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Sommet arabe de Doha: Medelci représentera Bouteflika
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a désigné hier le ministre des Affaires étrangères Mourad Medelci pour le représenter au sommet arabe prévu à Doha, au Qatar, les 30 et 31 mars, a annoncé hier le ministère des Affaires étrangères (MAE) dans un communiqué.
Il convient de rappeler que le président Bouteflika, candidat à sa propre réélection, devait être absent de la campagne électorale du 29 au 31 mars courant, et ce afin de participer en sa qualité de président de la République au sommet arabe de Doha, selon les informations communiquées officiellement par sa direction de campagne et répercutées par la presse.
En effet, le directeur de la campagne électorale du candidat Bouteflika, M. Abdelmalek Sellal, a rappelé cet engagement présidentiel du candidat Bouteflika, lors de son passage récemment à l’émission de la radio Chaîne III. Cette absence est prévue aussi dans les documents distribués à la presse et sur le site Internet dédié à la candidature de Bouteflika.
Mais si l’absence du président Bouteflika à ce sommet de Doha s’explique par les charges induites par les activités du candidat Bouteflika, il n’en est pas de même pour l’autre absent annoncé à ce sommet, à savoir le président égyptien Hosni Moubarak.
«La délégation égyptienne au sommet arabe ainsi qu’au sommet arabo-latino-américain sera conduite par le ministre des Affaires juridiques et des conseils parlementaires, M. Moufid Chihab», a annoncé hier le chef de la diplomatie égyptienne.
M. Chihab «fera part lors des sommets arabe et arabo-latino-américain des vues et visions égyptiennes à l’égard de la situation arabe actuelle et des défis auxquels fait face la nation arabe», a déclaré à la presse M. Abou el Gheit qui n’a pas pris part aux travaux ministériels préparatoires au sommet et s’y est fait remplacé par un de ses assistants. Concernant ce 21e sommet de la Ligue arabe, il sera consacré à la réconciliation arabe et au dépassement des divergences qui ont émaillé les relations arabo-arabes ces derniers mois, notamment en ce qui concerne la question palestinienne et l’agression barbare perpétrée par l’armée sioniste contre les populations isolées de la bande de Gaza au début de l’année.
A ce propos, le communiqué du MAE fait savoir que l’ordre du jour de cette session sera centré sur la question palestinienne, à commencer par l’évaluation des efforts fournis pour l’unification des rangs palestiniens et l’évolution du conflit israélo-arabe sur tous les niveaux et, bien entendu, «la réactivation de l’initiative de paix arabe», aux côtés des questions liées au Golan syrien occupé, la solidarité avec le Liban et le soutien à la République somalienne et enfin les derniers développements survenus dans le dossier de la crise du Darfour.
Dans la foulée, le sommet examinera aussi, selon toujours le communiqué du MAE, les voies et moyens pour l’instauration d’un système de sécurité régionale et la dénucléarisation du Moyen-Orient.
Jeune Indépendant
Il convient de rappeler que le président Bouteflika, candidat à sa propre réélection, devait être absent de la campagne électorale du 29 au 31 mars courant, et ce afin de participer en sa qualité de président de la République au sommet arabe de Doha, selon les informations communiquées officiellement par sa direction de campagne et répercutées par la presse.
En effet, le directeur de la campagne électorale du candidat Bouteflika, M. Abdelmalek Sellal, a rappelé cet engagement présidentiel du candidat Bouteflika, lors de son passage récemment à l’émission de la radio Chaîne III. Cette absence est prévue aussi dans les documents distribués à la presse et sur le site Internet dédié à la candidature de Bouteflika.
Mais si l’absence du président Bouteflika à ce sommet de Doha s’explique par les charges induites par les activités du candidat Bouteflika, il n’en est pas de même pour l’autre absent annoncé à ce sommet, à savoir le président égyptien Hosni Moubarak.
«La délégation égyptienne au sommet arabe ainsi qu’au sommet arabo-latino-américain sera conduite par le ministre des Affaires juridiques et des conseils parlementaires, M. Moufid Chihab», a annoncé hier le chef de la diplomatie égyptienne.
M. Chihab «fera part lors des sommets arabe et arabo-latino-américain des vues et visions égyptiennes à l’égard de la situation arabe actuelle et des défis auxquels fait face la nation arabe», a déclaré à la presse M. Abou el Gheit qui n’a pas pris part aux travaux ministériels préparatoires au sommet et s’y est fait remplacé par un de ses assistants. Concernant ce 21e sommet de la Ligue arabe, il sera consacré à la réconciliation arabe et au dépassement des divergences qui ont émaillé les relations arabo-arabes ces derniers mois, notamment en ce qui concerne la question palestinienne et l’agression barbare perpétrée par l’armée sioniste contre les populations isolées de la bande de Gaza au début de l’année.
A ce propos, le communiqué du MAE fait savoir que l’ordre du jour de cette session sera centré sur la question palestinienne, à commencer par l’évaluation des efforts fournis pour l’unification des rangs palestiniens et l’évolution du conflit israélo-arabe sur tous les niveaux et, bien entendu, «la réactivation de l’initiative de paix arabe», aux côtés des questions liées au Golan syrien occupé, la solidarité avec le Liban et le soutien à la République somalienne et enfin les derniers développements survenus dans le dossier de la crise du Darfour.
Dans la foulée, le sommet examinera aussi, selon toujours le communiqué du MAE, les voies et moyens pour l’instauration d’un système de sécurité régionale et la dénucléarisation du Moyen-Orient.
Jeune Indépendant