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Notation : un «A4» pour le Maroc
2009-04-24
Les résultats du rating effectué par la Coface et dévoilés récemment n’ont pas manqué de faire des émules notamment en ces temps de crise économique mondiale. Rares sont les pays qui arrivent à s’accrocher en dépit des péripéties constatées ici et là.
En effet , la lecture du rapport de cette agence de notation fait ressortir que «La Tunisie et le Maroc possèdent une économie diversifiée et un système bancaire peu exposé aux actifs toxiques», selon les termes employés par la Coface.
Cette dernière ne constate pas pour le moment de signes sensibles de détérioration du comportement de paiement de la part des entreprises. Sur le plan du climat des affaires, la Coface a attribué au Maroc et à la Tunisie la même note, soit un «A4» pour illustrer le fait que les entreprises dans ces deux pays évoluent dans un «cadre acceptable, mais parfois instable». Avec une note B, le voisin algérien est moins bien loti à cause d’un recouvrement de créances «parfois difficile».
Du côté des pays pétroliers d’Afrique du Nord et du Moyen Orient, la situation est plus confortable. Et pour cause : le boom pétrolier des années 2003-2008 a procuré à toute la région un matelas financier à exploiter pendant les années de vaches maigres…
2009-04-24
Les résultats du rating effectué par la Coface et dévoilés récemment n’ont pas manqué de faire des émules notamment en ces temps de crise économique mondiale. Rares sont les pays qui arrivent à s’accrocher en dépit des péripéties constatées ici et là.
En effet , la lecture du rapport de cette agence de notation fait ressortir que «La Tunisie et le Maroc possèdent une économie diversifiée et un système bancaire peu exposé aux actifs toxiques», selon les termes employés par la Coface.
Cette dernière ne constate pas pour le moment de signes sensibles de détérioration du comportement de paiement de la part des entreprises. Sur le plan du climat des affaires, la Coface a attribué au Maroc et à la Tunisie la même note, soit un «A4» pour illustrer le fait que les entreprises dans ces deux pays évoluent dans un «cadre acceptable, mais parfois instable». Avec une note B, le voisin algérien est moins bien loti à cause d’un recouvrement de créances «parfois difficile».
Du côté des pays pétroliers d’Afrique du Nord et du Moyen Orient, la situation est plus confortable. Et pour cause : le boom pétrolier des années 2003-2008 a procuré à toute la région un matelas financier à exploiter pendant les années de vaches maigres…
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