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Les 776 000 Algériens résidant en France votent depuis quelques jours pour élire leur chef d’Etat. Un scrutin qui devrait voir le président Abdelaziz Bouteflika, donné archi-favori, décrocher un troisième mandat malgré les appels au boycott lancés par l’opposition.
Plus de 20 millions d’Algériens votent, ce jeudi 9 avril 2009, pour élire leur président parmi six candidats, dont le sortant, Abdelaziz Bouteflika, qui brigue à 72 ans un troisième mandat.
A l’occasion de ce scrutin, où l’actuel chef de l’Etat a toutes les chances de regagner son fauteuil, rien n’a été laissé au hasard en Algérie mais aussi en France, où résident plus de 776 000 électeurs. Ainsi dans tout l’Hexagone, des émissaires de l’ambassade et des consulats ont été dépêchés pour appeler à la mobilisation civique, grande inconnue et véritable enjeu de ce scrutin.
134 bureaux de vote ont été ouverts en France, pour éviter aux électeurs les plus excentrés de parcourir des dizaines de kilomètres avant de glisser leur bulletin dans l’urne. En outre, des bus ont été mis à la disposition des associations qui se sont impliquées dans le processus électoral. L’objectif étant de d’obtenir un taux de participation supérieur au scrutin de 2004, qui ne s’était élevé qu’à 33 %.
A Paris, Lyon, Marseille ou encore dans certaines communes de Seine-Saint-Denis, comme à Bobigny, où plus de 85 000 ressortissants algériens sont appelés à voter, depuis samedi 4 avril, les files d’attente se dessinent devant les bureaux. Reste à savoir comment vote ces électeurs algériens et franco-algériens, et comment jugent-il l’Algérie et la France d’aujourd’hui...
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http://www.france5.fr/c-dans-l-air/i..._rubrique=1130
Plus de 20 millions d’Algériens votent, ce jeudi 9 avril 2009, pour élire leur président parmi six candidats, dont le sortant, Abdelaziz Bouteflika, qui brigue à 72 ans un troisième mandat.
A l’occasion de ce scrutin, où l’actuel chef de l’Etat a toutes les chances de regagner son fauteuil, rien n’a été laissé au hasard en Algérie mais aussi en France, où résident plus de 776 000 électeurs. Ainsi dans tout l’Hexagone, des émissaires de l’ambassade et des consulats ont été dépêchés pour appeler à la mobilisation civique, grande inconnue et véritable enjeu de ce scrutin.
134 bureaux de vote ont été ouverts en France, pour éviter aux électeurs les plus excentrés de parcourir des dizaines de kilomètres avant de glisser leur bulletin dans l’urne. En outre, des bus ont été mis à la disposition des associations qui se sont impliquées dans le processus électoral. L’objectif étant de d’obtenir un taux de participation supérieur au scrutin de 2004, qui ne s’était élevé qu’à 33 %.
A Paris, Lyon, Marseille ou encore dans certaines communes de Seine-Saint-Denis, comme à Bobigny, où plus de 85 000 ressortissants algériens sont appelés à voter, depuis samedi 4 avril, les files d’attente se dessinent devant les bureaux. Reste à savoir comment vote ces électeurs algériens et franco-algériens, et comment jugent-il l’Algérie et la France d’aujourd’hui...
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