Parce qu'il a chanté "bladi" à la gloire de l'Algérie
Vendredi 27 mars, le chanteur Baaziz se produisait à la maison des arts et de la communication de Sallaumines dans la Pas-de-Calais. A travers les quelques échanges téléphoniques des jours précédents le concert, j'ai relevé une certaine amertume chez cet ami avec qui je partage tant de choses et plus particulièrement l’amour de l’Algérie.
Baaziz n’avait pas le moral. Il était vraiment mal. Très mal. Il n’a pas supporté les méchancetés que certains lâches drapés dans la burka de l’anonymat ont écrit à son sujet dans des sites internet où des aigris donnent libre cours à leur frustration en jouant aux flingueurs de l'opposition qui refuse de se soumettre au diktat de cercles odieux dont les desseins sont aux antipodes des espoirs des Algériens.Des méchancetés qui ont profondément touché son fils, jeune ado, qui n’a pas manqué à leur répondre à sa manière sur leur propre terrain.
Pourtant les quotidiens algériens El-Khabar, en arabe, et El-Watan, en français, ont rapporté dans leurs colonnes la dénonciation de cette instrumentalisation que l’artiste n’a pas manqué d’exprimer en allant frapper aux portes des médias algériens pour mettre un terme à tout alamgame et lever les quiproquos. Baaziz a chanté l’Algérie et rien que l’Algérie loin de toutes menées électoralistes ou politiciennes n'a-t-il cessé de marteler à l'adresse de ceux qui se sont interrogés sur la diffusion du clip sur les chaînes de la télévision algérienne.
Bien avant de le rencontrer, Baaziz m’a parlé du mal qu’il ressent de l’honteuse instrumentalisation de sa dernière chanson, "bladi", par la télévision algérienne. Cette belle chanson qui raconte la mal vie des Algériens ainsi que leurs espoirs ne fait qu’exprimer que ce que ressent tout algérien envers sa patrie. Elle n’a pas été écrite ni chanté à la gloire d’un homme ni pour servir un clan. Elle n’est qu’un vibrant hommage rendu au peuple et rien qu’au peuple algérien.
En cette période de campagne électorale les opportunistes qui agissent dans les coulisses de la télévision algérienne ont fait de « bladi » (c'est le titre de la cahnson en question) pratiquement le jingle du journal télévisé du 20h. Sur les trois chaînes (la terrestre, Canal Algérie et A3) qui diffusent le même JT, les téléspectateurs ont le plaisir de suivre le clip de Baziz. Un clip très bien réalisé. Une musique entraînante et des paroles tantôt douces de la douceurs de l'Algérie et tantôt aussi rudes que la rudesse de la vie du qutidien des Algériens.
Ce clip, Baaziz l’a réalisé avec un producteur privé et non pas avec la télévision algérienne. Ce producteur est Djafer Gassem qui dxemeure libre de vendre son produit à qui il veut. D’autant qu’il n’y a rien qui puisse l’empêcher de vendre son clip à la télévision algérienne. Cette dernière non seulement elle n’a pas refusé d’acheter le clip elle a été plus loin en l’instrumentalisant pour les besoins d’une campagne électorale en quête d’une participation massive au scrutin du 9 avril. Pourtant en aucun passage de lachanson il y a la moindre illusion à la présidentielle du 9 avril.
En quoi peut-on accuser Baaziz de retournement de veste ou d’un tournant à 360° comme le prétendent certains lâches qui n’ont dans la bouche que la haine contre tous ceux qui fustigent de front le pouvoir en place tout en se proclamant de l’opposition. Et quelle opposition ? Celle des lâches qui n’ont même pas le courage d’affronter Baziz en déclinant leur identité ? Celle des anonymes qui s’agitent dans l’espace virtuel du web totalement déconnecté de la réalité algérienne ?
En faisant vibrer la très nombreuse foule venue savourer son humour, apprécier ses belles chansons et se défouler sur le rythme de sa musique, Baaziz a pu mesurer combien ses détracteurs qui se recrutent beaucoup plus dans les rangs de personnes anonyme, qui se proclament d’une opposition aphone et point crédible, que dans les arcanes du pouvoir, sont loin d’avoir la moindre influence sur sa popularité et sa notoriété que lui envient ces crétins.
Aucun lâche de ces crapules, et je ne saurai les qualifier autrement, n’est en mesure de dire ou de faire le millième de ce qu’a dit et de ce qu’a fait Baaziz, l’artiste et le chanteur qui a brocardé les plus puissants du régime algérien au moment où ceux qui le dénigrent, aujourd’hui sous le couvert de l’anobymat faisaient carpette devant les derniers des derniers cercles du pouvoir.
En le voyant en cette soirée du vendredi 27 mars retrouver le sourire à la fin de son concert je ne pouvais rien dire d’autre à mon ami Baaziz que « Tout ce que je te demande c’est de dédier ta chanson « el-hiboussa » (le pot de chambre) à tes détracteurs en reprenant « les gens sont sortis de la planète et eux sont bloqués dans les toilettes ». Et puis, mon cher Baaziz, comme tu le dis si bien dans une de tes chansons « qu’on t’aime ou qu’on te déteste tu resteras toujours the best et puis, ***** et t’fou sur le reste »
HICHAM ABOUD
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Vendredi 27 mars, le chanteur Baaziz se produisait à la maison des arts et de la communication de Sallaumines dans la Pas-de-Calais. A travers les quelques échanges téléphoniques des jours précédents le concert, j'ai relevé une certaine amertume chez cet ami avec qui je partage tant de choses et plus particulièrement l’amour de l’Algérie.
