France avait interdit le rassemblent autour d'un poste de radio aux algériens, et combien d'algériens possédait de postes de radio?
          Désolé Djamal, il n'y a rien à rappeler à cet homme que je ne connais même pas de nom.

          Ici, il n'est pas question de la France... mais de l'aide arabe à l'Algérie: Je suis formel et je signe ici car l'Égypte avait plus entravé le travail des Algériens, raison pour laquel le GPRA s'est installé en Tunisie.
          De plus il faut comprendre que les pays arabe étaient pauvres.....

          Ensuite, si vous avez déjà lu certaines de mes interventions, vous aurez appris que c'est La Fédération (des ALgériens) de France, le pauvre petit peuple algérien et beaucoup de pieds noirs en Algérie qui ont financé la guerre de libération grâce aux cotisations (obligatoires).

          Personne ne m'a raconté ça: je l'ai vécu moi même.
          L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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          • #6
            J'avais déjà lu cet article dans ce forum donc c'est du réchauffé ...!!!!!

            Je te remercie DZone pour la vodéo ! Justement ce docteur, répond aux gens qui nient l'aide de nos voisins et les autres pays arabes et ne reconnaissent que l'aide certains français ..........

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            • #7
              ohhhhhhhh ils se reveillent maintenant !!!!!!!!!
              mais ces histoires sont connues , les pommes de terre et de pois-chiche surtout de la part des egyptiens qui s'attendait a ce que les algeriens partagent le petrole avec eux !!! si si ils y croyaient serieusement et disaient que ca suffirait pour les deux (egypte et algerie )
              mais franchement avec l'occultation de l'histoire de l'independance que voulez vous que l'on nous apprenent encore maintenant 46 ans apres ???
              PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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              • #8
                Maintenant c'est les pieds-noirs qui ont libéré l'Algérie! C'est pour cela qu'ils ont quitté le pays illico presto, sans dire au revoir!

                Quant à M. Aït Ahmed, il avait fait ces déclarations dans la chaîne midi 2, un havre de la propagande marocaine, et en plus personne ne le respecte ici en Algérie depuis St Eligo ou Egilo je ne me rappelle pas et je n'en fiche d'ailleurs.

                Les pommes de terre et les pois chiches sont une aide importante pour une armée, car cette dernière ne peut combattre avec le ventre vide, dixit Napoléon, qui avait crée la boîte de conserve pour son armée; il disait que l'armée ne peut pas compter sur la population locale pour sa nourriture, et n'oublie pas la stratégie de la terre brûlée et des montagnes incendiée,l'ami.
                Dernière modification par djamal 2008, 29 mars 2009, 10h05.
                Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

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                • #9
                  Plutot les collectivités locales que l'histoire !! ??

                  Puisque si Daho se croit aussi fort en histoire, il devrait mieux s'occuper des collectivités locales dont il a la charge !

                  La gestion des communes est lamentable aussi bien dans le domaine de la gestion technique ( voierie, ordures ménagères etc ) que sur le plan de la gestion administrative ( Etat civil, comptabilité, informatisation etc ) et pendant ce temps il passe son temps a disserter sur le MALG, La guerre de libération etc ....!

                  Il est d'abord payé pour faire son boulot de Ministre délégué aux collectivités locale et non pas pour être conférencier ou prof !!
                  Le Sage

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                  • #10
                    beaucoup de pieds noirs en Algérie qui ont financé la guerre de libération grâce aux cotisations (obligatoires).


                    INACCEPTABLE !! NON MAIS......

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                    • #11
                      Un chiffre, au hasard; maintenant si tu dis que beaucoup de français de souche avait supporté notre cause je te croirais, mais en ce qui concerne les pieds-noirs, I beg to disagree. Même les espagnols qui avaient fui le régime de Franco, des communistes, se sont avérés acharnés pour l'Algérie française, revois ton histoire, l'ami et arrête de nous débiter des inepties de ta sorte, SVP.

                      Obligatoire est de mise, heureusement.
                      Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

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                      • #12
                        bonjour DZone

                        tres sincerement merci pour la video que je n'aurai jamais eu l'occasion de voir si tu ne l'avait posté sur ce forum

                        pour ma part je sens cet homme sincère et je le crois il maitrise ses propos et il sait de quoi il parle

                        mon defunt père me racontait que pendant la colonisation alors que le peuple algeriens creuvait de faim , les exportations de cereales qui partaient des ports de l'ouest algeriens en direction de la france faisait nourrir le peuple français et une bonne partie de l'europe dont l'espagne et l'italie , ce professeur vient de le dire , il ya du vrai dans ses propos

                        concernant ould kablia il a deja occupé le poste de prefet a l'époque du president boumedienne , qu'a t-il fait pour ce pays concretement depuis les années 70 qu'il est au pouvoir et pour l'algerie c'est une courbe decroissante

                        vous remarquerez les amis que les rapports sont inversements proportionnel pendant que les pays sombre dans la recession , la regression la decadence , ses dirigents eux c'est dans l'ascencion, ould kablia etait wali d'oran en 74 le pays se degrade les hommes politiques obtiennent des galons car ould kablia est ministre délégué , chadli est colonel de la 2 region militaire à oran à cette epoque , le pays coule lui devient president de la république

                        des messieurs comme celui qu'on vient d'ecouter dans cette video au lieu d'etre connu on les terre on les fait oublier jusqu'a mourrir dans l'anonymat

                        a quand le reveil de cette jeunesse , quand allons nous nous reunir pour discuter reellement et construire reellement et non virtuellement

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                        • #13
                          personne ne le respecte ici en Algérie

                          Djamel,c'est qui personne,? il n'y a que toi jusqu'a preuve du contraire.Cet homme est bien respecté et partout.Et vive la France qui a libéré l'Algerie
                          Dernière modification par keazy, 29 mars 2009, 11h14.
                          Coucher du soleil à Agadir

                          Commentaire


                          • #14
                            La personne sur la vidéo écrit une rubrique en arabe au journal El Shourouk qui paraît tous les jeudis. En plus, il y'a des article de M. Fawzi Oussedik, M. Abed Charef, M. Fayçal Al Kassam d'Al Jazeera et de l'ex-directeur de la bibliothèque nationale entre autres, et tous aussi interessants.
                            Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

                            J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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                            • #15
                              Djamel,c'est qui personne,? il n'y a que toi jusqu'a preuve du contraire.Cet homme est bien respecté et partout.Et vive la France qui a libéré l'Algerie

                              Tu as oublié de mettre un point final à ta phrase, alors je le fais moi-même.
                              Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

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