Plus de 30 tonnes de drogue ont été saisies depuis le début de l’année. Le chiffre, hallucinant, dépasse de très loin l’ensemble des prévisions faites par les services de sécurité.
Surréaliste! Ces saisies de kif ont tendance à se répéter depuis quelque temps et dont la quantité est aussi pesante sur le moral de la société qu’à l’intérieur des chargements acheminés droit vers l’Algérie, soit pour une question de transit, sinon pour son écoulement illicite, voire criminel sur le marché de la consommation, donnent le tournis!
On en est déjà à 30 tonnes de drogue saisie depuis le début de l’année, nous confirme t-on de source officielle du commandement de la Gendarmerie nationale.
Ce chiffre paraît peut-être peu surprenant, cependant à l’explication selon laquelle cette quantité correspond à la totalité des saisies opérées durant les 12 mois de 2007, le même chiffre de trente tonnes s’annonce explosif.
Et comment peut-il en être autrement, sachant que nous ne sommes présentement qu’à l’entame du second trimestre et qu’à ce rythme effréné de saisies de drogue, les prévisions de la Gendarmerie nationale arrêtées à 60 tonnes pour 2009 seront de loin dépassées d’ici à la fin de l’année.
A peine l’information faisant état de la saisie de trois tonnes de kif du côté de Béchar s’installe sur la place publique que celle-ci est déjà éclipsée par une autre annonçant le rejet par la mer de quelque cinq quintaux (510 kgs) découverts par les éléments de la Gendarmerie relevant du groupement de Ain Témouchent placé sous le commandement de Réda Aïdaoui.
Cette quantité s’ajoute à celle saisie il y a moins d’une semaine par la même institution et évaluée à plus de 34 quintaux.
Face a ce phénomène de multiplication de saisies de kif traité à Ain Témouchent, situé par ailleurs à mi-chemin entre Oran et Tlemcen, (deux autres wilayas ravagées par la propagation de la drogue), la Gendarmerie de Ain Témouchent vraisemblablement en état d’alerte en est même arrivée jusqu’à lancer des appels à la vigilance via les ondes de la Radio locale sollicitant les habitants des communes côtières ainsi que les pêcheurs pour les informer sur toute découverte de stupéfiants.
Ainsi, pour dire que le kif marocain inonde l’Algérie de partout! Si ce n’est via la côte algérienne, en exploitant les courants marins que les trafiquants connaissent si bien au point de maîtriser l’endroit de leur chute sur le rivage, c’est par le biais du tracé habituel, c’est-à-dire les circuits terrestres frontaliers avec le Maroc. Ce pays, qu’il soit dit au passage place la culture de cannabis au premier rang de ses ressources (sic).
C’est dire à quel degré, le Royaume s’inscrit en faux, vis-à-vis de la légalité internationale sans omettre de souligner bien sûr, que le Maroc semble s’abriter sous des mains protectrices des plus puissantes dans ce globe sans savoir à quel prix, et surtout pour combien de temps! Car il n’échappe à quiconque de par le monde que plus de trois quarts (3/4) de la superficie du Royaume est versée dans la culture de cannabis.
N’est ce pas là un constat défiant tout procédé judiciaire contenu dans la législation internationale et que le même constat conjugué à la passivité de la communauté mondiale, relèverait d’un flagrant cas d’impunité.
Une impunité se propageant jusqu’aux salons les plus feutrés du Makhzen où se pavanent des officiers supérieurs de la hiérarchie marocaine, des puissants parmi les puissants des autorités de ce pays.
Certains de ces derniers dont l’implication dans les histoires de trafic de drogue n’est plus un secret pour personne, quand bien même leurs noms cités dans les colonnes de quelques journaux audacieux, ces deniers parviennent toujours à se tirer d’affaire en faisant jouer leurs puissants relais pour s’en tirer toujours à bon compte.
L’implication des hauts gradés de l’armée marocaine est également démontrée on ne peut mieux manifestement à travers l’armement par lequel se dotent les narcotrafiquants n’hésitant plus depuis un bon moment déjà à en faire usage contre les personnels des gardes frontières algériens pour forcer le passage.
Il est question ici d’artillerie sophistiquée telles les kalachnikov et les mitrailleuses FM/ PK. Si l’on venait à se poser la question quant à savoir d’où les narcotrafiquants s’approvisionnent en ce genre d’armements si sophistiqués, la réponse s’imposerait d’elle-même.
Forcément! Les autres dividendes récoltés par ces mêmes trafiquants de leur connexion avec des réseaux versés dans le terrorisme serait, de ce fait, un plus!
Ainsi pour certifier que le danger de la drogue inquiète non seulement de par la généralisation de la consommation, notamment dans les recoins les plus reculés de l’Algérie, mais aussi ce fléau constitue désormais une menace pour la sécurité du pays. La mobilisation de tout un chacun pour faire face à une telle calamité est plus que recommandée.
