Le voyage de Vladimir Poutine en Algérie est annoncé pour Février 2006. Parleront ils de ce que la Presse russe avait annoncé à savoir "que l’Algérie est disposée à acquérir des équipements et matériels militaires pour un montant de 2 milliards de dollars en échange de l’effacement de 3 milliards de dollars de sa dette contractée du temps de l’ex-empire soviétique ." En tous les cas ce sera une visite de travail et de nombreux contrats seront signé.
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Le président russe Vladimir Poutine effectuera en février 2006 une visite de travail à Alger durant laquelle de nombreux contrats seront signés. Cette visite sera précédée de celle du ministre des Affaires étrangères vers la fin de ce mois. C’est ce qu’a annoncé hier l’ambassadeur de la Fédération de Russie en Algérie, M. Vladimir Titorenko, lors de la conférence–débat organisée au centre de presse d’El Moudjahid. «Ce sera une visite historique non pas parce que ce sera la première du genre mais parce qu’elle se soldera par la signature de contrats d’un montant de plusieurs milliards de dollars», a déclaré à propos de la venue de Poutine l’invité d’El Moudjahid. Et de donner plus de détails sur la nature des accords à conclure. Le plus important, qui sera, faut-il le noter finalisé avant le 15 décembre, est lié à la protection et à la promotion des investissements dans les deux pays. La concrétisation de ces projets donnera, selon l’hôte d’El Moudjahid, un nouvel essor aux relations commerciales et économiques bilatérales. Le représentant diplomatique russe à Alger a également rappelé par la même occasion que la volonté politique de renforcer les relations entre les deux pays a été matérialisée dans la déclaration de partenariat stratégique signée par les deux pays en avril 2001 en marge de la visite du président Bouteflika à Moscou. Aussi, les nouvelles actions de coopération et de partenariat entre les deux parties ont été identifiées au début du mois d’octobre à l’occasion de la tenue de la première session de la commission mixte russo-algérienne pour la coopération commerciale, économique, scientifique et technique.
Pour l’heure, plusieurs sont en cours de réalisation alors que d’autres ont déjà été achevées depuis la reprise des relations entre les deux pays. Dans le domaine de l’énergie, la société «Stroytransgaz», à titre d’illustration, a finalisé la construction de l’oléoduc Haoudh-El Hamra-Arzew de 403 kilomètres de longueur et a signé un contrat portant sur la réalisation du gazoduc Sougueur-centrale électrique Hadjret Ennous dont le montant s’élève à 180 millions de dollars US. La société russe «Agence des Technologies de perspective» a proposé à Algérie Télécoms la construction d’une usine pour la fabrication de câbles en fibre optique pour l’approvisionnement du marché algérien et pour l’exportation. L’entreprise russe n’attend que le feu vert de la partie algérienne pour démarrer le projet. Même «Alfa Télécoms», la plus importante société russe dans le domaine des télécommunications, est intéressée par l’investissement en Algérie dans le domaine de la téléphonie mobile et a déjà soumis ses propositions aux partenaires algériens. La construction de l’autoroute est–ouest figure également parmi les dossiers intéressant les opérateurs économiques russes.
Concernant la reconversion de la dette algérienne, M. Vladimir Titorenko a préféré ne pas aborder la question dans les détails, précisant qu’elle est du ressort des ministres des Finances des deux pays. Il a toutefois indiqué sans en donner le montant exact qu’elle représente 25% de la dette extérieure algérienne. Quant au chiffre des échanges commerciaux russo-algériens, il est estimé à 350 millions de dollars. «Il ne reflète pas le niveau des relations historiques et l’étape actuelle du dialogue bilatéral», a souligné l’ambassadeur avant d’ajouter que 1 200 Algériens sont établis à Moscou.
Le président Poutine en visite à Alger en février 2006
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Le président russe Vladimir Poutine effectuera en février 2006 une visite de travail à Alger durant laquelle de nombreux contrats seront signés. Cette visite sera précédée de celle du ministre des Affaires étrangères vers la fin de ce mois. C’est ce qu’a annoncé hier l’ambassadeur de la Fédération de Russie en Algérie, M. Vladimir Titorenko, lors de la conférence–débat organisée au centre de presse d’El Moudjahid. «Ce sera une visite historique non pas parce que ce sera la première du genre mais parce qu’elle se soldera par la signature de contrats d’un montant de plusieurs milliards de dollars», a déclaré à propos de la venue de Poutine l’invité d’El Moudjahid. Et de donner plus de détails sur la nature des accords à conclure. Le plus important, qui sera, faut-il le noter finalisé avant le 15 décembre, est lié à la protection et à la promotion des investissements dans les deux pays. La concrétisation de ces projets donnera, selon l’hôte d’El Moudjahid, un nouvel essor aux relations commerciales et économiques bilatérales. Le représentant diplomatique russe à Alger a également rappelé par la même occasion que la volonté politique de renforcer les relations entre les deux pays a été matérialisée dans la déclaration de partenariat stratégique signée par les deux pays en avril 2001 en marge de la visite du président Bouteflika à Moscou. Aussi, les nouvelles actions de coopération et de partenariat entre les deux parties ont été identifiées au début du mois d’octobre à l’occasion de la tenue de la première session de la commission mixte russo-algérienne pour la coopération commerciale, économique, scientifique et technique.
Pour l’heure, plusieurs sont en cours de réalisation alors que d’autres ont déjà été achevées depuis la reprise des relations entre les deux pays. Dans le domaine de l’énergie, la société «Stroytransgaz», à titre d’illustration, a finalisé la construction de l’oléoduc Haoudh-El Hamra-Arzew de 403 kilomètres de longueur et a signé un contrat portant sur la réalisation du gazoduc Sougueur-centrale électrique Hadjret Ennous dont le montant s’élève à 180 millions de dollars US. La société russe «Agence des Technologies de perspective» a proposé à Algérie Télécoms la construction d’une usine pour la fabrication de câbles en fibre optique pour l’approvisionnement du marché algérien et pour l’exportation. L’entreprise russe n’attend que le feu vert de la partie algérienne pour démarrer le projet. Même «Alfa Télécoms», la plus importante société russe dans le domaine des télécommunications, est intéressée par l’investissement en Algérie dans le domaine de la téléphonie mobile et a déjà soumis ses propositions aux partenaires algériens. La construction de l’autoroute est–ouest figure également parmi les dossiers intéressant les opérateurs économiques russes.
Concernant la reconversion de la dette algérienne, M. Vladimir Titorenko a préféré ne pas aborder la question dans les détails, précisant qu’elle est du ressort des ministres des Finances des deux pays. Il a toutefois indiqué sans en donner le montant exact qu’elle représente 25% de la dette extérieure algérienne. Quant au chiffre des échanges commerciaux russo-algériens, il est estimé à 350 millions de dollars. «Il ne reflète pas le niveau des relations historiques et l’étape actuelle du dialogue bilatéral», a souligné l’ambassadeur avant d’ajouter que 1 200 Algériens sont établis à Moscou.
Le président Poutine en visite à Alger en février 2006
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