MINUTE PAR MINUTE - Malgré l'optimisme d'Angela Merkel, la Turquie a maintenu son véto à la candidature du premier ministre danois, le favori des Européens.
22h37 : pas d'accord sur le nom du futur secrétaire général.
Selon une source diplomatique, les membres de l'Otan ne sont pas parvenus à se mettre d'accord ce soir sur le nom du prochain secrétaire général de l'Alliance, la Turquie ayant maintenu son veto à la candidature du Premier ministre danois, Anders Fogh Rasmussen. Ankara s'oppose à cette candidature , en raison notamment de la façon dont il a géré l'affaire des caricatures du prophète Mahomet publiées par un quotidien danois en 2006.
La Turquie reproche également à Rasmussen de ne pas être parvenu à fermer la chaîne de télévision kurde ROJ TV, proche du Parti des travailleurs du Kurdistan, qui émet du Danemark.
19h02: Le premier ministre danois soutenu par Angela Merkel.
Angela Merkel s'est dite convaincue qu'un nouveau secrétaire général de l'Otan serait nommé vendredi soir, soutenant la candidature du Premier ministre danois Anders Fogh Rasmussen. «Je pense que Rasmussen serait un excellent choix. Si nous le choisissons, il sera un secrétaire général très fort», a ajouté la chancelière allemande, qui se prononçait pour la première fois publiquement en faveur de son collègue danois,
18h17: Barack Obama à Baden-Baden.
Barack Obama a rejoint Angela Merkel à Baden-Baden (Allemagne), où ils dîneront ce soir en compagnie des 28 chefs d'Etat et de gouvernement de l'Alliance Atlantique. Quelque 500 manifestants se sont rassemblés à la principale gare, pour protester pacifiquement contre l'OTAN et la guerre. Au même moment, de nouveaux incidents se sont déroulés à Strasbourg entre les forces de police et des manifestants cagoulés.
16h45 : Des renforts britanniques en Afghanistan.
Le Royaume Uni va proposer au sommet de l'Otan d'envoyer des renforts en Afghanistan, a indiqué vendredi à l'AFP une porte-parole du premier ministre Gordon Brown.
15h16 : Barack Obama achève son intervention.
Le président américain a conclu le jeu des questions-réponses en expliquant les raisons de son engagement dans la course à la présidentielle américaine et incité les jeunes à s'engager dans des projets qui leur tiennent à coeur.
15h15 : Un «effort conjoint» contre le terrorisme.
Barack Obama prévient les Européens qu'ils ne devraient pas s'attendre à ce que les Etats-Unis portent seuls le poids de la lutte contre le terrorisme. «Parce que c'est un problème qui nous est commun. Et il nécessite un effort conjoint», a-t-il ajouté, à propos du combat contre les talibans et leurs alliés d'al-Qaida.
15h09 : Début d'un contre-sommet de l'Otan.
Quelque 500 pacifistes et militants d'extrême gauche de 21 pays ont entamé, dans la banlieue de Strasbourg, un «contre-sommet» pour réclamer la fin d'une alliance «en crise». «Nous devons mettre un terme à l'Otan en tant que force mondiale d'intervention militaire», a proclamé la journaliste américaine Phyllis Bennis, de l'Institute for Policy Studies à Washington, dans un discours inaugural très applaudi. «Nous avons eu de grands espoirs avec l'élection du président américain Barack Obama, mais sur la question d'un retrait d'Afghanistan ils ont été déçus jusqu'ici». Condamnant les violences qui ont émaillé jeudi une première manifestation anti-Otan, Reiner Braun, de la coordination internationale anti-Otan, a estimé qu'elles avaient été le fait d'une «petite minorité» des quelque 3.000 occupants du «village anti-Otan».
14h45. Obama se prête au jeu des questions-réponses.
Après un discours d'environ une demi-heure, conclu par une longue ovation du public, le président américain répond désormais aux questions des spectateurs. Un exercice qui devrait durer un peu plus d'une demi-heure. «Levez la main, et je vous donnerai le micro», promet Obama. Suivez la rencontre en vidéo et en direct (AVEC LCP-AN et PUBLIC SENAT).
14h15 : Le gymnase du Rhénus acclame Obama.
Le président américain a été accueilli dans une ambiance surchauffée par les 4.000 personnes réunies au gymnase du Rhénus, et prononce un discours avant de répondre aux questions des spectateurs.
14h00 : Le palais des sports attend le président américain.