K.A
Surréaliste! Ces saisies de kif ont tendance à se répéter depuis quelque temps et dont la quantité est aussi pesante sur le moral de la société qu’à l’intérieur des chargements acheminés droit vers l’Algérie, soit pour une question de transit, sinon pour son écoulement illicite, voire criminel sur le marché de la consommation, donnent le tournis!
On en est déjà à 30 tonnes de drogue saisie depuis le début de l’année, nous confirme t-on de source officielle du commandement de la Gendarmerie nationale.
Ce chiffre paraît peut-être peu surprenant, cependant à l’explication selon laquelle cette quantité correspond à la totalité des saisies opérées durant les 12 mois de 2007, le même chiffre de trente tonnes s’annonce explosif.
Et comment peut-il en être autrement, sachant que nous ne sommes présentement qu’à l’entame du second trimestre et qu’à ce rythme effréné de saisies de drogue, les prévisions de la Gendarmerie nationale arrêtées à 60 tonnes pour 2009 seront de loin dépassées d’ici à la fin de l’année.
A peine l’information faisant état de la saisie de trois tonnes de kif du côté de Béchar s’installe sur la place publique que celle-ci est déjà éclipsée par une autre annonçant le rejet par la mer de quelque cinq quintaux (510 kgs) découverts par les éléments de la Gendarmerie relevant du groupement de Ain Témouchent placé sous le commandement de Réda Aïdaoui.
Cette quantité s’ajoute à celle saisie il y a moins d’une semaine par la même institution et évaluée à plus de 34 quintaux.
Face a ce phénomène de multiplication de saisies de kif traité à Ain Témouchent, situé par ailleurs à mi-chemin entre Oran et Tlemcen, (deux autres wilayas ravagées par la propagation de la drogue), la Gendarmerie de Ain Témouchent vraisemblablement en état d’alerte en est même arrivée jusqu’à lancer des appels à la vigilance via les ondes de la Radio locale sollicitant les habitants des communes côtières ainsi que les pêcheurs pour les informer sur toute découverte de stupéfiants.
Ainsi, pour dire que le kif marocain inonde l’Algérie de partout! Si ce n’est via la côte algérienne, en exploitant les courants marins que les trafiquants connaissent si bien au point de maîtriser l’endroit de leur chute sur le rivage, c’est par le biais du tracé habituel, c’est-à-dire les circuits terrestres frontaliers avec le Maroc. Ce pays, qu’il soit dit au passage place la culture de cannabis au premier rang de ses ressources (sic).
C’est dire à quel degré, le Royaume s’inscrit en faux, vis-à-vis de la légalité internationale sans omettre de souligner bien sûr, que le Maroc semble s’abriter sous des mains protectrices des plus puissantes dans ce globe sans savoir à quel prix, et surtout pour combien de temps! Car il n’échappe à quiconque de par le monde que plus de trois quarts (3/4) de la superficie du Royaume est versée dans la culture de cannabis.
N’est ce pas là un constat défiant tout procédé judiciaire contenu dans la législation internationale et que le même constat conjugué à la passivité de la communauté mondiale, relèverait d’un flagrant cas d’impunité.
Une impunité se propageant jusqu’aux salons les plus feutrés du Makhzen où se pavanent des officiers supérieurs de la hiérarchie marocaine, des puissants parmi les puissants des autorités de ce pays.
Certains de ces derniers dont l’implication dans les histoires de trafic de drogue n’est plus un secret pour personne, quand bien même leurs noms cités dans les colonnes de quelques journaux audacieux, ces deniers parviennent toujours à se tirer d’affaire en faisant jouer leurs puissants relais pour s’en tirer toujours à bon compte.
L’implication des hauts gradés de l’armée marocaine est également démontrée on ne peut mieux manifestement à travers l’armement par lequel se dotent les narcotrafiquants n’hésitant plus depuis un bon moment déjà à en faire usage contre les personnels des gardes frontières algériens pour forcer le passage.
Il est question ici d’artillerie sophistiquée telles les kalachnikov et les mitrailleuses FM/ PK. Si l’on venait à se poser la question quant à savoir d’où les narcotrafiquants s’approvisionnent en ce genre d’armements si sophistiqués, la réponse s’imposerait d’elle-même.
Forcément! Les autres dividendes récoltés par ces mêmes trafiquants de leur connexion avec des réseaux versés dans le terrorisme serait, de ce fait, un plus!
Ainsi pour certifier que le danger de la drogue inquiète non seulement de par la généralisation de la consommation, notamment dans les recoins les plus reculés de l’Algérie, mais aussi ce fléau constitue désormais une menace pour la sécurité du pays. La mobilisation de tout un chacun pour faire face à une telle calamité est plus que recommandée.
K.A
Commentaire