Après les assassinats, le racket, voici venu le temps du racismeDroukdel traite les Kabyles de sangliersLe chef des sanguinaires du GSPC s’ingenue à trouver des méthodes novatrices afin de maintenir sa capacité de nuisance assassine. La dernière en date est un mélange de relent, religieux couplé à un racisme de bas étage.
Ainsi, selon un terroriste repenti, Droukdel a instruit son “émir” de la zone centre, Abou Houdhaïfa, de lever le pied sur la Kabylie. Cette instruction ferme, ordonne à Abou Houdhaïfa de cesser ou diminuer les exactions dans la région de Kabylie.
Cette dernière étant une zone stratégique dans les schémas des sanguinaires du GSPC, puisqu’ils l’ont dédiée en une zone de repli, de repos et de réflexion.
La nouveauté est loin d'être cette qualité apposée à la Kabylie par les terroristes islamistes, mais bien dans l’argumentaire et les justificatifs fournis par Droukdel à Abou Houdhaïfa.
Ainsi, le criminel en chef, tout en se disant convaincu que les Kabyles sont des impies et des mécréants, a instruit ses troupes par une image pleine de symboliques. Droukdel base sa fetwa selon laquelle “les Kabyles sont des sangliers, et par conséquent il ne faut ni les tuer ni les manger”. Mais cette fetwa a une durée de vie pas très longue et constitue une “trêve” conjoncturelle pour les besoins tactiques des hordes du GSPC.
Pour calmer les ardeurs criminelles de ses troupes, Droukdel promet que le temps viendra où il réglera leurs comptes aux habitants de la région de Kabylie.
Il sait également que cette démarche peut s’avérer payante par le truchement des relais propagandistes de l’islamisme dans la région.
Cela a été vérifié par le passé, quand les capacités de nuisance des terroristes se trouvaient amoindries, voire anéanties par, d’un côté, les coups qui leur ont été portés par les services de sécurité et l’ANP, et de l’autre par la mobilisation politique dans la région, il s’en est trouvé des propagandistes qui voulaient nous convaincre que les terroristes islamistes n’avaient pas de comptes à régler en Kabylie, mais s’en prenaient à l’Etat et au pouvoir.
La boucle était ainssi bouclée comme au début des années 1990 quand ils déclaraient que les journalistes et les policiers n’étaient assassinés que parcequ’ils étaient communistes.
Le crime étant justifié, nos propagandistes pouvaient rentrer chez eux et dormir tranquillement.
source : la dêpéche de kabylie
Ainsi, selon un terroriste repenti, Droukdel a instruit son “émir” de la zone centre, Abou Houdhaïfa, de lever le pied sur la Kabylie. Cette instruction ferme, ordonne à Abou Houdhaïfa de cesser ou diminuer les exactions dans la région de Kabylie.
Cette dernière étant une zone stratégique dans les schémas des sanguinaires du GSPC, puisqu’ils l’ont dédiée en une zone de repli, de repos et de réflexion.
La nouveauté est loin d'être cette qualité apposée à la Kabylie par les terroristes islamistes, mais bien dans l’argumentaire et les justificatifs fournis par Droukdel à Abou Houdhaïfa.
Ainsi, le criminel en chef, tout en se disant convaincu que les Kabyles sont des impies et des mécréants, a instruit ses troupes par une image pleine de symboliques. Droukdel base sa fetwa selon laquelle “les Kabyles sont des sangliers, et par conséquent il ne faut ni les tuer ni les manger”. Mais cette fetwa a une durée de vie pas très longue et constitue une “trêve” conjoncturelle pour les besoins tactiques des hordes du GSPC.
Pour calmer les ardeurs criminelles de ses troupes, Droukdel promet que le temps viendra où il réglera leurs comptes aux habitants de la région de Kabylie.
Il sait également que cette démarche peut s’avérer payante par le truchement des relais propagandistes de l’islamisme dans la région.
Cela a été vérifié par le passé, quand les capacités de nuisance des terroristes se trouvaient amoindries, voire anéanties par, d’un côté, les coups qui leur ont été portés par les services de sécurité et l’ANP, et de l’autre par la mobilisation politique dans la région, il s’en est trouvé des propagandistes qui voulaient nous convaincre que les terroristes islamistes n’avaient pas de comptes à régler en Kabylie, mais s’en prenaient à l’Etat et au pouvoir.
La boucle était ainssi bouclée comme au début des années 1990 quand ils déclaraient que les journalistes et les policiers n’étaient assassinés que parcequ’ils étaient communistes.
Le crime étant justifié, nos propagandistes pouvaient rentrer chez eux et dormir tranquillement.
C. A
source : la dêpéche de kabylie
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