Barack Obama va arriver dans quelques instants au palais des sports de Strasbourg, où l'attendent quelque 4.000 personnes, en majorité des lycéens et étudiants alsaciens et allemands. Après une introduction d'une quinzaine de minutes, il se prêtera à un jeu de questions-réponses avec son auditoire.
• Obama lance un avertissement à l'Iran et à la Corée du Nord
13h30 : Obama avertit la Corée du Nord. Le président américain appelle la Corée du Nord à stopper son lancement de missile. «Nous avons fait savoir clairement aux Coréens du Nord que leur lancement de missile est provocateur. Ce pays ne peut pas menacer la sécurité d'autres pays impunément», prévient Barack Obama.
13h25 : Obama contre le nucléaire iranien. «Il faut empêcher l'Iran d'avoir une arme nucléaire», estime Barack Obama, interrogé sur le sujet. «La Russie doit nous aider dans la crise iranienne», poursuit Nicolas Sarkozy. «On n'a pas envie d'une nouvelle guerre froide», lance le président français.
13h20 : La France accueillera un ex-Guantanamo. Nicolas Sarkozy indique que la France est disposée à accueillir un ancien prisonnier de Guantanamo à la fermeture de cette prison américaine pour terroristes présumés. «Oui, on a parlé, oui, on s'est mis d'accord, et oui, c'est logique et cohérent et c'est honnête», a dit le président français.
13h18 : «Nous voulons des alliés forts.» Le président américain souhaite que l'Europe ait «des capacités militaires renforcées». «Nous voulons des alliés forts. Nous voudrions voir l'Europe avoir des capacités militaires renforcées», lance-t-il au parterre de journalistes et personnalités politiques réunies dans la cour du palais Rohan.
• «Le G20 n'aurait pas été celui qu'il a été» sans Sarkozy
13h17 : Obama salue un Sarkozy «courageux». Le président américain loue la position française au sein de l'Organisation de l'Atlantique nord. «La France fait preuve d'un leadership courageux au sein de l'Otan grâce au président Sarkozy», assure-t-il. «Nicolas Sarkozy ne cesse de faire preuve d'imagination, de créativité» et «il est présent sur tellement de fronts qu'on a du mal à suivre» parfois, poursuit Barack Obama. «Sans son leadership, ce sommet (du G20) n'aurait pas été celui qu'il a été», ajoute-t-il.
22h37 : pas d'accord sur le nom du futur secrétaire général.
Selon une source diplomatique, les membres de l'Otan ne sont pas parvenus à se mettre d'accord ce soir sur le nom du prochain secrétaire général de l'Alliance, la Turquie ayant maintenu son veto à la candidature du Premier ministre danois, Anders Fogh Rasmussen. Ankara s'oppose à cette candidature , en raison notamment de la façon dont il a géré l'affaire des caricatures du prophète Mahomet publiées par un quotidien danois en 2006.
La Turquie reproche également à Rasmussen de ne pas être parvenu à fermer la chaîne de télévision kurde ROJ TV, proche du Parti des travailleurs du Kurdistan, qui émet du Danemark.
19h02: Le premier ministre danois soutenu par Angela Merkel.
Angela Merkel s'est dite convaincue qu'un nouveau secrétaire général de l'Otan serait nommé vendredi soir, soutenant la candidature du Premier ministre danois Anders Fogh Rasmussen. «Je pense que Rasmussen serait un excellent choix. Si nous le choisissons, il sera un secrétaire général très fort», a ajouté la chancelière allemande, qui se prononçait pour la première fois publiquement en faveur de son collègue danois,
18h17: Barack Obama à Baden-Baden.
Barack Obama a rejoint Angela Merkel à Baden-Baden (Allemagne), où ils dîneront ce soir en compagnie des 28 chefs d'Etat et de gouvernement de l'Alliance Atlantique. Quelque 500 manifestants se sont rassemblés à la principale gare, pour protester pacifiquement contre l'OTAN et la guerre. Au même moment, de nouveaux incidents se sont déroulés à Strasbourg entre les forces de police et des manifestants cagoulés.
16h45 : Des renforts britanniques en Afghanistan.
Le Royaume Uni va proposer au sommet de l'Otan d'envoyer des renforts en Afghanistan, a indiqué vendredi à l'AFP une porte-parole du premier ministre Gordon Brown.
15h16 : Barack Obama achève son intervention.
Le président américain a conclu le jeu des questions-réponses en expliquant les raisons de son engagement dans la course à la présidentielle américaine et incité les jeunes à s'engager dans des projets qui leur tiennent à coeur.
