Le gouvernement américain a exprimé son inquiétude face aux accusations de fraude électorale lors du scrutin présidentiel en Algérie. Le porte-parole du département d'Etat américain, Richard Aker, a toutefois déclaré qu'il n'y avait pour l'instant pas de raison pour remettre en question la coopération avec le président réélu Abdelaziz Bouteflika. Celui-ci a été réélu jeudi pour un troisième mandat avec 90,24% des voix. L'opposition, qui a boycotté le vote, l'a accusé de fraude électorale. Les observateurs de l'Union Africaine, de la Ligue arabe et de l'Organisation de la conférence islamique ont qualifié l'élection de « transparente et crédible ».
source:dw-world.de
Commentaire