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Polémique autour de l’effacement des dettes ANSEJ

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  • Polémique autour de l’effacement des dettes ANSEJ

    La fièvre de la campagne électorale pour les prochaines élections présidentielles a touché aussi certains ministres.

    Il s’agit là du ministre du Travail et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh qui s’est laissé croire avoir le pouvoir de faire une déclaration importante comme celle de Aïn Témouchent d’où il a annoncé jeudi l’effacement des dettes de l’ANSEJ pour les jeunes promoteurs de microentreprises ayant déclaré faillite.

    Cette information a donné l’espoir à des centaines de jeunes qui ne peuvent plus rembourser les dettes de la banque.

    Une décision pareille rendra l’espoir à ces jeunes et leur donnera la volonté de refaire leur vie. Après avoir contacté le ministère concerné pour avoir plus de détails sur le sujet, on a appris que cette déclaration qui a donné l’espoir aux jeunes concernés ne sera malheureusement pas appliquée pour tout le monde.

    « C’est après une étude de cas », a affirmé la chargée de communication, Amina Haddad. Les bénéficiaires de cette mesure si elle existe réellement, ne sont pas clairement définis et le ministère de tutelle donne des réponses expéditives sur le sujet.

    Ce n’est pas parce que c’est impossible de faire une telle démarche mais c’est parce que le ministre, croit-on, conjoncture oblige, a fait cette déclaration pour convaincre les électeurs à voter lors de la prochaine échéance électorale.

    Cependant les précisions formulées par la chargée de communication du ministère feront en sorte que la déclaration de Louh générera des résultats tout à fait contraires à ceux escomptés.

    Il s’agit, vraisemblablement de propos électoralistes sans aucune possibilité d’application sur le terrain. Rappelons que ce genre de déclarations sans suite risquent d’élargir le fossé entre les gouvernants et les gouvernés.

    - Pressedz

  • #2
    Aprés l'effacement de la dette des soit-disant fellahs (plus de 5 mille milliards)il ne faut s'etonner de rien.
    Et qui profite de l'effacement? Bien sur ceux qui ont reçu de grosses sommes , autant dire les privilégiés. COMME POUR LA VENTE DES "BIENS VACANTS".
    Un appartement à Bab-el oued (f3) a 200 milles dinars, une villa à el biar avec 800 m2 de jardins à 400 milles da .
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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