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52,4 millions d’euros consommés au titre de la premiere phase de l'accord de la conversion de la dette italienne en projets d'investissements publics.
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L'accord bilatéral algéro-italien de conversion de la dette italienne en projets d'investissements publics en Algérie, signé en juin 2002, a été réalisé aux deux tiers environ du montant global.
C’est du moins ce que relève le ministère des Finances dans un communiqué parvenu hier à la rédaction. Le ministère des Finances rappelle que l’accord porte sur un montant de 84 millions d’euros et concerne des projets inscrits au budget de l’État.
Ces projets éligibles à la conversion sont situés dans les zones “particulièrement déshéritées”. Ils sont au nombre de 34 et concernent les secteurs de l’éducation et de l’environnement.
Ainsi, 4,78 milliards de DA, environ 52,4 millions d'euros, auront été dépensés à la date du 31 décembre 2004 au titre de la première phase de l’accord de juin 2005, selon les conclusions du Comité de gestion technique (CGT) chargé de la mise en œuvre de cet accord, et qui a, jeudi, tenu sa 4e session récemment au siège du ministère des Finances.
Source : Liberté
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L'accord bilatéral algéro-italien de conversion de la dette italienne en projets d'investissements publics en Algérie, signé en juin 2002, a été réalisé aux deux tiers environ du montant global.
C’est du moins ce que relève le ministère des Finances dans un communiqué parvenu hier à la rédaction. Le ministère des Finances rappelle que l’accord porte sur un montant de 84 millions d’euros et concerne des projets inscrits au budget de l’État.
Ces projets éligibles à la conversion sont situés dans les zones “particulièrement déshéritées”. Ils sont au nombre de 34 et concernent les secteurs de l’éducation et de l’environnement.
Ainsi, 4,78 milliards de DA, environ 52,4 millions d'euros, auront été dépensés à la date du 31 décembre 2004 au titre de la première phase de l’accord de juin 2005, selon les conclusions du Comité de gestion technique (CGT) chargé de la mise en œuvre de cet accord, et qui a, jeudi, tenu sa 4e session récemment au siège du ministère des Finances.
Source : Liberté
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