Après 20 jours de négociations en Kabylie
Droudkel et 60 de ses acolytes entrent en trêve
Une source proche de l’Organisation Algérienne pour la Protection de la Paix a révélé que Droudkel et son groupe composé de 60 membres ont entamé « une trêve non annoncée ». la même source a indiqué que les contacts et négociations entre le groupe de Droudkel et les services de sécurité ont été entamés à Boumerdés et Tizi-Ouzou, puis à Lakhdaria et que ces derniers ont duré 20 jours, soit depuis le milieux de la campagne électorale.
Selon cette source, les deux parties sont parvenues à un accord portant une « trêve non annoncée » qui sera suivie prochainement par d’importantes décisions politiques.
Elle a notamment indiqué que « l’intermédiaire s’est déplacé dans la région de la Kabylie, muni de documents et de lettres de Hassan Hattab adressées à Droudkel, accompagné par un intermédiaire, qui est le conseiller militaire de Droudkel, à savoir, Rabah El Makhfi, appelé Cheikh Abderrahmane, qui a rejoint le maquis en 1993.
Ce contact a été fait grâce au théoricien du GSPC Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat, Ahmed Gebril, en 1996, qui est entré en contact avec les autorités militaires.
Il est connu de cette personne, qui est le bras droit de Droudkel, d’être diplômé de l’Ecole Nationale de l’Administration, et qu’il possède des potentiels importants dans l’organisation, ont ajouté ces sources.
Tant que la question de la grâce est restée otage d’une entente politique qui nécessiterait un référendum populaire, l’application de l’accord qui a eu lieu avec le groupe de Droudkel dépendrait de promesses ou de garanties qui pourront prendre la forme d’une grâce présidentielle afin de parvenir au désarmement du dernier membre de son groupe.
elkhabar
Droudkel et 60 de ses acolytes entrent en trêve
Une source proche de l’Organisation Algérienne pour la Protection de la Paix a révélé que Droudkel et son groupe composé de 60 membres ont entamé « une trêve non annoncée ». la même source a indiqué que les contacts et négociations entre le groupe de Droudkel et les services de sécurité ont été entamés à Boumerdés et Tizi-Ouzou, puis à Lakhdaria et que ces derniers ont duré 20 jours, soit depuis le milieux de la campagne électorale.
Selon cette source, les deux parties sont parvenues à un accord portant une « trêve non annoncée » qui sera suivie prochainement par d’importantes décisions politiques.
Elle a notamment indiqué que « l’intermédiaire s’est déplacé dans la région de la Kabylie, muni de documents et de lettres de Hassan Hattab adressées à Droudkel, accompagné par un intermédiaire, qui est le conseiller militaire de Droudkel, à savoir, Rabah El Makhfi, appelé Cheikh Abderrahmane, qui a rejoint le maquis en 1993.
Ce contact a été fait grâce au théoricien du GSPC Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat, Ahmed Gebril, en 1996, qui est entré en contact avec les autorités militaires.
Il est connu de cette personne, qui est le bras droit de Droudkel, d’être diplômé de l’Ecole Nationale de l’Administration, et qu’il possède des potentiels importants dans l’organisation, ont ajouté ces sources.
Tant que la question de la grâce est restée otage d’une entente politique qui nécessiterait un référendum populaire, l’application de l’accord qui a eu lieu avec le groupe de Droudkel dépendrait de promesses ou de garanties qui pourront prendre la forme d’une grâce présidentielle afin de parvenir au désarmement du dernier membre de son groupe.
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