Algérie-Huile d’olive : L’Algérie ne peut pas exporter d’huile d’olive
Les autorités algériennes ambitionnent d’exporter l’huile d’olive à l’instar de la Tunisie et le Maroc qui placent prés de 30% de leur production à l’échelle mondiale. En effet le soutien du secteur oléicole s’avère aujourd’hui une priorité pour l’Algérie pour couvrir définitivement le marché local et investir à l’échelle internationale.
Pour se faire, l’Algérie reste encore très loin, elle doit en premier lieu relever les défis que connaisse la filière oléicole à savoir la croissance de la production et de ses capacités de transformation et de conditionnement, l’amélioration de la qualité de son huile d’olive par l’instauration d’un label, et une organisation de la profession de la filière oléicole.
En effet, la production d’huile d’olive reste encore faible. Selon les statistiques officielles, elle est de 35 000 tonnes entre 2000 et 2008 tandis que les algériens consomment annuellement 50 000 tonnes d’huile d’olive.
Concernant les exportations de cette filière, les experts de l’oléiculture (tunisiens, marocains, italiens, espagnols et grecs) qui se sont réunis lors du premier forum méditerranéen de l’oléiculture qui a pris fin le 31 mars 2009 à Alger, s’accordent à dire que l’huile d’olive algérien ne peut pas être exporté puisqu’il ne répond pas aux normes internationales, d’ailleurs, selon ces experts, le taux d’acidité de l’huile ne devrait pas dépasser 0,8 % or l’Algérie dépasse largement ce chiffre.
Aujourd’hui, l’Algérie a pris conscience de la nécessité de subventionner cette filière pour commercialiser ses produits au niveau national et à l’étranger et a décidé dans ce cadre de porter à 500 000 hectares la surface de la culture de l’olivier d’ici 2014.
Actuellement, la superficie consacrée à l’olivier est d’environ 300 000 hectares contre 165 000 hectares en 2000. Cette superficie compte 400 plants à l’hectare en 2008 contre 100 plants à l’hectare en 2000.
Les autorités algériennes ambitionnent d’exporter l’huile d’olive à l’instar de la Tunisie et le Maroc qui placent prés de 30% de leur production à l’échelle mondiale. En effet le soutien du secteur oléicole s’avère aujourd’hui une priorité pour l’Algérie pour couvrir définitivement le marché local et investir à l’échelle internationale.
Pour se faire, l’Algérie reste encore très loin, elle doit en premier lieu relever les défis que connaisse la filière oléicole à savoir la croissance de la production et de ses capacités de transformation et de conditionnement, l’amélioration de la qualité de son huile d’olive par l’instauration d’un label, et une organisation de la profession de la filière oléicole.
En effet, la production d’huile d’olive reste encore faible. Selon les statistiques officielles, elle est de 35 000 tonnes entre 2000 et 2008 tandis que les algériens consomment annuellement 50 000 tonnes d’huile d’olive.
Concernant les exportations de cette filière, les experts de l’oléiculture (tunisiens, marocains, italiens, espagnols et grecs) qui se sont réunis lors du premier forum méditerranéen de l’oléiculture qui a pris fin le 31 mars 2009 à Alger, s’accordent à dire que l’huile d’olive algérien ne peut pas être exporté puisqu’il ne répond pas aux normes internationales, d’ailleurs, selon ces experts, le taux d’acidité de l’huile ne devrait pas dépasser 0,8 % or l’Algérie dépasse largement ce chiffre.
Aujourd’hui, l’Algérie a pris conscience de la nécessité de subventionner cette filière pour commercialiser ses produits au niveau national et à l’étranger et a décidé dans ce cadre de porter à 500 000 hectares la surface de la culture de l’olivier d’ici 2014.
Actuellement, la superficie consacrée à l’olivier est d’environ 300 000 hectares contre 165 000 hectares en 2000. Cette superficie compte 400 plants à l’hectare en 2008 contre 100 plants à l’hectare en 2000.
02-04-2009 @2007 dev export
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