Conscience dépressive
Des notes de piano sur les murs
La nuit pose ses mains dessus
Et les sons comme des brûlures
Me font danser a mon insu
Les lumière du soleil creusaient
Sur ma peau des sillons calcinés
C'est a jurer qu'il cherchaient
Le bouillonnement de mon sang usé
La lune scrutait mes mouvements atones
Ma mélodie sans sons, mes dahlias obscurs
Pour séduire la belle amazone
Je devait redevenir pur...
Le silence en lambeaux enroulais ma peau
Enlaçant mes colères en crispations glacées
Réduisant mes humeurs en poussières éparpillées
Et malgré les clameurs, je n'ai rien d'un héros
Souffle indélébile sur la nacre du destin
Compression intempestive de vaines espérances
Bouillie de souffrance en acidité d'intestin
Flagelle mon âme, pardonne mes errances...
Chaarar,
Des notes de piano sur les murs
La nuit pose ses mains dessus
Et les sons comme des brûlures
Me font danser a mon insu
Les lumière du soleil creusaient
Sur ma peau des sillons calcinés
C'est a jurer qu'il cherchaient
Le bouillonnement de mon sang usé
La lune scrutait mes mouvements atones
Ma mélodie sans sons, mes dahlias obscurs
Pour séduire la belle amazone
Je devait redevenir pur...
Le silence en lambeaux enroulais ma peau
Enlaçant mes colères en crispations glacées
Réduisant mes humeurs en poussières éparpillées
Et malgré les clameurs, je n'ai rien d'un héros
Souffle indélébile sur la nacre du destin
Compression intempestive de vaines espérances
Bouillie de souffrance en acidité d'intestin
Flagelle mon âme, pardonne mes errances...
Chaarar,