Le régime sioniste s'est infiltré au Maroc
Un reportage concordant publié par les sources arabes et en particulier le site web du quotidien égyptien, al-Bechayer, révèle que depuis sa création il y a 60 ans, le régime sioniste entretient avec le Maroc des relations très singulières.
Dans les premières décennies de la création d'Israël, un grand nombre de Marocains de confession juive ont émigré en Palestine occupée. Aujourd'hui, Rabat entretient des relations étroites avec le régime israélien, alors que la population marocaine soutient corps et âme la cause palestinienne.
Les liens entre le Maroc et le régime occupant Qods ont été mis au grand jour dans un projet de tourisme entre Israël, le Maroc et l'Espagne, du nom de "Euromed" proposé par le ministère marocain du Tourisme.
Une conférence d'Euromed devrait d'ailleurs réunir ce mois-ci, à Paris, les ministres du Tourisme des pays européens et ceux de la Méditerranée. Par ailleurs, de nombreuses entreprises publiques marocaines entretiennent d'étroites relations avec les entreprises israéliennes dont l'exemple le plus connu c'est la société "Zimac" fondée en 1983 à Casablanca.
La société israélienne "Zimac" est une filiale de la "Zim" active dans le secteur maritime et dont Israël détient 48% de ses parts sociales. Le transport maritime, la bourse et les établissements financiers sont d'autres secteurs qui garantissent les intérêts israéliens au Maroc.
La "MTDS" et la "Annour" Technologie qui siègent respectivement à Rabat et à Casablanca font du marketing pour les produits israéliens de haute technologie. Ces deux entreprises sont liées à l'israélienne "Check Point". Selon les sources bien informées, l'ancien ministre marocain de l'Agriculture, Ismaël al-Alaoui avait auparavant reconnu que certaines sociétés marocaines importent des produits israéliens via les Pays-Bas et le Danemark.
La publication d'un livre intitulé "al-Rabat al-Maghrebi" écrit par Samuel Siki, un ancien officier de renseignements du régime israélien fait par ailleurs la lumière sur la coopération militaro-sécuritaire entre le Maroc et le régime de Tel-Aviv. Dans son livre Samuel Siki donne des détails d'un plan mis sur pied par un agent du Mossad pour assassiner l'ancien président égyptien, Gamal Abdel Nasser lors d'une visite au Maroc.
Tout cela nous amène à dire que la rupture des relations diplomatiques entre Rabat et Téhéran, décidée par le Maroc fait partie des projets du régime sioniste pour diviser les pays musulmans.
Un reportage concordant publié par les sources arabes et en particulier le site web du quotidien égyptien, al-Bechayer, révèle que depuis sa création il y a 60 ans, le régime sioniste entretient avec le Maroc des relations très singulières.
Dans les premières décennies de la création d'Israël, un grand nombre de Marocains de confession juive ont émigré en Palestine occupée. Aujourd'hui, Rabat entretient des relations étroites avec le régime israélien, alors que la population marocaine soutient corps et âme la cause palestinienne.
Les liens entre le Maroc et le régime occupant Qods ont été mis au grand jour dans un projet de tourisme entre Israël, le Maroc et l'Espagne, du nom de "Euromed" proposé par le ministère marocain du Tourisme.
Une conférence d'Euromed devrait d'ailleurs réunir ce mois-ci, à Paris, les ministres du Tourisme des pays européens et ceux de la Méditerranée. Par ailleurs, de nombreuses entreprises publiques marocaines entretiennent d'étroites relations avec les entreprises israéliennes dont l'exemple le plus connu c'est la société "Zimac" fondée en 1983 à Casablanca.
La société israélienne "Zimac" est une filiale de la "Zim" active dans le secteur maritime et dont Israël détient 48% de ses parts sociales. Le transport maritime, la bourse et les établissements financiers sont d'autres secteurs qui garantissent les intérêts israéliens au Maroc.
La "MTDS" et la "Annour" Technologie qui siègent respectivement à Rabat et à Casablanca font du marketing pour les produits israéliens de haute technologie. Ces deux entreprises sont liées à l'israélienne "Check Point". Selon les sources bien informées, l'ancien ministre marocain de l'Agriculture, Ismaël al-Alaoui avait auparavant reconnu que certaines sociétés marocaines importent des produits israéliens via les Pays-Bas et le Danemark.
La publication d'un livre intitulé "al-Rabat al-Maghrebi" écrit par Samuel Siki, un ancien officier de renseignements du régime israélien fait par ailleurs la lumière sur la coopération militaro-sécuritaire entre le Maroc et le régime de Tel-Aviv. Dans son livre Samuel Siki donne des détails d'un plan mis sur pied par un agent du Mossad pour assassiner l'ancien président égyptien, Gamal Abdel Nasser lors d'une visite au Maroc.
Tout cela nous amène à dire que la rupture des relations diplomatiques entre Rabat et Téhéran, décidée par le Maroc fait partie des projets du régime sioniste pour diviser les pays musulmans.
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