Les Etats-Unis ont entamé il y a quelques jours les livraisons des premiers avions de combat F-16 au Maroc, a appris **************** auprès d'une source de défense occidentale. Ces livraisons, dont le nombre n'a pas été précisé, font partie d'une commande globale de 24 avions de ce type passée par le Maroc en 2008 auprès du constructeur américain Lockheed Martin pour un montant total de 2,4 milliards de dollars. Rabat s'était tourné vers Washington après l'échec des négociations avec Paris pour l'achat d'avions français Rafale.
Les avions acquis par le Maroc sont des appareils multirôles d'attaque et de supériorité aérienne, selon notre source. Ils sont équipés de systèmes avancés, semblables à ceux fournis par les Américains à des pays alliés comme Israël, l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis et l'Egypte. « Peu de missiles dans la région du Maghreb sont capables d'atteindre de tels avions », souligne notre source.
En plus des F-16, le Maroc vient de finaliser l'équipement de ses avions Mirage avec les nouveaux « radars à antenne active », selon la même source. Fournie par le groupe français Thalès dans le cadre d'un contrat signé il y a trois ans, cette technologie est l'une des dernières utilisées dans l'aviation militaire. Elle permet notamment à l'avion équipé d'un tel radar de disposer de fonctionnalités que les radars classiques n'offrent pas.
Enfin, selon notre source, le Maroc vient de recevoir sa première frégate française de type Fremm. Il s'agit d'une frégate multimissions de dernière génération qui sera utilisée par la marine marocaine dans différentes missions. « Dans le domaine maritime, les Marocains ont des besoins importants, comme par exemple protéger leurs zones de pêche », explique notre source.
Dans ce contexte de course à l'armement, l'armée algérienne pourrait accélérer son rythme d'équipements, notamment dans les domaines aérien et naval. Les forces navales nationales restent en effet faiblement équipées alors qu'elles sont de plus en plus sollicitées par l'OTAN pour participer à des missions communes en Méditerranée. Les Algériens ont lancé un appel d'offres pour l'acquisition de frégates, mais aucun fournisseur n'a encore été sélectionné.
Dans les airs, l'armée nationale devrait rattraper le retard causé par l'annulation d'une partie du contrat d'achat de Mig avec les Russes. Les premiers avions livrés à l'Algérie étaient obsolètes aussi bien dans leur construction que dans leurs équipements. La Russie devrait fournir de nouveaux appareils à l'armée nationale, notamment de Sukhoi. Les spécialistes estiment les besoins de l'Algérie entre 60 et 100 nouveaux avions de supériorité aérienne. La superficie de l'Algérie, une importante frontière à défendre, explique l'importance de ces besoins.
Les avions acquis par le Maroc sont des appareils multirôles d'attaque et de supériorité aérienne, selon notre source. Ils sont équipés de systèmes avancés, semblables à ceux fournis par les Américains à des pays alliés comme Israël, l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis et l'Egypte. « Peu de missiles dans la région du Maghreb sont capables d'atteindre de tels avions », souligne notre source.
En plus des F-16, le Maroc vient de finaliser l'équipement de ses avions Mirage avec les nouveaux « radars à antenne active », selon la même source. Fournie par le groupe français Thalès dans le cadre d'un contrat signé il y a trois ans, cette technologie est l'une des dernières utilisées dans l'aviation militaire. Elle permet notamment à l'avion équipé d'un tel radar de disposer de fonctionnalités que les radars classiques n'offrent pas.
Enfin, selon notre source, le Maroc vient de recevoir sa première frégate française de type Fremm. Il s'agit d'une frégate multimissions de dernière génération qui sera utilisée par la marine marocaine dans différentes missions. « Dans le domaine maritime, les Marocains ont des besoins importants, comme par exemple protéger leurs zones de pêche », explique notre source.
Dans ce contexte de course à l'armement, l'armée algérienne pourrait accélérer son rythme d'équipements, notamment dans les domaines aérien et naval. Les forces navales nationales restent en effet faiblement équipées alors qu'elles sont de plus en plus sollicitées par l'OTAN pour participer à des missions communes en Méditerranée. Les Algériens ont lancé un appel d'offres pour l'acquisition de frégates, mais aucun fournisseur n'a encore été sélectionné.
Dans les airs, l'armée nationale devrait rattraper le retard causé par l'annulation d'une partie du contrat d'achat de Mig avec les Russes. Les premiers avions livrés à l'Algérie étaient obsolètes aussi bien dans leur construction que dans leurs équipements. La Russie devrait fournir de nouveaux appareils à l'armée nationale, notamment de Sukhoi. Les spécialistes estiment les besoins de l'Algérie entre 60 et 100 nouveaux avions de supériorité aérienne. La superficie de l'Algérie, une importante frontière à défendre, explique l'importance de ces besoins.
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