Tweet
Investissements étrangers : Les directives Ouyahia angoissent le patronat français
Le Mouvement des Entreprises de France (Medef) International a réuni, le 26 mars à Paris, juristes et représentants d’entreprises françaises en Algérie afin de battre en brèche les directives d’Ouyahia portant sur un nouvel encadrement des activités économiques et commerciales menées par des sociétés étrangères sur le sol algérien.
Pour rappel, les directives en questions prévoient une participation algérienne majoritaire dans les investissements étrangers. Cette décision qui, tranchante avec l’ancienne politique économique algérienne relativement souple avec les sociétés étrangères désirant activer en Algérie, est reçue avec une angoisse grandissante de l’autre de la Méditerranée.
Les conditions d’applications de ces nouvelles mesures restent floues pour le moment, ce qui provoque un surplus d’inquiétude chez le patronat français. Outre ces mesures, les 1.665 sociétés d’importation détenues par des étrangers, notamment des français, se verront, d’ici septembre, imposées une participation algérienne de 30%. En tout état de cause, ce changement de cap algérien, qui porte à croire que le gouvernement opterait désormais pour le protectionnisme étatique, est malvenu pour le Medef qui traverse une crise dans une France en proie à la grogne sociale.
Le Financier
Pour rappel, les directives en questions prévoient une participation algérienne majoritaire dans les investissements étrangers. Cette décision qui, tranchante avec l’ancienne politique économique algérienne relativement souple avec les sociétés étrangères désirant activer en Algérie, est reçue avec une angoisse grandissante de l’autre de la Méditerranée.
Les conditions d’applications de ces nouvelles mesures restent floues pour le moment, ce qui provoque un surplus d’inquiétude chez le patronat français. Outre ces mesures, les 1.665 sociétés d’importation détenues par des étrangers, notamment des français, se verront, d’ici septembre, imposées une participation algérienne de 30%. En tout état de cause, ce changement de cap algérien, qui porte à croire que le gouvernement opterait désormais pour le protectionnisme étatique, est malvenu pour le Medef qui traverse une crise dans une France en proie à la grogne sociale.
Le Financier
Commentaire