Baaziz n’avait pas le moral. Il était vraiment mal. Très mal. Il n’a pas supporté les méchancetés que certains lâches drapés dans la burka de l’anonymat ont écrit à son sujet dans des sites internet où des aigris donnent libre cours à leur frustration en jouant aux flingueurs de l'opposition qui refuse de se soumettre au diktat de cercles odieux dont les desseins sont aux antipodes des espoirs des Algériens.Des méchancetés qui ont profondément touché son fils, jeune ado, qui n’a pas manqué à leur répondre à sa manière sur leur propre terrain.
Pourtant les quotidiens algériens El-Khabar, en arabe, et El-Watan, en français, ont rapporté dans leurs colonnes la dénonciation de cette instrumentalisation que l’artiste n’a pas manqué d’exprimer en allant frapper aux portes des médias algériens pour mettre un terme à tout alamgame et lever les quiproquos. Baaziz a chanté l’Algérie et rien que l’Algérie loin de toutes menées électoralistes ou politiciennes n'a-t-il cessé de marteler à l'adresse de ceux qui se sont interrogés sur la diffusion du clip sur les chaînes de la télévision algérienne.
Bien avant de le rencontrer, Baaziz m’a parlé du mal qu’il ressent de l’honteuse instrumentalisation de sa dernière chanson, "bladi", par la télévision algérienne. Cette belle chanson qui raconte la mal vie des Algériens ainsi que leurs espoirs ne fait qu’exprimer que ce que ressent tout algérien envers sa patrie. Elle n’a pas été écrite ni chanté à la gloire d’un homme ni pour servir un clan. Elle n’est qu’un vibrant hommage rendu au peuple et rien qu’au peuple algérien.
En cette période de campagne électorale les opportunistes qui agissent dans les coulisses de la télévision algérienne ont fait de « bladi » (c'est le titre de la cahnson en question) pratiquement le jingle du journal télévisé du 20h. Sur les trois chaînes (la terrestre, Canal Algérie et A3) qui diffusent le même JT, les téléspectateurs ont le plaisir de suivre le clip de Baziz. Un clip très bien réalisé. Une musique entraînante et des paroles tantôt douces de la douceurs de l'Algérie et tantôt aussi rudes que la rudesse de la vie du qutidien des Algériens.
Ce clip, Baaziz l’a réalisé avec un producteur privé et non pas avec la télévision algérienne. Ce producteur est Djafer Gassem qui dxemeure libre de vendre son produit à qui il veut. D’autant qu’il n’y a rien qui puisse l’empêcher de vendre son clip à la télévision algérienne. Cette dernière non seulement elle n’a pas refusé d’acheter le clip elle a été plus loin en l’instrumentalisant pour les besoins d’une campagne électorale en quête d’une participation massive au scrutin du 9 avril. Pourtant en aucun passage de lachanson il y a la moindre illusion à la présidentielle du 9 avril.
En quoi peut-on accuser Baaziz de retournement de veste ou d’un tournant à 360° comme le prétendent certains lâches qui n’ont dans la bouche que la haine contre tous ceux qui fustigent de front le pouvoir en place tout en se proclamant de l’opposition. Et quelle opposition ? Celle des lâches qui n’ont même pas le courage d’affronter Baziz en déclinant leur identité ? Celle des anonymes qui s’agitent dans l’espace virtuel du web totalement déconnecté de la réalité algérienne ?
En faisant vibrer la très nombreuse foule venue savourer son humour, apprécier ses belles chansons et se défouler sur le rythme de sa musique, Baaziz a pu mesurer combien ses détracteurs qui se recrutent beaucoup plus dans les rangs de personnes anonyme, qui se proclament d’une opposition aphone et point crédible, que dans les arcanes du pouvoir, sont loin d’avoir la moindre influence sur sa popularité et sa notoriété que lui envient ces crétins.
Aucun lâche de ces crapules, et je ne saurai les qualifier autrement, n’est en mesure de dire ou de faire le millième de ce qu’a dit et de ce qu’a fait Baaziz, l’artiste et le chanteur qui a brocardé les plus puissants du régime algérien au moment où ceux qui le dénigrent, aujourd’hui sous le couvert de l’anobymat faisaient carpette devant les derniers des derniers cercles du pouvoir.
En le voyant en cette soirée du vendredi 27 mars retrouver le sourire à la fin de son concert je ne pouvais rien dire d’autre à mon ami Baaziz que « Tout ce que je te demande c’est de dédier ta chanson « el-hiboussa » (le pot de chambre) à tes détracteurs en reprenant « les gens sont sortis de la planète et eux sont bloqués dans les toilettes ». Et puis, mon cher Baaziz, comme tu le dis si bien dans une de tes chansons « qu’on t’aime ou qu’on te déteste tu resteras toujours the best et puis, ***** et t’fou sur le reste »
HICHAM ABOUD
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