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Dure, dure est la réalité du terrain. C’est à peine croyable ce qu’endurent des familles algériennes dans le domaine du logement à Maâtkas.
Des douches datant de l’ère coloniale sont transformées en habitations pour abriter des enfants de l’Algérie indépendante !
C’est inimaginable. Tout cela pour souligner la crise aiguë en matière de logements dans cette région de Kabylie.
Depuis le lancement du plan quinquennal du président de la République en 2005, les bureaux de l’urbanisme ne désemplissent pas. Il faut dire qu’ils sont pris d’assaut par les citoyens, c’est ainsi que 1 400 demandes sont enregistrées pour acquérir l’aide financière à l’autoconstruction, malheureusement le quota disponible n’était que de 323, ce qui a fait beaucoup de déçus.
Signalons que l’aide proposée était de 50 millions par bénéficiaire et comme dans la région le foncier est accidenté, la moitié de la somme est vite consommée pour les travaux de terrassement, ce qui rendait l’objectif difficile à atteindre.
Dans le cadre du logement social, la commune de Maâtkas n’a construit que 10 et qui attendent toujours d’être distribués, il semble que cela est épineux puisque la demande est trop élevée. Dans le cadre du Logement participatif, la municipalité n’a engagé aucun projet tout simplement pour cause d’indisponibilité d’assiette foncière, nous dit-on.
Pour anéantir l’habitat précaire et les bidonvilles implantés au chef-lieu de la commune, celle-ci entend construire 50 logements pour, d’abord, permettre aux familles concernées de vivre dans la dignité et puis finir avec ce phénomène qui enlaidit la localité. De toute évidence, les citoyens de cette contrée, attendent avec beaucoup d’espoir les dispositifs annoncés par le président pour régler définitivement la crise du logement à travers le territoire national et donner l’occasion aux citoyens de vivre dans des conditions saines et dignes.
Pour le moment, le cauchemar continue et certains préfèrent croire que dans un avenir proche, ils pourront retrouver leur dignité et vivre leur citoyenneté convenablement. Quand on veut, on peut, dit l’adage. En Algérie, rien n’est impossible.
par la Dépêche de Kabylie
Des douches datant de l’ère coloniale sont transformées en habitations pour abriter des enfants de l’Algérie indépendante !
C’est inimaginable. Tout cela pour souligner la crise aiguë en matière de logements dans cette région de Kabylie.
Depuis le lancement du plan quinquennal du président de la République en 2005, les bureaux de l’urbanisme ne désemplissent pas. Il faut dire qu’ils sont pris d’assaut par les citoyens, c’est ainsi que 1 400 demandes sont enregistrées pour acquérir l’aide financière à l’autoconstruction, malheureusement le quota disponible n’était que de 323, ce qui a fait beaucoup de déçus.
Signalons que l’aide proposée était de 50 millions par bénéficiaire et comme dans la région le foncier est accidenté, la moitié de la somme est vite consommée pour les travaux de terrassement, ce qui rendait l’objectif difficile à atteindre.
Dans le cadre du logement social, la commune de Maâtkas n’a construit que 10 et qui attendent toujours d’être distribués, il semble que cela est épineux puisque la demande est trop élevée. Dans le cadre du Logement participatif, la municipalité n’a engagé aucun projet tout simplement pour cause d’indisponibilité d’assiette foncière, nous dit-on.
Pour anéantir l’habitat précaire et les bidonvilles implantés au chef-lieu de la commune, celle-ci entend construire 50 logements pour, d’abord, permettre aux familles concernées de vivre dans la dignité et puis finir avec ce phénomène qui enlaidit la localité. De toute évidence, les citoyens de cette contrée, attendent avec beaucoup d’espoir les dispositifs annoncés par le président pour régler définitivement la crise du logement à travers le territoire national et donner l’occasion aux citoyens de vivre dans des conditions saines et dignes.
Pour le moment, le cauchemar continue et certains préfèrent croire que dans un avenir proche, ils pourront retrouver leur dignité et vivre leur citoyenneté convenablement. Quand on veut, on peut, dit l’adage. En Algérie, rien n’est impossible.
par la Dépêche de Kabylie
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