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Les activistes irréductibles de l’ex-Gspc tentent de revenir au-devant de la scène après leur repli forcé dans leurs tanières. Selon des sources sécuritaires fiables tous les émirs abattus, capturés ou repentis viennent d’être remplacés par l’émir national de cette organisation criminelle, Droudkel. Dans ce contexte, les katibet de la zone2 de l’ex-Gspc qui ont été pratiquement toutes anéanties durant les six derniers mois, essaient de se réorganiser pour reprendre leurs traditionnelles positions. Aussi, est-il relevé qu’un certain Torfi Omar a été promu au poste de chargé des finances de la zone2. Ce dernier est un élément activiste de la seriat des Issers dirigée par le dénommé Hachemi El Hachemi alias Soheib.
En outre, la redoutable katibet El Ansar sous la houlette de laquelle activent près de 70 terroristes, a eu également son nouveau chef: il s’agit de Lakrouf El Bey alias El Farmach originaire de Aïn El Hamra dans la localité de Bordj Menaïel. Ce dangereux terroriste actuellement «invalide» a été gravement blessé lors d’une opération de ratissage menée à Timezrit en fin 2007. L’autre désignation est celle du nouveau chef de la katibet d’El Feth activant à l’ouest de Boumerdès et à l’est d’Alger. Ce dernier n’est autre que le sinistre Ighil Larbaâ Sofian, le bras droit de Ben Titraoui Omar, ex-émir de cette phalange éliminé par les forces spéciales récemment au chef-lieu de wilaya de Boumerdès. Ces informations sont consignées dans des tracts distribués par les ouailles de Droukdel dans des régions réputées être des fiefs de l’ex-Gspc. Néanmoins il convient de rappeler que la descente aux enfers de cette organisation s’est traduite par une espèce de paralysie constatée lors du dernier scrutin présidentiel.
A l’occasion de cet événement offrant pourtant une opportunité médiatique exceptionnelle, Al Qaîda au Maghreb s’est contentée d’une tentative insignifiante et désespérée. La nature classique des procédés utilisés et les endroits isolés ciblés renseignent à quel point les moyens et les sources de soutien logistique du Gspc sont taries. Selon des sources sécuritaires très au fait de la lutte antiterroriste les pertes enregistrée par cette organisation sont énormes. Pour les seuls huit derniers mois, elle a perdu plus de 300 terroristes dont une vingtaine de chefs notoires et près de 350 autres ont été arrêtés. Cela sans oublier que la base arrière de l’ex-Gspc a été dans sa majeure partie détruite.
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En outre, la redoutable katibet El Ansar sous la houlette de laquelle activent près de 70 terroristes, a eu également son nouveau chef: il s’agit de Lakrouf El Bey alias El Farmach originaire de Aïn El Hamra dans la localité de Bordj Menaïel. Ce dangereux terroriste actuellement «invalide» a été gravement blessé lors d’une opération de ratissage menée à Timezrit en fin 2007. L’autre désignation est celle du nouveau chef de la katibet d’El Feth activant à l’ouest de Boumerdès et à l’est d’Alger. Ce dernier n’est autre que le sinistre Ighil Larbaâ Sofian, le bras droit de Ben Titraoui Omar, ex-émir de cette phalange éliminé par les forces spéciales récemment au chef-lieu de wilaya de Boumerdès. Ces informations sont consignées dans des tracts distribués par les ouailles de Droukdel dans des régions réputées être des fiefs de l’ex-Gspc. Néanmoins il convient de rappeler que la descente aux enfers de cette organisation s’est traduite par une espèce de paralysie constatée lors du dernier scrutin présidentiel.
A l’occasion de cet événement offrant pourtant une opportunité médiatique exceptionnelle, Al Qaîda au Maghreb s’est contentée d’une tentative insignifiante et désespérée. La nature classique des procédés utilisés et les endroits isolés ciblés renseignent à quel point les moyens et les sources de soutien logistique du Gspc sont taries. Selon des sources sécuritaires très au fait de la lutte antiterroriste les pertes enregistrée par cette organisation sont énormes. Pour les seuls huit derniers mois, elle a perdu plus de 300 terroristes dont une vingtaine de chefs notoires et près de 350 autres ont été arrêtés. Cela sans oublier que la base arrière de l’ex-Gspc a été dans sa majeure partie détruite.
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