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Le cancer du col de l’utérus a été au centre des débats ce week-end à l’Institut national de santé publique (INSP). Cette pathologie qui touche de plus en plus de femmes, cause le décès de plusieurs centaines de malades en Algérie..
Au cours de ce séminaire auquel ont participé plusieurs spécialistes, il a été longuement débattu de la maladie, son apparition ainsi que les moyens de son traitement mais aussi son dépistage. Les intervenants ont notamment mis l’accent sur le fait que parmi les types de cancer dont souffrent les femmes en Algérie, celui du col de l’utérus provoque le plus grand nombre de décès.
Il a, par ailleurs, été expliqué au cours de ce séminaire, organisé à l’Institut national de santé publique de Ben-Aknoun à Alger, que les différentes structures de santé du pays enregistrent annuellement quelque 3000 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus.
Les spécialistes de la question ont tous été unanimes à dire que le meilleur moyen de lutter contre cette pathologie est le dépistage. Il a, ainsi, été mentionné que le dépistage, précoce notamment, est à même de prendre en charge efficacement la maladie et d’éviter ainsi 90 % des cas de décès qui peuvent en résulter.
Le dépistage s’effectue via le frottis qui révèle des anomalies et éventuellement la présence de cellules précancéreuses, ainsi que sur le test du papillomavirus qui lui permet la détection du virus HPV avant que les anomalies n’apparaissent. Il a aussi été expliqué que toutes les femmes sont à un moment donné infectées par le papillomavirus. Quelques-unes l’éliminent naturellement. D’autres ne se rendent pas compte de cet état de fait jusqu'à la déclaration de la pathologie. D’où l’intérêt du frottis.
Il a enfin été assuré que le cancer du col de l’utérus n’est pas une fatalité. Une bonne prise en charge est à même de l’éviter.
Par le Soir
Au cours de ce séminaire auquel ont participé plusieurs spécialistes, il a été longuement débattu de la maladie, son apparition ainsi que les moyens de son traitement mais aussi son dépistage. Les intervenants ont notamment mis l’accent sur le fait que parmi les types de cancer dont souffrent les femmes en Algérie, celui du col de l’utérus provoque le plus grand nombre de décès.
Il a, par ailleurs, été expliqué au cours de ce séminaire, organisé à l’Institut national de santé publique de Ben-Aknoun à Alger, que les différentes structures de santé du pays enregistrent annuellement quelque 3000 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus.
Les spécialistes de la question ont tous été unanimes à dire que le meilleur moyen de lutter contre cette pathologie est le dépistage. Il a, ainsi, été mentionné que le dépistage, précoce notamment, est à même de prendre en charge efficacement la maladie et d’éviter ainsi 90 % des cas de décès qui peuvent en résulter.
Le dépistage s’effectue via le frottis qui révèle des anomalies et éventuellement la présence de cellules précancéreuses, ainsi que sur le test du papillomavirus qui lui permet la détection du virus HPV avant que les anomalies n’apparaissent. Il a aussi été expliqué que toutes les femmes sont à un moment donné infectées par le papillomavirus. Quelques-unes l’éliminent naturellement. D’autres ne se rendent pas compte de cet état de fait jusqu'à la déclaration de la pathologie. D’où l’intérêt du frottis.
Il a enfin été assuré que le cancer du col de l’utérus n’est pas une fatalité. Une bonne prise en charge est à même de l’éviter.
Par le Soir