15h15 : Un «effort conjoint» contre le terrorisme.
Barack Obama prévient les Européens qu'ils ne devraient pas s'attendre à ce que les Etats-Unis portent seuls le poids de la lutte contre le terrorisme. «Parce que c'est un problème qui nous est commun. Et il nécessite un effort conjoint», a-t-il ajouté, à propos du combat contre les talibans et leurs alliés d'al-Qaida.
15h09 : Début d'un contre-sommet de l'Otan.
Quelque 500 pacifistes et militants d'extrême gauche de 21 pays ont entamé, dans la banlieue de Strasbourg, un «contre-sommet» pour réclamer la fin d'une alliance «en crise». «Nous devons mettre un terme à l'Otan en tant que force mondiale d'intervention militaire», a proclamé la journaliste américaine Phyllis Bennis, de l'Institute for Policy Studies à Washington, dans un discours inaugural très applaudi. «Nous avons eu de grands espoirs avec l'élection du président américain Barack Obama, mais sur la question d'un retrait d'Afghanistan ils ont été déçus jusqu'ici». Condamnant les violences qui ont émaillé jeudi une première manifestation anti-Otan, Reiner Braun, de la coordination internationale anti-Otan, a estimé qu'elles avaient été le fait d'une «petite minorité» des quelque 3.000 occupants du «village anti-Otan».
14h45. Obama se prête au jeu des questions-réponses.
Après un discours d'environ une demi-heure, conclu par une longue ovation du public, le président américain répond désormais aux questions des spectateurs. Un exercice qui devrait durer un peu plus d'une demi-heure. «Levez la main, et je vous donnerai le micro», promet Obama. Suivez la rencontre en vidéo et en direct (AVEC LCP-AN et PUBLIC SENAT).
14h15 : Le gymnase du Rhénus acclame Obama.
Le président américain a été accueilli dans une ambiance surchauffée par les 4.000 personnes réunies au gymnase du Rhénus, et prononce un discours avant de répondre aux questions des spectateurs.
14h00 : Le palais des sports attend le président américain.
Barack Obama va arriver dans quelques instants au palais des sports de Strasbourg, où l'attendent quelque 4.000 personnes, en majorité des lycéens et étudiants alsaciens et allemands. Après une introduction d'une quinzaine de minutes, il se prêtera à un jeu de questions-réponses avec son auditoire.
• Obama lance un avertissement à l'Iran et à la Corée du Nord
13h30 : Obama avertit la Corée du Nord. Le président américain appelle la Corée du Nord à stopper son lancement de missile. «Nous avons fait savoir clairement aux Coréens du Nord que leur lancement de missile est provocateur. Ce pays ne peut pas menacer la sécurité d'autres pays impunément», prévient Barack Obama.
13h25 : Obama contre le nucléaire iranien. «Il faut empêcher l'Iran d'avoir une arme nucléaire», estime Barack Obama, interrogé sur le sujet. «La Russie doit nous aider dans la crise iranienne», poursuit Nicolas Sarkozy. «On n'a pas envie d'une nouvelle guerre froide», lance le président français.
13h20 : La France accueillera un ex-Guantanamo. Nicolas Sarkozy indique que la France est disposée à accueillir un ancien prisonnier de Guantanamo à la fermeture de cette prison américaine pour terroristes présumés. «Oui, on a parlé, oui, on s'est mis d'accord, et oui, c'est logique et cohérent et c'est honnête», a dit le président français.
13h18 : «Nous voulons des alliés forts.» Le président américain souhaite que l'Europe ait «des capacités militaires renforcées». «Nous voulons des alliés forts. Nous voudrions voir l'Europe avoir des capacités militaires renforcées», lance-t-il au parterre de journalistes et personnalités politiques réunies dans la cour du palais Rohan.
• «Le G20 n'aurait pas été celui qu'il a été» sans Sarkozy
13h17 : Obama salue un Sarkozy «courageux». Le président américain loue la position française au sein de l'Organisation de l'Atlantique nord. «La France fait preuve d'un leadership courageux au sein de l'Otan grâce au président Sarkozy», assure-t-il. «Nicolas Sarkozy ne cesse de faire preuve d'imagination, de créativité» et «il est présent sur tellement de fronts qu'on a du mal à suivre» parfois, poursuit Barack Obama. «Sans son leadership, ce sommet (du G20) n'aurait pas été celui qu'il a été», ajoute-t-il.
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