Envoyé par APS
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Un million de bulletins annulé!!!!!!!!!!!!
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comment ils fonts leurs calculs ?
si je prends c'est chiffres annoncés, 15.356.024 des 20.595.683, le taux de participation est de 76.02% et non pas 74.56%
aussi, Bouteflika a eu 13.019.787 des suffrages exprimés, la somme des voix obtenues par chaque candidat est de 14 730 653 et non pas 14.430.253, donc il a un taux de 88.39% et non pas les 90% annoncés...
j y comprend rien ...peut être qu'il y a un paramètre que je n'est pas pris on compte ...Anakin
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# - Nombre d'électeurs inscrits : 20.595.683
# - Nombre de votants : 15.356.024
# - Taux de participation : 74,56
# - Nombre de bulletins nuls : 925.771
# - Suffrages exprimés : 14.430.253
Nombre de voix obtenues par chaque candidat par ordre décroissant:
# - Abdelaziz Bouteflika : 13.019.787
# - Louisa Hanoune : 949.632
# - Moussa Touati : 294.411
# - Djahid Younsi : 208.949
# - Mohand Saïd Oubelaïd : 133.315
# - Ali Fewzi Rebaïne : 124.559.
car ces vieux on vraiment du mal en calcul , j'ai additionner les voix attribuer a chaque candidats et j'ai trouver 300400 voix de plus ,j'ai fait plusieurs fois le calcul Kif kif
124559+133315+208949+294411+949632+13019787 = 14730653Dernière modification par AMINOS_DZ, 14 avril 2009, 13h14.
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C'est vrai, y a eu fraude. C'est Mohand Said Oubelaid qui devrait être élu président de la République. un nom que je viens de découvrir sur ce forum... Alors bon. Chiffres gonflés ou pas ce ne sont pas des inconnus qui peuvent remporté une élection...le DRS contrôle toute la Galaxie
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Moha
C'est vrai, y a eu fraude. C'est Mohand Said Oubelaid qui devrait être élu président de la République. un nom que je viens de découvrir sur ce forum... Alors bon. Chiffres gonflés ou pas ce ne sont pas des inconnus qui peuvent remporté une élection...
Autre chose, tu ne connais pas le résultat des urnes à l'avance donc même si ça parait improbable, tu ne peux pas affirmer qu'ils ont perdu. 1 voix traffiquée même si elle ne change rien au total et l'élection est annulée, voilà la démocratie. Mais notre mentalité de soumis nous incite à leur donner raison et accepter la fraude pour vu qu'elle soit temporaire.
Enfin si Bouteflika a été élu même à 100% avec un taux de participation de 25% comme c'est le cas en réalité, il n'est pas légitime et dans tout pays censé doit être destitué. Donc ce qui nous intéresse n'est pas est ce que bouteflika a effectivement battu ses adversaires, mais est ce que les algériens ont vraiment voté massivement comme ils le prétendent, ça parait ridicule au vu des témoignages qui pleuvent de partout et de certaines preuves, c'est là où la fraude change quelque chose.
Sinon pour ce conseil non constitutionnel fait de vieux corrompus sans honneur ni dignité, je leur dis juste qu'une justice les attend, et au vu de leur âge, cette justice ne sera pas celle des hommes faibles, mais sera une justice évidente et sans appel.
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Légitimité statistique
Voici une opinion sur les résultats annoncés :
Il n'y a pas eu à proprement parler de scrutin, donc à la limite pas de fraude, mais une tentative de validation de la reconduction de Bouteflika à la tête de l'Etat. Le but recherché n'était pas un «choix de l'électorat», trafiqué ou non, mais une légitimité statistique (!)
Le pouvoir s’est gracieusement accordé cette légitimité statistique. Ce pouvoir, ses sbires et ses laudateurs vont la rabâcher à toute occasion et même en dehors de toute occasion. Elle sera invoquée pour bloquer toute ouverture du champ politique, pour réprimer toute contestation ou velléité sérieuse d’opposition et pour justifier toute mesure (ou absence de mesure) qui serait antipopulaire et/ou antinationale.
Dans ces conditions, cette légitimité statistique est complètement opposée à la légitimité constitutionnelle et populaire. Ses effets vont être désastreux pour le pays et pour les citoyens.
Le vote et tout le processus qui l’a préparé, est à rejeter dans son ensemble et dans ses détails. La présidence de la république algérienne est tout simplement occupée par un usurpateur.
