Tes paroles, tu ne me les donnes plus,
tes rires, pour moi, ont disparu,
pourtant, toi, sans le savoir,
pourtant, de toi, j'ai le devoir.
Mamahn, pourquoi m'as-tu oublié ?
la vie est cruelle,
parfois si belle,
triste, douce, parfum humé.
Songes d'une nuit d'été,
le rêve, doucement s'est éloigné,
j'ai tellement besoin de toi,
en toi, j'avais foi.
Brusquement tu m'as quitté,
violemment, la douleur de moi s'est emparé,
maman, pourquoi m'as-tu laissé ?
dans ce monde, désemparé.
Je vis sans toi,
les regrets, jamais ne seronts effacés,
ton image effacée a rendu,
mon coeur brisé.
La vie est plus forte,
Je continue à rire, à m'enivrer,
je voyage sans ton parfum,
de toi, les souvenirs me portent.
Ma mère, ton absence me porte,
le voile du souvenir est si grand,
le vide de toi, immensément,
m'emporte dans le sidéral.
Maman, reviens-moi,
maman, ne me quittes pas,
maman, que ferais-je sans toi,
maman, ne me quittes pas.
tes rires, pour moi, ont disparu,
pourtant, toi, sans le savoir,
pourtant, de toi, j'ai le devoir.
Mamahn, pourquoi m'as-tu oublié ?
la vie est cruelle,
parfois si belle,
triste, douce, parfum humé.
Songes d'une nuit d'été,
le rêve, doucement s'est éloigné,
j'ai tellement besoin de toi,
en toi, j'avais foi.
Brusquement tu m'as quitté,
violemment, la douleur de moi s'est emparé,
maman, pourquoi m'as-tu laissé ?
dans ce monde, désemparé.
Je vis sans toi,
les regrets, jamais ne seronts effacés,
ton image effacée a rendu,
mon coeur brisé.
La vie est plus forte,
Je continue à rire, à m'enivrer,
je voyage sans ton parfum,
de toi, les souvenirs me portent.
Ma mère, ton absence me porte,
le voile du souvenir est si grand,
le vide de toi, immensément,
m'emporte dans le sidéral.
Maman, reviens-moi,
maman, ne me quittes pas,
maman, que ferais-je sans toi,
maman, ne me quittes pas.
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