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Le président Bouteflika accepte le principe d'une visite en France

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  • Le président Bouteflika accepte le principe d'une visite en France

    Le président Abdelaziz Bouteflika a accepté le principe d'une visite d'Etat en France à l'invitation de son homologue Nicolas Sarkozy, a déclaré jeudi le ministre algérien des Affaires étrangères Mourad Medelci, cité par l'agence APS.

    "M. Bouteflika a accepté le principe de l'invitation que lui a adressée le président français M. Nicolas Sarkozy, pour effectuer une visite d'Etat en France", a déclaré M. Medelci, sans en préciser la date. Celui-ci venait de recevoir le président de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale française, Axel Poniatowski.

    L'ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt, avait précisé mercredi qu'une invitation à se rendre en juin à Paris avait été transmise au président Abdelaziz Bouteflika. M. Sarkozy a effectué en décembre 2007 une visite officielle en Algérie.

    AFP

  • #2
    Moha

    Ouh il a accepté le principe, mince alors. Et moi qui croyais qu'on allait le supplier.........

    Commentaire


    • #3
      Passons sur la forme: Quel part des 140 M $ le prince de l'attente dépensera-t-il dans l'escarcelle de Marianne; en reconnaissance au soutiens de l'Élysée à une élection bidon?
      Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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      • #4
        Ms
        enDz

        C'est mal connaître Bouteflika que d'insinuer que la France tira profit en contrats avec la visite du président algérien dans l'Hexagone.

        On sait que Bouteflika fait miroiter des contrats à coup de milliars à la France et finalement, c'est régulièrement des firmes non françaises qui emportent la palme.
        La tactique de Bouteflika est simple: au préalable de contritions françaises pour le génocide perpétré lors de la colonisation, les entreprises françaises ne bénéficient d'aucun passe-droit et contre celles chinoises, elles (les entreprises françaises ne peuvent pas rigater ni en prix ni en qualité.

        Somme toute, avec Bouteflika on connaît la musique de la surechère car il veut entrer dans l'histoire de celui qui aura fait plier la France, comme à propos de l'article 4 de la loi française du 23 février 2005 parodiant les bienfaits en Afrique du Nord de la colonisation.

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