La Corée du Nord a annoncé avoir réussi à placer en orbite un satellite de télécommunications qui est opérationnel et a commencé à diffuser des chants révolutionnaires.
"Nos scientifiques et nos ingénieurs ont réussi à lancer un satellite 'Kwangmyongsong-2' et à le placer en orbite au moyen d'une fusée 'Unha-2'", rapporte l'agence officielle KCNA.
L'engin qui a été placé en orbite à 02h29 GMT a commencé à émettre la "chanson du général Kim Il-sung" et la "chanson du général Kim Jong-il" du nom du fondateur de l'Etat communiste et de son fils qui lui a succédé.
Pour les Etats voisins, la Corée du Sud et le Japon, mais également pour les Etats-Unis, ce lancement est en fait un test déguisé destiné à vérifier la fiabilité des missiles à longue portée nord-coréens.
Les observateurs estiment que la réussite de ce lancement pourrait aider Kim Jong-il, 67 ans, à renforcer sa position dans l'appareil du pouvoir.
Kim aurait été victime d'une attaque en août dernier et des rumeurs circulaient sur sa capacité à diriger le pouvoir nord-coréen.
Le président américain Barack Obama a condamné ce tir, estimant qu'il violait les résolutions des Nations unies tandis qu'une réunion à huis-clos est prévue dimanche en fin d'après-midi au Conseil de sécurité.
REUTERS
"Nos scientifiques et nos ingénieurs ont réussi à lancer un satellite 'Kwangmyongsong-2' et à le placer en orbite au moyen d'une fusée 'Unha-2'", rapporte l'agence officielle KCNA.
L'engin qui a été placé en orbite à 02h29 GMT a commencé à émettre la "chanson du général Kim Il-sung" et la "chanson du général Kim Jong-il" du nom du fondateur de l'Etat communiste et de son fils qui lui a succédé.
Pour les Etats voisins, la Corée du Sud et le Japon, mais également pour les Etats-Unis, ce lancement est en fait un test déguisé destiné à vérifier la fiabilité des missiles à longue portée nord-coréens.
Les observateurs estiment que la réussite de ce lancement pourrait aider Kim Jong-il, 67 ans, à renforcer sa position dans l'appareil du pouvoir.
Kim aurait été victime d'une attaque en août dernier et des rumeurs circulaient sur sa capacité à diriger le pouvoir nord-coréen.
Le président américain Barack Obama a condamné ce tir, estimant qu'il violait les résolutions des Nations unies tandis qu'une réunion à huis-clos est prévue dimanche en fin d'après-midi au Conseil de sécurité.
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