Le président de la Bolivie, Evo Morales, a posé un geste fort qui symbolise l'impasse politique persistant entre son gouvernement socialiste et l'opposition de droite.
M. Morales a déclaré une grève de la faim pour protester contre la difficulté à conclure un accord sur les modalités de la loi électorale qui régira l'élection présidentielle de décembre prochain. Il est appuyé dans sa démarche par 14 dirigeants syndicaux et sociaux, qui étaient présents au moment de l'annonce, au palais présidentiel de La Paz.
Le président a affirmé qu'il voulait « défendre le vote du peuple », lui qui a reçu en janvier un appui de plus de 60 % des électeurs à son projet de Constitution.
Agences
M. Morales a déclaré une grève de la faim pour protester contre la difficulté à conclure un accord sur les modalités de la loi électorale qui régira l'élection présidentielle de décembre prochain. Il est appuyé dans sa démarche par 14 dirigeants syndicaux et sociaux, qui étaient présents au moment de l'annonce, au palais présidentiel de La Paz.
Le président a affirmé qu'il voulait « défendre le vote du peuple », lui qui a reçu en janvier un appui de plus de 60 % des électeurs à son projet de Constitution.
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