À mes frères ! À mes frères ! À l'Algérie entière
Des montagnes du Djurdjura jusqu’au fin fond du désert
Montrons notre courroux, montrons que nous nous aimons,
Mais sans porter atteinte aux consciences,
Mais porter un coup fatal, décisif
À ces soit disons opposants
À ces fainéants de la Nation
Qui se pavanent dans les salons de l'Occident
Et qui nous embourrent de bouts de désillusion
Et à ces gens sans entente
Qui sèment le trouble et la honte
Sur cette terre prospère, très chère
Où beaucoup de mères ont souffert
Qu'ils se taisent, qu'ils se taisent et qu'ils se taisent !
Matoub Lounes felas yahfou rebi
Des montagnes du Djurdjura jusqu’au fin fond du désert
Montrons notre courroux, montrons que nous nous aimons,
Mais sans porter atteinte aux consciences,
Mais porter un coup fatal, décisif
À ces soit disons opposants
À ces fainéants de la Nation
Qui se pavanent dans les salons de l'Occident
Et qui nous embourrent de bouts de désillusion
Et à ces gens sans entente
Qui sèment le trouble et la honte
Sur cette terre prospère, très chère
Où beaucoup de mères ont souffert
Qu'ils se taisent, qu'ils se taisent et qu'ils se taisent !
Matoub Lounes felas yahfou rebi
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