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A Aïn El Hammam, pour se conformer aux instructions de leur tutelle, les caissiers de certains organismes étatiques refusent, depuis quelques jours, de se faire payer par le moyen de chèques CCP.
Au niveau des guichets de l’ADE, une note de service placardée, bien en évidence, rappelle les instructions du 17 mai 2006, émanant de monsieur le gouverneur de la banque d’Algérie. Il est, ainsi, précisé qu’à compter du premier avril 2009, les chèques, non normalisés, ne seront plus admis.
Ce qui prend de court les abonnés de l’ADE, habitués à honorer leurs factures par chèque CCP. Ce qui, on en convient, crée des désagréments aux usagers, ne possédant pas le fameux document. Ils doivent alors, malgré eux, retourner à la poste pour effectuer un retrait et revenir payer en espèces.
Une procédure, guère pratique pour les usagers et encore moins pour les guichetiers, contraints de brasser de grosses sommes d’argent, en attendant le soir. Les citoyens pouvant utiliser ce genre de paiement ne sont pas nombreux.
D’ailleurs, ceux que nous avons abordés, avouent ne pas faire de différence entre le bon vieux chèque CCP et le tout nouveau, appelé “chèque normalisé” ou “chèque de paiement”. Si le premier permet des retraits d’argent, aux guichets d’Algérie Poste, le second n’est utilisé que pour les paiements.
C’est en tous cas, ce que nous a expliqué un agent du bureau de poste d’Aïn El Hammam où nous nous sommes renseignés.
Les détenteurs de chèques de paiement, peu courants pour le moment, peuvent, soit honorer des factures, soit régler des achats effectués, au niveau des sociétés ou commerces qui acceptent ce mode de paiement.
Pour en disposer, les intéressés peuvent en effectuer la demande. “Il suffit, pour cela, de remplir un imprimé et d’attendre l’arrivée du chéquier” nous explique-t-on. Tout abonné qui détient un CCP (compte courant postal), peut en bénéficier.
Habitués à ne “transporter” que leur ancien carnet de chèques, les usagers des PPT doivent maintenant s’embarrasser d’un autre. Ce qui gonfle encore davantage, leur porte document où ils doivent trouver de la place pour ranger deux chéquiers, à côté de la carte “DAB” et d’une multitude d’autres papiers. “Un seul document ou carte nous compliquerait moins le vie” avoue un citoyen qui ajoute “je ne vois aucun intérêt à ce nouveau dispositif de paiement”.
Par la Dépêche de Kabylie
Au niveau des guichets de l’ADE, une note de service placardée, bien en évidence, rappelle les instructions du 17 mai 2006, émanant de monsieur le gouverneur de la banque d’Algérie. Il est, ainsi, précisé qu’à compter du premier avril 2009, les chèques, non normalisés, ne seront plus admis.
Ce qui prend de court les abonnés de l’ADE, habitués à honorer leurs factures par chèque CCP. Ce qui, on en convient, crée des désagréments aux usagers, ne possédant pas le fameux document. Ils doivent alors, malgré eux, retourner à la poste pour effectuer un retrait et revenir payer en espèces.
Une procédure, guère pratique pour les usagers et encore moins pour les guichetiers, contraints de brasser de grosses sommes d’argent, en attendant le soir. Les citoyens pouvant utiliser ce genre de paiement ne sont pas nombreux.
D’ailleurs, ceux que nous avons abordés, avouent ne pas faire de différence entre le bon vieux chèque CCP et le tout nouveau, appelé “chèque normalisé” ou “chèque de paiement”. Si le premier permet des retraits d’argent, aux guichets d’Algérie Poste, le second n’est utilisé que pour les paiements.
C’est en tous cas, ce que nous a expliqué un agent du bureau de poste d’Aïn El Hammam où nous nous sommes renseignés.
Les détenteurs de chèques de paiement, peu courants pour le moment, peuvent, soit honorer des factures, soit régler des achats effectués, au niveau des sociétés ou commerces qui acceptent ce mode de paiement.
Pour en disposer, les intéressés peuvent en effectuer la demande. “Il suffit, pour cela, de remplir un imprimé et d’attendre l’arrivée du chéquier” nous explique-t-on. Tout abonné qui détient un CCP (compte courant postal), peut en bénéficier.
Habitués à ne “transporter” que leur ancien carnet de chèques, les usagers des PPT doivent maintenant s’embarrasser d’un autre. Ce qui gonfle encore davantage, leur porte document où ils doivent trouver de la place pour ranger deux chéquiers, à côté de la carte “DAB” et d’une multitude d’autres papiers. “Un seul document ou carte nous compliquerait moins le vie” avoue un citoyen qui ajoute “je ne vois aucun intérêt à ce nouveau dispositif de paiement”.
Par la Dépêche de Kabylie