Simple avis Fraude …vous dites ?
Aucun Algérien ne doutait de la possibilité d’une victoire de l’ex président de la république, Chadli Ben Jedid, pour succéder à feu Houari Boumediene en mille neuf cents soixante dix neuf, même si son nom n’était pas répandu au milieu de l’opinion publique locale et internationale comparé au nom de l’actuel président Abdelaziz Bouteflika, et le nom montant d’alors Mohamed Salah Yahiaoui. Cela est du à une seule et simple raison, c’est que l’homme était le candidat du pouvoir …et c’est parce qu’il l’est justement, que personne n’a douté de la succession de Chadli à lui-même lors des élections de quatre vingt quatre et de quatre vingt huit. Evidemment, personne n’a pensé que le candidat aux présidentielles de mille neuf cents quatre vingt quinze, Liamine Zeroual, allait perdre la bataille devant ses concurrents, et pour la même raison , c’est qu’il était le candidat du pouvoir … et si on revient en arrière, même chose pour le défunt Houari Boumediene malgré la différence des conditions, des données ainsi que la nature de la personne, idem pour l’actuel président Abdelaziz Bouteflika et peut être même pour le futur président, qui reste inconnu tant que toutes les indications projettent que la situation politique actuelle est donnée à se dilater s’allonger dans notre avenir …Cette réalité et cette vérité sont très connues par Louiza Hanoune, et connues de la même dimension par Moussa Touati, Rebaine, Younsi et Mohammed Saïd , alors pourquoi parlent-ils de fraude, eux qui avaient admis auparavant, et depuis le jour de leurs annonce de leurs candidatures au rendez-vous électoral du neuf Avril, et avaient affirmé lors de la campagne électorale qu’ils étaient forts convaincus de que la victoire est utopique pour eux … Il n’est un secret pour personne que le chef du parti des travailleurs (PT) avait declaré, dit et affirmé à plus d’un titre qu’elle occupera la seconde place dans le mérite du week-end dernier, et elle l’a eut, alors que s’est-il passé pour dire aujourd’hui que la fraude est une menace pour l’indépendance du pays ?
La victoire de Bouteflika était en tout cas tranchée, et même sans les glorifications de l’opération électorale par ses protagonistes, aucun Algérien, y compris les idiots, les extrémistes et « sages », et les calmes de nature, n’a pensé que Rebaine, ou Mohamed Saïd, ou Louiza Hanoune ou bien Djahid Younsi vaincront Bouteflika même avec un taux de un pour milliard, alors pourquoi ce cirque après que le dossier est clos ?
Ce que tiennent les candidats comme propos sont d’une gravité extrême, ce qui suppose qu’ils vont aller très loin dans leurs mouvements de protestations, s’ils croient en ce qu’ils déclarent, surtout que Louiza Hanoune, Moussa Touati et en particulier Djahid Younsi, détiennent une importante carte de pression, à savoir se retirer du parlement, alors le feront-ils ? Evidemment ils ne le peuvent pas, surtout qu’ils savent que le Président vainqueur ne perdra rien du tout s’il ose à dissoudre l’institution de Ziari et le conseil de Ben Salah, bien au contraire il aura tout à gagner.
elkhabar
Aucun Algérien ne doutait de la possibilité d’une victoire de l’ex président de la république, Chadli Ben Jedid, pour succéder à feu Houari Boumediene en mille neuf cents soixante dix neuf, même si son nom n’était pas répandu au milieu de l’opinion publique locale et internationale comparé au nom de l’actuel président Abdelaziz Bouteflika, et le nom montant d’alors Mohamed Salah Yahiaoui. Cela est du à une seule et simple raison, c’est que l’homme était le candidat du pouvoir …et c’est parce qu’il l’est justement, que personne n’a douté de la succession de Chadli à lui-même lors des élections de quatre vingt quatre et de quatre vingt huit. Evidemment, personne n’a pensé que le candidat aux présidentielles de mille neuf cents quatre vingt quinze, Liamine Zeroual, allait perdre la bataille devant ses concurrents, et pour la même raison , c’est qu’il était le candidat du pouvoir … et si on revient en arrière, même chose pour le défunt Houari Boumediene malgré la différence des conditions, des données ainsi que la nature de la personne, idem pour l’actuel président Abdelaziz Bouteflika et peut être même pour le futur président, qui reste inconnu tant que toutes les indications projettent que la situation politique actuelle est donnée à se dilater s’allonger dans notre avenir …Cette réalité et cette vérité sont très connues par Louiza Hanoune, et connues de la même dimension par Moussa Touati, Rebaine, Younsi et Mohammed Saïd , alors pourquoi parlent-ils de fraude, eux qui avaient admis auparavant, et depuis le jour de leurs annonce de leurs candidatures au rendez-vous électoral du neuf Avril, et avaient affirmé lors de la campagne électorale qu’ils étaient forts convaincus de que la victoire est utopique pour eux … Il n’est un secret pour personne que le chef du parti des travailleurs (PT) avait declaré, dit et affirmé à plus d’un titre qu’elle occupera la seconde place dans le mérite du week-end dernier, et elle l’a eut, alors que s’est-il passé pour dire aujourd’hui que la fraude est une menace pour l’indépendance du pays ?
La victoire de Bouteflika était en tout cas tranchée, et même sans les glorifications de l’opération électorale par ses protagonistes, aucun Algérien, y compris les idiots, les extrémistes et « sages », et les calmes de nature, n’a pensé que Rebaine, ou Mohamed Saïd, ou Louiza Hanoune ou bien Djahid Younsi vaincront Bouteflika même avec un taux de un pour milliard, alors pourquoi ce cirque après que le dossier est clos ?
Ce que tiennent les candidats comme propos sont d’une gravité extrême, ce qui suppose qu’ils vont aller très loin dans leurs mouvements de protestations, s’ils croient en ce qu’ils déclarent, surtout que Louiza Hanoune, Moussa Touati et en particulier Djahid Younsi, détiennent une importante carte de pression, à savoir se retirer du parlement, alors le feront-ils ? Evidemment ils ne le peuvent pas, surtout qu’ils savent que le Président vainqueur ne perdra rien du tout s’il ose à dissoudre l’institution de Ziari et le conseil de Ben Salah, bien au contraire il aura tout à gagner.
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