L'excision des fillettes en terre d'Islam est-elle justifiée ou condamnable?
Pourtant cette pratique existe toujours dans les pays musulmans et s'exerce au nom de Dieu en se référant à de anciennes traditions pharaoniques.
L’excision ou les mutilations génitales féminines (MGF) est le nom générique donné à différentes pratiques traditionnelles qui entraînent l’ablation d’organes génitaux féminins. Cette pratique semble liée essentiellement au désir d’assujettir les femmes et de contrôler leur sexualité sous le prétexte de préserver la fidélité des femmes.
On estime à 130 millions le nombre de fillettes et de femmes, à travers le monde qui ont subi MGF. Actuellement, les MGF sont pratiquées dans 28 pays africains de la région sub-saharienne ainsi que dans la partie nord-est de l’Afrique. Des rapports indiquent également la pratique sporadique des MGF dans certains pays du Moyen-Orient.
L'Égypte, le Soudan, le Yémen, la Somalie, l'Érythrée pratiquent jusqu'a l'heure actuelle l'excision féminime au "nom de la religion musulmane".
Pourtant cette pratique existe toujours dans les pays musulmans et s'exerce au nom de Dieu en se référant à de anciennes traditions pharaoniques.
L’excision ou les mutilations génitales féminines (MGF) est le nom générique donné à différentes pratiques traditionnelles qui entraînent l’ablation d’organes génitaux féminins. Cette pratique semble liée essentiellement au désir d’assujettir les femmes et de contrôler leur sexualité sous le prétexte de préserver la fidélité des femmes.
On estime à 130 millions le nombre de fillettes et de femmes, à travers le monde qui ont subi MGF. Actuellement, les MGF sont pratiquées dans 28 pays africains de la région sub-saharienne ainsi que dans la partie nord-est de l’Afrique. Des rapports indiquent également la pratique sporadique des MGF dans certains pays du Moyen-Orient.
L'Égypte, le Soudan, le Yémen, la Somalie, l'Érythrée pratiquent jusqu'a l'heure actuelle l'excision féminime au "nom de la religion musulmane".
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