Là-bas
Sur les terrains de sable,
Les enfants jouent
Un poussière dorée s'échappe
De leurs chaussures usées
Malgré la modestie, ils vivent
Malgré la pauvreté, il rient
Plus loin, adossé à un olivier
Saïd fait paître ces moutons
A en croire le reflet dans son regard
Il pense à la fille du menuisier
A en croire son sourire il s'imagine
L'emmener dans une quelconque
Perle d'ivoire, dans un océan bleu
A en croire ces larmes
Ces rêves, ne seront que des rêves...
Des hommes attendent sous le soleil
Qui va bientôt se coucher
Adossé a la mosqué
Que le Muezzin apel à la priere
Abdelkader qui vient de la ville, les saluent
A dos de sa mûle chargé de Thym et de menthe
Qui bientôt se transformera en liqueur parfumé
Abdelkader, qui sait si bien conté les histoires
Appellera à lui les enfants réunis là
Il leur parlera des soleils éternels
Que la princesse Souhayla à su dompter
Par son sourire, le matin soyeux et doux
Les enfants iront ensuite s'imaginer
Dans milles royaumes,
Puisque que le rêve, est un deuxième poumon
Le soleil,
Le soleil a fini par se coucher,
La mosqué est pleine,
Said a rassemblé ses moutons, et ces espérances
Abdelkader a noyé la menthe, et a sorti les verres
Les sourires des enfants pensent encore à Souhayla
Là-bas j'ai connu ces moment de bonheur brut
Sans fortune, sans décor inutile
Sans projecteur,
Ils fallait juste voir dans ces visages
Une histoire touchante...
Là-bas en Algérie....
Chaarar,
Sur les terrains de sable,
Les enfants jouent
Un poussière dorée s'échappe
De leurs chaussures usées
Malgré la modestie, ils vivent
Malgré la pauvreté, il rient
Plus loin, adossé à un olivier
Saïd fait paître ces moutons
A en croire le reflet dans son regard
Il pense à la fille du menuisier
A en croire son sourire il s'imagine
L'emmener dans une quelconque
Perle d'ivoire, dans un océan bleu
A en croire ces larmes
Ces rêves, ne seront que des rêves...
Des hommes attendent sous le soleil
Qui va bientôt se coucher
Adossé a la mosqué
Que le Muezzin apel à la priere
Abdelkader qui vient de la ville, les saluent
A dos de sa mûle chargé de Thym et de menthe
Qui bientôt se transformera en liqueur parfumé
Abdelkader, qui sait si bien conté les histoires
Appellera à lui les enfants réunis là
Il leur parlera des soleils éternels
Que la princesse Souhayla à su dompter
Par son sourire, le matin soyeux et doux
Les enfants iront ensuite s'imaginer
Dans milles royaumes,
Puisque que le rêve, est un deuxième poumon
Le soleil,
Le soleil a fini par se coucher,
La mosqué est pleine,
Said a rassemblé ses moutons, et ces espérances
Abdelkader a noyé la menthe, et a sorti les verres
Les sourires des enfants pensent encore à Souhayla
Là-bas j'ai connu ces moment de bonheur brut
Sans fortune, sans décor inutile
Sans projecteur,
Ils fallait juste voir dans ces visages
Une histoire touchante...
Là-bas en Algérie....
Chaarar,