Quelques mots sur les résultats annoncés :
L’élaboration des scores à proclamer a certainement posé énormément de problèmes aux promoteurs de l’opération de reconduction de Bouteflika et du système dont il est le symbole : un taux plausible de participation (entre 35 et 50%, avec moins de 5% en Kabylie et moins de 15% dans les grandes métropoles) n’assurait pas la légitimité statistique recherchée. Ils ont jugé que celle-ci ne peut l’être que si ce taux dépasse 70%. Choix qui a été fait au détriment de la crédibilité. Mais qu’importe la crédibilité, tant qu'il y a la rente pétrolière et quelque chose de consistant à piller dans ce pays, elle restera le dernier souci du pouvoir en place.
Scores des « candidats » : autre casse-tête pour les promoteurs de l’opération, avec toujours opposition de la crédibilité à la légitimité statistique.
Pour donner un semblant de véracité aux scores, les promoteurs se devaient d’octroyer au président-candidat autour de 65% des « bulletins valides ». Mais cela aurait laissé 35 à 40% aux « challengers ». On aurait ainsi reconnu un poids électoral à la seule « opposition participationniste » de près de 40% (sans compter « l’opposition boycottante »). Et cela est viscéralement inacceptable pour le régime en place. De tels résultats seraient apparus beaucoup plus comme une légitimation de l’opposition que du candidat-élu du système.
Avec le taux supérieur à 90% choisi pour président-candidat, on reconnait l’existence d’une « opposition institutionnelle », mais elle est « marginale », « non représentative ».
Personnellement, les résultats proclamés ne me chagrinent pas. Ils me font plutôt rire. Rire à en pleurer de rage.Dernière modification par benam, 16 avril 2009, 14h56."Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence
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Envoyé par BenamLe pouvoir s’est gracieusement accordé cette légitimité statistique. Ce pouvoir, ses sbires et ses laudateurs vont la rabâcher à toute occasion et même en dehors de toute occasion. Elle sera invoquée pour bloquer toute ouverture du champ politique, pour réprimer toute contestation ou velléité sérieuse d’opposition et pour justifier toute mesure (ou absence de mesure) qui serait antipopulaire et/ou antinationale.
Il faut ajouter que l'outrance et la démesure des chiffres avancés n'aurait jamais été avancés sans l'accord des capitales occidentales; et la garantie préalable de leurs acquiescement.Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs
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ca rebondit
Envoyé par MenDZDes Airbus, des Frégates et un TGV au menu de la visite de Bouteflika à Paris
Sans doute l'un des premiers chefs d'État étrangers à avoir félicité le président Bouteflika pour sa réélection à la tête du pays, le président français Nicolas Sarkozy recevra, vers la mi-juin, son homologue algérien pour une visite d'Etat qui, selon nos informations, n'abordera pas principalement des questions politiques, mais sera plutôt orientée vers l’économie. Exit donc, les pourparlers sur le traité d'amitié franco-algérien, relégués aux calendes grecs depuis le départ de Chirac, apprend-on, de sources concordantes.
Abdelaziz Bouteflika va rencontrer le président français pour signer des contrats et pas du menu fretin. Selon nos informations, il y aura d'abord la livraison de trois Frégates Fremm (DCNS), qui permettra à la France d'avoir une longueur d'avance sur ses concurrents directs qui sont les anglais de BAE Systems et les allemands de Thyssenkrupp, décidés plus que jamais à décrocher des contrats avec l'Algérie dans ce secteur. L'autre commande concernerait l'achat de huit Airbus. Une commande qui sera la bienvenue pour la firme EADS en ces temps de crise économique.
Aussi, il serait question également d'un contrat d'installation d'une ligne TGV, semblable à celle dont s'est doté le Maroc. L’itinéraire du bolide n’est pas encore connu, mais il est avéré que l’Algérie envisage, depuis des années, à se doter de telle infrastructure ferroviaire.
Enfin, malgré les discussions entamées il y a quelques mois entre l'Algérie et la France sur un éventuel partenariat dans le nucléaire civil, le projet reste encore à concrétiser, mais pas cette fois, car Bouteflika ne compte pas aborder ce dossier avec son hôte, lors de son voyage à Paris, rajoutent nos sources.
Pour rappel, les échanges commerciaux franco-algériens ont progressé de 46% en 2008. Plusieurs entreprises française raflent la mise ne Algérie, à l’instar d’Alstom dans le domaine du transport ferroviaire. Récemment, GDF Suez avait annoncé qu’il comptait investir plus d’un milliard d’euros en partenariat avec Sonatrach.
Le Financier
faut passer à la caisseSi tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs
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