Le journaliste et écrivain Ahmed Akkache vient de publier un nouveau livre intitulé l’Algérie face à la mondialisation (éditions IAIG, 2009).
Cet essai traite des nouveaux masques de l’impérialisme et tente d’apporter des éléments de réflexion au débat sur le nouvel ordre mondial, apparu à la suite de la chute du mur de Berlin et de l’effondrement du camp de l’Est, qui intègre outre les problèmes de l’économie et du marché, “ce qui touche à la gestion politique, à la communication et à la culture”.
Pour l’auteur de Takfarinas et de la Révolte des saints, un nouveau colonialisme est en train d’émerger, pratiqué par les grandes firmes internationales qui sont elles-mêmes soutenues par des puissances économiques.
Mais dans cette mondialisation, Ahmed Akkache trouve des motifs d’espoir pour l’Algérie, en apportant des “remarques pouvant aider à la recherche de projets de croissance plus adaptés aux exigences d’efficacité”, mais aussi de solidarité et de justice sociale du nouveau siècle.
Par Liberté
Cet essai traite des nouveaux masques de l’impérialisme et tente d’apporter des éléments de réflexion au débat sur le nouvel ordre mondial, apparu à la suite de la chute du mur de Berlin et de l’effondrement du camp de l’Est, qui intègre outre les problèmes de l’économie et du marché, “ce qui touche à la gestion politique, à la communication et à la culture”.
Pour l’auteur de Takfarinas et de la Révolte des saints, un nouveau colonialisme est en train d’émerger, pratiqué par les grandes firmes internationales qui sont elles-mêmes soutenues par des puissances économiques.
Mais dans cette mondialisation, Ahmed Akkache trouve des motifs d’espoir pour l’Algérie, en apportant des “remarques pouvant aider à la recherche de projets de croissance plus adaptés aux exigences d’efficacité”, mais aussi de solidarité et de justice sociale du nouveau siècle.
Par Liberté