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Une nouvelle page entre la Kabylie et le Président est désormais ouverteBouteflika attendu dans les prochaines semaines à Tizi-Ouzou
Si la population de Tizi-Ouzou a bien compris de ne plus verser dans l’opposition frontale et stérile au pouvoir – d’ailleurs cela est doublement confirmé, l’accueil réservé à la visite de Abdelaziz Bouteflika le 27 mars et l’historique taux de participation a l’élection présidentielle du 9 avril –, le pouvoir de son côté semble avoir révisé sa copie sur une région mal comprise et délaissée.
Selon des sources fiables, le président élu Abdelaziz Bouteflika serait de retour d’ici quelques semaines en visite de travail et d’inspection à la wilaya de Tizi-Ouzou. Pour rappel, la ville de Tizi-Ouzou n’a pas reçu de cortège présidentiel depuis les années 1970, lorsque Houari Boumediène était en visite de travail à la wilaya. Il s’agit à ce titre de “ hache de guerre” qui est enterrée, même s’il reste quelques voix résiduelles de la politique du chaos, qui veulent garder la région dans l’isolement et l’indexation permanente.
Le taux de participation au dernier rendez-vous électoral illustre si besoin est, un chamboulement des mœurs politiques de la région, où plus de 180 000 citoyens ont accompli leur devoir électoral sur les 640 000 inscrits, pour une région qui a rarement dépassé les 50% de participation, même quand l’appel au vote est fait par les partis les plus ancrés dans la région. La candidat Abdelaziz Bouteflika a totalisé plus de 150 000 voix à lui seul, soit 85% du nombre de votants. Cette donne, et non des moindres, renseigne que la Kabylie s’attelle à asseoir une nouvelle configuration politique et de nouveaux rapports de forces en dehors de la traditionnelle bipolarité politique du FFS et du RCD, réduits en peaux de chagrin dans leurs terrains de prédilection.
L’information selon laquelle la visite de Abdelaziz Bouteflika est imminente à Tizi-Ouzou donne davantage d’espoir à la population locale et surtout à sa jeunesse qui s’est impliquée lors de la campagne électorale. Les promesses du chef d’Etat faites à l’endroit des populations en quête de développement et de sécurité, seront tenues dans la lettre et l’esprit, selon Abdelmalek Sellal, qui l’a déclaré lors de sa conférence de presse.
A Tizi-Ouzou, les travaux du directoire de campagne du candidat élu Abdelaziz Bouteflika ne se sont pas arrêtés le 9 avril, jour de l’élection. Le directoire que pilote Ould Ali El Hadi continue de tenir des réunions régulières avec tout le staff électoral en fixant une feuille de route, pour rencontrer les populations et en instituant un observatoire économique, en charge de peaufiner un dossier cernant toutes les questions de développement socio-économique, et qui sera transmis au président de la République. L’observatoire en question est composé d’illustre universitaires, de personnalités, d’investisseurs, de syndicalistes, de femmes, de jeunes chômeurs.
Avec la validation par le Conseil constitutionnel des résultats du scrutin du 9 avril, le président Abdelaziz Bouteflika entamera sa troisième mandature avec comme première sortie, très attendue, Tizi-Ouzou.
La réconciliation politique entre Tizi et Alger a suscité l’espoir, la région attend de pied ferme la visite du président afin de s’inscrire dans l’effort national de développement. Une région qui a tout donné et tant souffert, veut sortir du chaos et réussir toutes les relances.
Si la population de Tizi-Ouzou a bien compris de ne plus verser dans l’opposition frontale et stérile au pouvoir – d’ailleurs cela est doublement confirmé, l’accueil réservé à la visite de Abdelaziz Bouteflika le 27 mars et l’historique taux de participation a l’élection présidentielle du 9 avril –, le pouvoir de son côté semble avoir révisé sa copie sur une région mal comprise et délaissée.
Selon des sources fiables, le président élu Abdelaziz Bouteflika serait de retour d’ici quelques semaines en visite de travail et d’inspection à la wilaya de Tizi-Ouzou. Pour rappel, la ville de Tizi-Ouzou n’a pas reçu de cortège présidentiel depuis les années 1970, lorsque Houari Boumediène était en visite de travail à la wilaya. Il s’agit à ce titre de “ hache de guerre” qui est enterrée, même s’il reste quelques voix résiduelles de la politique du chaos, qui veulent garder la région dans l’isolement et l’indexation permanente.
Le taux de participation au dernier rendez-vous électoral illustre si besoin est, un chamboulement des mœurs politiques de la région, où plus de 180 000 citoyens ont accompli leur devoir électoral sur les 640 000 inscrits, pour une région qui a rarement dépassé les 50% de participation, même quand l’appel au vote est fait par les partis les plus ancrés dans la région. La candidat Abdelaziz Bouteflika a totalisé plus de 150 000 voix à lui seul, soit 85% du nombre de votants. Cette donne, et non des moindres, renseigne que la Kabylie s’attelle à asseoir une nouvelle configuration politique et de nouveaux rapports de forces en dehors de la traditionnelle bipolarité politique du FFS et du RCD, réduits en peaux de chagrin dans leurs terrains de prédilection.
L’information selon laquelle la visite de Abdelaziz Bouteflika est imminente à Tizi-Ouzou donne davantage d’espoir à la population locale et surtout à sa jeunesse qui s’est impliquée lors de la campagne électorale. Les promesses du chef d’Etat faites à l’endroit des populations en quête de développement et de sécurité, seront tenues dans la lettre et l’esprit, selon Abdelmalek Sellal, qui l’a déclaré lors de sa conférence de presse.
A Tizi-Ouzou, les travaux du directoire de campagne du candidat élu Abdelaziz Bouteflika ne se sont pas arrêtés le 9 avril, jour de l’élection. Le directoire que pilote Ould Ali El Hadi continue de tenir des réunions régulières avec tout le staff électoral en fixant une feuille de route, pour rencontrer les populations et en instituant un observatoire économique, en charge de peaufiner un dossier cernant toutes les questions de développement socio-économique, et qui sera transmis au président de la République. L’observatoire en question est composé d’illustre universitaires, de personnalités, d’investisseurs, de syndicalistes, de femmes, de jeunes chômeurs.
Avec la validation par le Conseil constitutionnel des résultats du scrutin du 9 avril, le président Abdelaziz Bouteflika entamera sa troisième mandature avec comme première sortie, très attendue, Tizi-Ouzou.
La réconciliation politique entre Tizi et Alger a suscité l’espoir, la région attend de pied ferme la visite du président afin de s’inscrire dans l’effort national de développement. Une région qui a tout donné et tant souffert, veut sortir du chaos et réussir toutes les relances.
Khaled Zahem
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